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Bout de haine
-Moi je n'etait qu'un mome aujourd'hui je suis l'homme qui recolte ses peines je n'aime presque plus rien de l'amour du désir de la chair sur les skelettes autour de nos ames morte de plaisir ! oh chéris je ne suis que le vis du délice sans délicatesse et finesse tu couche avec moi je te touche tu me caresse en émoi tu me suce comme si c'etait ton pouce tu me pousse t'écarte face a mes vices!
-Suis je victime de ma naissance? ou est mon pére mon repére ? ma mére fermant les yeux sur l'innocence je perd la guerre souvenir d'une enfance a aprendre mes défences entre les hommes et la came les femmes l alcool et l'odeur du shit qui me decolle du sol comme un post it collé sur un suport trop hot je n'adére plus donc je tombe puisque plus rien ne me suporte !
-Moi je n'etait qu'un mome je ne crois plus aux bien sans le mal maleureux en amour je ny crois pas je ne crois plus en rien ne serait ce que le jour ou je sentirait ta présence pour qui tout me tient! si ma conscience ce perd par manque de chance j'espere garder l'envie la mort arrive si vite autour de nous j'ai perdu de vue bon nombre de vie il parait qu'il en sont presque tous sortie pas de la merde tu m auras conpris entre quatre planche six pied sous terre ou jetter les cendres a la mer mes connaissances rendus fantomes me donne envie de vivre jusqu'a l'amour!
-Est ce moi ou je crois que je me noie il faut me jetter dans les bras de la mére petit j'ai perdu ce que j'avait de plus chére construit puis demolit autour d'elle mon enfance ma blindés et comme la tour eiffel mon coeur c'est forgé ca m'opresse il faut que je me sorte de mon ghetto virtuel si la parole a du bon comme un psy mon acte est fou aussi quand je m'expose comme un joujou cassé dans la vitrine de mon rap bléssé dans mon intimité laisser allez ou frapper aux clavier sur pc les maux de ma vie ancienne reviennent !
-Moi je n'etait qu'un mome et voila qu'aujourd hui je ne suis plus rien j'ai longtemp eu la haine dans mon enfance paumé je me croyait si fort puis blesser comme un maris tromper sauf que je suis le fils je voulait pas qu'ils la touche celle qui pour moi etait pur ca ma ramasser a la dur maman je ne m'en remettrait jamais de mes blessure maman pour toi et moi je revait d'autre moments ne sentait tu pas mon sangt bouillant a ses instants? ne voyait tu pas la fumée sortir de mon nez comme un sauvage j'aurait voulu tuer ceux pour qui j'ai déchiré pas mal d'image de mon enfance jettant aux feux mon innocence !
-Seul entre deux monde celui du ventre d'ou je suis née puis celui de mes hombres qui me ratrappe abandonné a chaque seconde si je sombre j'irait le cracher sur la scéne je me sent comme une enseigne je suis l'artiste de mes peines ma tristesse a son engrais elle pousse si vite qu'elle m étouffe je la coupe a ses racines de ses branches je me pique a ses épines la douleurs me renvois les couleurs de ses milliers de fleurs mauvaises je ne me degonfle pas pour autant percés aux corps des bleue a l'ame je fait le voeux dés lors alors de devenir moi meme et plus encors juska la mort !
-Moi je n'etait qu'un mome et putain ca fait mal quand tu fou des droites a un mur pasque frapper sa mére serait trop dur sans rire ya des larmes verser par kilogramme qui ne s'oublis pas j ai vu la came des nouveux née dans la coke ca a bien foutu le bordel l'alcool aussi fait des ravages tuant l'amour de la famille brisant la paix des miens qui s'anime a ne plus s'attacher cassant la chaines humaine former autour de nous avant que les actes vienne nous blesser les années aprés il nous reste plus que l amitié que de conplicité je parle pour moi par mon identité de fils ou frere blesser et je voux hais dans mes moments de paix !
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes de mon enfance mon monde est passer sous silence!
apelle moi bout de haine ma ptite souffrance me rapelle a mes peines!
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes puis aux silences j avance doucement mon aparence!
apelle moi bout de haine ma ptite souffrance me rapelle a mes peines!
-Moi je n'etait qu'un mome si dangeureux avec moi meme a mes moments de peine pour montré a ma mére que je l'aime je me griffait le visage d'un bout de verre comme un moyen de crier sans voix tiré l'alarme trop fier pour en versé des larmes en sortant de ma chambre le visage brulant aux griffure me voyant j'entend les rires je la regarde la mére de travers qui eu cette phrase aux tons d'une banalité ou d'une fatalité c'est quoi ces marques sur ton visage ? c'est rien maman t'inquiéte j'me suis battu avec moi meme apelle moi bout de haine!
