Vous n'êtes pas identifié.
Aujourd’hui, grand jours, parait que tous vas changer, j’ai dix huit ans
Il parait que maintenant je vais être un peu plus libre, a moi la grande vie
Je suis arrivé là tout petit, ses tours, ses prisons, j’y suis entré à un an
Alors comprenez que désormais, j’ai des autres projets, des autre envie
Pour mon argent de poche, j’ai trouvé la tactique, les bonnes petites combines
Un vol par-ci, par-là , au rien de bien méchant, rassurez-vous
Mais si on me cherche, me taquine, je peux être un loup garou et sortir mes canines
Puis de temps à autre, je me range, du sérieux, des filles et des rendez-vous
Pour mes dix huit ans, je souhaite passer une belle journée, dans les quartiers Upé
L’espace de quelques heures, me sentir grand, riche, excisé quoi
Dans ces rues je traine, je rêve, puis me reviens l’instinct de volé
Un mec arrive, sort de sa Ferrari, laisse les clés, a ma place vous auriez fait quoi ?
Mille fois on m’a laissé une seconde chance
A croire que je cultive la malchance
Vous savez chaque homme à ses défaillances
Puis pour une fois changer d’ambiance
Alors j’ai en une seconde saisie ma chance
J’ai donc sauté derrière le volant, un coup d’accélérateur et tous roules
Pour une journée son bijoux ne lui manquera surement pas à lui
Demain son bolide sera à nouveau à lui, il ne les aura qu’une journée les boules
Qui dis jour de fête, dit il faut bien s’éclater aujourd’hui
En tant normal j’aurais appelé quelques potes, mais inutile d’alerter toute la cité
Je quitte la ville, petit tour d’autoroute, en moi-même pas un brin de panique
Ces fous j’ai l’impression de ne plus être moi-même, j’ai un peu changé
Puis j’ai de quoi être fier, pour une fois que je fais un vole sans arnaque
Un air de repos, un coup d’œil dans les rétros, je peux faire une pause
Pas de flics dans les coins, sans papier, sans carte crise, je me méfie quelque peu
Un coup d’œil dans la boite a gant, j’en reviens pas, c’est mieux qu’une bonne dose
De la tunes, de l’oseilles, du magots, du frics, le nom m’importe quelque peu
Mille fois on m’a laissé une seconde chance
A croire que je cultive la malchance
Vous savez chaque homme à ses défaillances
Puis pour une fois changer d’ambiance
Alors j’ai en une seconde saisie ma chance
Finalement je pense que je vais garder ce bolide et m’offrir une autre vie
Les fringues chic, les vacances au bord de la mer, tant de rêve a transformé
Enfin les filles vont s’arracher mon cœur, je suis aux portes d’une autre vie
Adieux le vingtième étages, pour un instant je m’offre un permis de rêver
Je sens déjà des regards se poser sur moi, un costard comme nouvelle peau
Au poigné la dernière Rolex, des aiguilles en diamants, puis une fille m’attire
Une riche héritière, mains dans la main avec son fiancé, me fait de l’œil, je suis beau
Me voici alors à la tête de tout un nouveau monde à construire, à bâtir
Mais le permis de rêver était quelque peu provisoire et m’a été très vite retiré
Il mon dit, que c’était du a mon code de conduite, je ne l’avais pas respecté
Faut dire que sur ce coup la, moi j’ai mis en pratique le code de la cité
Puis j’ai été accusé d’avoir volé, alors que j’avais juste voulu l’empreinté
Mille fois on m’a laissé une seconde chance
A croire que je cultive la malchance
Vous savez chaque homme à ses défaillances
Puis pour une fois changer d’ambiance
Alors j’ai en une seconde saisie ma chance
Hors ligne
Il me semble que la vraie chance, c'est de gagner au loto pour se payer une Ferrari à soi...
il est permis de rêver...
Ton slam n'est pas très moral, mais il coule bien
Hors ligne
Je trouve que c'est brouillon et trop cliché. Bref, je n'aime pas, désolé.
Hors ligne
ouais..idem
Hors ligne
Bonjours et merci a vous .Pas de problème Alex p, les critiques sont la pour faire avancer.
Et je dois bien avouer une chose, c'est qu'une fois mon texte écris, je ne prends jamais le temps de le relire a tête reposer, pour voir si effectivement il est bien, ou si finalement je me suis trop emballer en l'écrivant.
Et donc, la je l'ai relu et en effet, quel cliché se texte.
Alors du coup je me posais une petite question, soit je mets directement le texte aux oubliettes, ou je chance la fin. En effet le titre étant, Permis de rêver, je me disais que, si a la fin je faisais comprendre que finalement se texte n'est qu'un rêve de la part d’un jeune homme. Serait-il moins clicher, ou non.
A la fin il y a une toute petite morale, il se fait arrêter pour son vol.
Hors ligne
Salut. Mettre aux oubliettes ou le retravailler c'est toi qui vois.
En tout cas ta réaction face au critiques est saine et donc, selon moi, tu ne peux que progresser...
Hors ligne