-Je me sentait l'envie d'etre assacin celui qu'ont ne vois pas venir suprimant leurs destins que je tiendrait dans ma main de par cette arme a feu que je pointe tire et les atteints en pleine tete car il n'ont pas de coeur c'est sur dans mes délires ca me fait trop plaisir mais je n'etait qu'un gosse blésser sous son ecorche atteint juska la chair je laisse allez mes idéaux librement dans ma tete pour soigner ma rage me debloker de l étaux moi je n'etait qu'un mome blesser dans son égo!
-Moi je n etait qu'un mome etouffé par ma peine enporté par la haine je devient fou casse tout autour de moi quand j'en atteint l'extréme plus rien ne me retient le chien qui a peur mord je suis l'enfant ce sont les bétes ma force dans les images est dans ma tete je suis l exces aujourdhui dont je me sert pour acceder aux stylo et raconter le neccéssaire je me sent allez aussi loingt qu'un ecrivain sans la frontiere j'explose le taboo je vait le soigner le tableaux je vais le signer mon tableaux je suis le peintre sans pinceaux sur la toile belle de mon ghetto virtuel!
-Un amis m'a dit mél n'écrit pas des choses trop personel fait gaffe aux ridicule ca pourrait te niké quand ca me touche ca me fait peur comment ne pas parler de celle ou de ceux pour qui je pleure ou j ai pleuré toujours en secret gamin j etait si fier je n est jamais mis un pied a terre malgrés les moments douleureux et de colére je me suis promis de la raconter a ma mére qu elle conprenne pourquoi j etait en guerre a ce moment ou jy repense leurs coeurs devait etre fait de pierre quand je frappait le poingt par terre comme mise a nue ma rage est mise a l'air j suis un pti con si fier un enfer!
-Moi je n etait qu'un mome je crois vraiment qu'elle etait conne la loies du sexe avant la voix du coeur la violence est dans les corps je l'ai conpris le desir est plus fort que la famille ok je m'éfface face a tes vices dans mon entourage j'ai vu des fixes l'heroine n'est pas la meme que dans les films mais quelle mouche te pique dans les veines pendant que je fumes seul mon shit dans mon lit entre le bédo et le bang une voix me dit:<< mais merde méL ici les mecs se shoot pire qu'a la guerre bouge de la ca va finir six pied sous terre ta maternel n'a plus la force face a lui et ses amis la raison a foutu le camps dans ta maison!
-Et voila que tout arrive aujourdhui dans ce textes je lache les mots qui sans conplex nous vexe :<< sale pute de ma haine je crois crever je suis encors debout et coucher sur ton respect sale garce de mes peines je tue petit a petit ce qui me reste dans mes veines le meme sangt coule mais ma couleur n'est plus la tienne je suis le rouge de la scene comme au theatre je t'assacine a chaque replique que je recite enchaine les scenes de haine mon enfance t'aime et maintenant il ne me reste plus que la peine...
-Moi je n'etait qu'un mome malgrés tout ca pardonnez moi tout mes pechés tout mes penchants je n avait qu'elle a ces sequelles de petite fille auquelle tout a été plus difficile je le sait trop ma mére tu reste une petite merveille je n'en veut qu'a nous deux de ne pas avoir fait l'avoeux aux moments trop douloureux notre fierté criait la guerre je le sait qu'ont a trop souffert j'ai crus gouter a ton enfer etait ce pour te liberer je regrette de te l'avoir dit 'prostituer' chair de ma mere comment peser ta liberté sans le poid de tes enfants a tes cotés aujourd'hui libre et liberé ma mére je te laisse ta vie n'apartient qu'a toi meme! moi je n'suis devenus qu'un homme de ma souffrance a mes peines qu'ont apellait...
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes de mon enfance mon monde est passer sous silence!
apelle moi bout de haine ma ptite souffrance me rapelle a mes peines!
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes puis aux silences j avance doucement mon aparence!
apelle moi bout de haine ma ptite souffrance me rapelle a mes peines!
toadman-twister 2007
Dernière modification par toadman-twister (13-01-2010 18:20:58)
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*** Version corrigée ***
- Moi je n’étais qu'un môme. Aujourd'hui je suis l'homme qui récolte ses peines. Je n'aime presque plus rien de l'amour, du désir, de la chair sur les squelettes autour de nos âmes mortes de plaisir ! Oh chérie, je ne suis que le vice du délice, sans délicatesse et finesse, tu couches avec moi, je te touche, tu me caresses en émoi, tu me suces comme si c'était ton pouce, tu me pousses, t'écartes face à mes vices!
- Suis-je victime de ma naissance? où est mon père, mon repère ? Ma mère fermant les yeux sur l'innocence, je perds la guerre, souvenir d'une enfance à apprendre mes défenses entre les hommes et la came, les femmes, l’alcool et l'odeur du shit qui me décolle du sol comme un post-it collé sur un support trop hot, je n'adhère plus donc je tombe puisque plus rien ne me supporte !
- Moi je n’étais qu'un môme, je ne crois plus au bien sans le mal, malheureux en amour, je n’y crois pas, je ne crois plus en rien, ne serait-ce que le jour où je sentirai ta présence pour qui tout me tient! Si ma conscience de perd par manque de chance, j'espère garder l'envie, la mort arrive si vite autour de nous, j'ai perdu de vue bon nombre de vies, il parait qu'ils en sont presque tous sorti, pas de la merde, tu m’auras compris entre quatre planches, six pieds sous terre ou jetées les cendres à la mer, mes connaissances rendues fantômes me donnent envie de vivre jusqu'à l'amour!
- Est-ce moi ou je crois que je me noie ? Il faut me jeter dans les bras de la mère, petit, j'ai perdu ce que j'avais de plus cher, construit puis démoli autour d'elle, mon enfance m’a blindé et comme la Tour Eiffel, mon coeur s'est forgé, ça m'oppresse, il faut que je me sorte de mon ghetto virtuel, si la parole a du bon comme un psy, mon acte est fou aussi quand je m'expose comme un joujou cassé dans la vitrine de mon rap blessé dans mon intimité, laisser aller ou frapper au clavier sur pc, les maux de ma vie ancienne reviennent !
- Moi je n’étais qu'un môme et voilà qu'aujourd’hui, je ne suis plus rien, j'ai longtemps eu la haine dans mon enfance paumée, je me croyais si fort puis blessé comme un mari trompé sauf que je suis le fils, je voulais pas qu'ils la touchent, celle qui, pour moi, était pure, ça m’a ramassé à la dur, maman, je ne m'en remettrai jamais de mes blessures, maman, pour toi et moi je rêvais d'autres moments, ne sentais-tu pas mon sang bouillant à ces instants? Ne voyais-tu pas la fumée sortir de mon nez comme un sauvage ? J’aurais voulu tuer ceux pour qui j'ai déchiré pas mal d'images de mon enfance jetant au feu mon innocence !
- Seul entre deux mondes, celui du ventre d'où je suis né puis celui de mes ombres qui me rattrapent, abandonné à chaque seconde, si je sombre, j'irai le cracher sur la scène, je me sens comme une enseigne, je suis l'artiste de mes peines, ma tristesse a son engrais, elle pousse si vite qu'elle m’étouffe, je la coupe à ses racines de ses branches, je me pique à ses épines, la douleur me renvoie les couleurs de ses milliers de fleurs mauvaises, je ne me dégonfle pas pour autant, percé au corps des bleus à l'âme, je fais le voeu dès lors, alors, de devenir moi-même et plus encore jusqu’à la mort !
- Moi je n’étais qu'un môme et putain, ca fait mal quand tu fous des droites à un mur, parce que frapper sa mère serait trop dur. Sans rire y’a des larmes versées par kilogramme qui ne s'oublient pas. J’ai vu la came des nouveaux nés dans la coke, ça a bien foutu le bordel, l'alcool aussi fait des ravages tuant l'amour de la famille, brisant la paix des miens qui s'animent à ne plus s'attacher, cassant la chaine humaine formée autour de nous avant que les actes viennent nous blesser, des années après, il nous reste plus que l’amitié, que de complicité, je parle pour moi par mon identité de fils ou frère blessé et je vous hais dans mes moments de paix !
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes de mon enfance, mon monde est passé sous silence!
appelle-moi bout de haine ma p’tite souffrance me rappelle à mes peines!
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes puis aux silences, j’avance doucement mon apparence!
appelle-moi bout de haine ma p’tite souffrance me rappelle à mes peines!
- Moi je n’étais qu'un môme, si dangereux avec moi-même à mes moments de peine pour montrer à ma mère que je l'aime, je me griffais le visage d'un bout de verre comme un moyen de crier, sans voix, tirer l'alarme, trop fier pour en verser des larmes en sortant de ma chambre, le visage brulant aux griffures, me voyant j'entends les rires, je la regarde la mère de travers qui eut cette phrase au ton d'une banalité ou d'une fatalité, c'est quoi ces marques sur ton visage ? c'est rien maman, t'inquiète, j'me suis battu avec moi-même, appelle-moi bout de haine!
- Je me sentais l'envie d'être assassin, celui qu'on ne voit pas venir supprimant leurs destins que je tiendrais dans ma main, de par cette arme à feu que je pointe, tire et les atteins en pleine tête car ils n'ont pas de cœur, c'est sûr, dans mes délires, ça me fait trop plaisir mais je n’étais qu'un gosse blessé sous son écorce, atteint jusqu’à la chair, je laisse aller mes idéaux librement dans ma tête pour soigner ma rage, me débloquer de l’étau, moi je n’étais qu'un môme blessé dans son égo!
- Moi je n’étais qu'un môme étouffé par ma peine, emporté par la haine, je deviens fou, casse tout autour de moi, quand j'en atteins l'extrême, plus rien ne me retient, le chien qui a peur mord, je suis l'enfant, ce sont les bêtes, ma force dans les images est dans ma tête, je suis l’excès aujourd’hui dont je me sers pour accéder au stylo et raconter le nécessaire, je me sens aller aussi loin, j’étais qu'un écrivain sans la frontière, j'explose le tabou, je vais le soigner le tableau, je vais le signer mon tableau, je suis le peintre sans pinceaux sur la toile belle de mon ghetto virtuel!
- Un ami m'a dit : « mél n'écris pas des choses trop personnelles, fais gaffe au ridicule ça pourrait te niquer ». Quand ça me touche, ça me fait peur, comment ne pas parler de celles ou de ceux pour qui je pleure ou j’ai pleuré, toujours en secret gamin, j’étais si fier, je n’ai jamais mis un pied à terre malgré les moments douloureux et de colère, je me suis promis de la raconter à ma mère, qu’elle comprenne pourquoi j’étais en guerre à ce moment où j’y repense, leurs coeurs devaient être faits de pierre quand je frappais le poing par terre comme mise à nu, ma rage est mise à l'air, j’suis un p’tit con si fier un enfer!
- Moi je n’étais qu'un môme, je crois vraiment qu'elle était conne la loi du sexe, avant la voix du cœur, la violence est dans les corps, je l'ai compris, le désir est plus fort que la famille, ok, je m'efface face à tes vices, dans mon entourage, j'ai vu des fixes, l'héroïne n'est pas la même que dans les films mais quelle mouche te pique dans les veines pendant que je fume seul mon shit dans mon lit, entre le bédo et le bang, une voix me dit: « mais merde mél ici les mecs se shootent pire qu'à la guerre, bouge de là , ça va finir six pieds sous terre, ta maternelle n'a plus la force, face à lui et ses amis, la raison a foutu le camp dans ta maison! »
- Et voilà que tout arrive aujourd’hui dans ce texte, je lâche les mots qui, sans complexe, nous vexent : « sale pute de ma haine, je crois crever, je suis encore debout et couché sur ton respect, sale garce de mes peines, je tue petit à petit ce qui me reste dans mes veines, le même sang coule mais ma couleur n'est plus la tienne, je suis le rouge de la scène comme au théâtre, je t'assassine à chaque réplique que je récite,enchaine les scènes de haine, mon enfance t'aime et maintenant il ne me reste plus que la peine...
- Moi je n’étais qu'un môme, malgré tout ça, pardonnez-moi tous mes péchés, tous mes penchants, je n’avais qu'elle, à ses séquelles de petite fille à laquelle tout a été plus difficile, je le sais trop ma mère, tu restes une petite merveille, je n'en veux qu'à nous deux de ne pas avoir fait l'aveu au moment trop douloureux, notre fierté criait la guerre, je le sais qu'on a trop souffert, j'ai cru gouter à ton enfer, était-ce pour te libérer ? Je regrette de te l'avoir dit 'prostituée', chair de ma mère, comment peser ta liberté sans le poids de tes enfants à tes cotés aujourd'hui libre et libérée, ma mère, je te laisse ta vie n'appartient qu'à toi-même! Moi je n'suis devenu qu'un homme de ma souffrance à mes peines qu'on appelait...
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes de mon enfance, mon monde est passé sous silence!
appelle-moi bout de haine ma p’tite souffrance me rappelle à mes peines!
bout de haine!!!!!!!
du rire aux larmes puis aux silences j’avance doucement mon apparence!
appelle-moi bout de haine ma p’tite souffrance me rappelle à mes peines!
*** Fin ***
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C'est un peu long, mais très fort, avec des images qui serrent vraiment le coeur...
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voila ce que j'appelle un moment intense, un tourbillon poétique qui nous entraine au cœur de son auteur avec une aisance de rythme et d'images puissantes !
UNE MERVEILLE !!!!!
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C'est long, pas trop espacée, mais bon, le texte en impose.
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merci de vos com, trés touché nas'r...
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Sacrée course effrénée contre la vie, le temp qui nous broye.. il y a de très beaux passages.. Bravo Toad'
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et bein dis-donc...
ça envoie, ça enchaine et ça explose
n'ais je pas tout compris ou ya t'il bien deux narrateurs ? ya t'il aussi deux auteurs ?
ce ne me semble pas être le cas mais je demande juste comme ça ...
je voi que le texte a +2ans... un petit commentaire à faire à son sujet ? ton état d'esprit à l'époque? et celui d'aujourd'hui ?
merci et chapeau bien bas
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hello i love tony =) pour te répondre:
peu etre à tu-vu 2 auteurs,2 narrateur est ce peu etre parce que je me suis senti déchiré en deux par l'amour la haine...moi je me vois entier mais jm à penser de ne pas détourné les impréssions c'est ce que tu ressent le plus inportant.
pour le commentaire j'ai écrit ce texte comme un soulagement que puis je dire de plus? mon etat d'esprit il y a 2 ans ne devait pas etre si différent de celui que j'ai actuelement j'écrit noirceur ou bien léger dans la vie j'suis un kiffeur j'veut dire vraiment j'suis heureux j'ai le sourire et j suis motivé peu etre d'autre me vois différent mais non vraiment j'suis loing d'étre mal dans ma peau je vie une vie kiffante et j'éspére continué de croqué meme quand j'naurait plus de dent!
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euh un simple merci a Line qui a pris de son temps pour corriger ton truc ce serais pas mal de ta part aussi;)
elle corrige les textes bénévolement..
t bipolaire limite schyzo mais y'as des jolies choses a marée basse dans les rochers.
persévère;)
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mmmm ne t'inquiéte surtout pas Line je lui avait envoyé un message privé pour la remercier et plus qu'un simple merci stu veut tout savoir...
oula nan nan franch'men j'suis pas skyzo encors moins bipolaire si c'est l'inpression que je te donne c'est peu etre pasque tu reste en surface faut creusée un peu plus pour connaitre les gents mouai faut creusé un peu plus...
Dernière modification par toadman-twister (29-01-2010 09:25:40)
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La dualité est humaine...
Un peu long parce que pas assez de mise en page, mais une bonne mise en bouche quand même!!!
LOL
J'aime bien ce style!
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hello eki merci de ton com , saurait tu m expliqué la technique de la mise en page j'vois pas en fait ce que c'est eu désolé j suis pas top top niveaux francais tout caaa quoiiiii mais des conseil constructif j suis super preneur donc peut tu m'en dire plus?
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Et bien j'suis une quiche en ortho etc etc, mais la mise en page c'est les espaces entre les mots, sauter des lignes, retourner à ligne, et toutes ces petites choses qui rendent la lecture d'un texte plus agréable!!! You know?!
C'est très utile surtout si tu fais un pavé!
Ton texte est bon, mais comme c'est un pavé, il faut réfléchir pour pas manquer une ligne etc, alors qu'avec une bonne mise en page, on a qu'à lire!
Je sais pas si je suis claire dans mon explication mais j'espère que t'as capté!!!
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mmm je vois sauter des lignes héhé les les coquines ! de l'espace entre les mots pour la fraicheur huhuuuu courant d'air frais sur un air chaud genre: SO LORD MERCYYYYY aiiiie putin j kiff !! brefff je m'égare, c'est sur... huhuuu mon texte un bon pavé? mmm thank a lot!!!! sous les pavés la page !!! hey éki j'sait pas si t'est clair en tout cas tu m'éclaire comme un rayon d'soleil j'suis éblouis par ta lumiére un pti coeur en hivert faut dire sans brisé une fausse intimitéj'ai mal aux yeux l'ecran ma niké la corné surtout quand j'commence à déliré abondonnant mon papier pour le clavier faut dire que j'vient d'me tapé 10 bacardi breezer un pti apero bien arrosé et me voila connecté à raconté ma vie j'ai choppé le plus gros égotrip asiatique h1n-hic hic hic wow j'suis cassé j'vais encors dormir la lumiére allumé hu allez jte j'laisse j'suis dja trop partis en trip faut j'aille me couché en plus c'est meme pas de chez moi qu'jsuis connecté bye bye j'vais rentré....poche...clés?re poche...hu pas d'clés!? ha siiiii dans ma main j'suis teubé... euuu porte,une enjambé mmmm canapé...boom!! aie tombé tan pis tapis...ZZZzzZZzzZZzz..désolé....
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