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Je L'ai Sur L'air De La Chanson C'est Entrainant Si T'es Avec Un Pote Genre Austral
Alors La
Quel Boeuf
Dernière modification par nouga (26-09-2009 13:38:02)
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envoyé à l'instant par Flo Créations que je remercie du fond du coeur
Quand je te peau
tu me poésie
Quand je te mot
tu me jolie
je te coup d' oeil
tu me regardes
tu t'alcool
et je me rapproche
je te grotesque
tu m'exténues
tu me sourire
là j'en peux plus
tu me dent blanche
je te dimanche
je te risque
et tu me lune
refrain :
Je te chair
tu me bouche
tu me clavecin
je te touche
tu me corsage
je te corps tout court
quand je te nage
tu me chavire
Je te perpendiculaire
et tu m' horizontal
je t'amazone
tu m' amadoues
tu m'absurbe
et je te souris
Je t' idolâtre
quand tu m'idylle
tu me syllabe
tu me catastrophe
tu me voyage
je te sacré coeur
tu me dérobe
t'es q' un voleur
tu m'insuportable
mais tu m' exaspérante
mais tu me merveille
et je te contente
tu me silhouette
je te paroxisme
tu me cachette
je t'électrise
refrain :
quand je te peau
tu me poésie
quand je te mot
tu me jolie
tu me cascade
tu m' envahie
et quand on s'aime on se graine
refrain X2
Luciole
en écoute sur deezer ici
http://www.deezer.com/fr/#music/luciole/ombres-369827
Bonne ecoute
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Un texte de Nada
J'ai mal dans l'âme, mal dans l'âme fils, la douleur c'est comme le vice, ça rentre en toi, n'en ressort pas, ça peut s'accepter mais ça n'se guérit pas.
C'est parfois pire que la peste ou que l'choléra, une malaria mentale, un sida cérébral pour cerveau cannibale dans un crâne carcéral.
J'ai passé ma vie à m'fuir, me suis vu m'détruire, chercher l'oubli dans l'euphorie, chercher l'paradis à n'importe quel prix, s'taper des O.d dans des gourbis pourris, rêver d'un monde meilleur vautré dans des taudis, s'croire maudit, banni, putain d'vie, saloperie, goût d'moisi, goût d'chierie, dégoût d'soi, insomnie.
La déchéance était mon seul amour, jour après jour sans espoir de retour, j'me suis fixé comme un damné, jusqu'à c'que mon pieu ait du mal à trouver, l'entrée d'une veine sclérosée par la morsure de l'acier.
Pour le smack j'ai bandé comme tu bandes pour une fille, pute à talons aiguilles, balconnets, bas résille, porte-jarretelles, tapis dans la ruelle, la cuillère posée sur un couvercle de poubelle, j'ai relevé ma manche en bavant sur ma s'ringue comme tu baves sur une gonzesse qui t'rends dingue, mini jupe ras d'la touffe dans un réduit cradingue, partie d'trou du cul dans une veka qui schlingue.
J'ai mal dans l'âme, mal dans l'âme frérot, mes mots sont des larmes, mes rimes des sanglots.
J'ai rien senti monter, j'me suis fait arnaquer, qu'elle soit bonne ou coupée j'étais juste une poupée dans les mains d'un sorcier.
Sans arrêt m'faire des trous c'était mon trip vaudou, je regardais les miens qui partaient un à un, toujours le même refrain, strychnine, mort au rat, suicide, coma, sida.
L'matin j'me réveillais la gueule bien ensuquée, suintant la mort par tous les pores de ma peau, transpirant comme un porc par toutes les parties d'mon corps, j'oubliais d'me laver, d'me raser, j'roulais mon bud, j'l'allumais et j'm'en allais chopper.
J'bouffais vingt Néocodions pour pouvoir décoller, c'était mon seul moyen de m'tenir sur mes pieds, j'enfilais mon blue-jean, le même depuis des mois et j'partais galérer pour trouver d'la meka.
Pas d'amis, pas d'potes, juste un bras qu'on garrotte, j'arpentais les rues à l'affût d'une carotte, j'tremblais, sentais mauvais, j'marchais pas, j'me trainais, j'ai jamais oublié, le vomi, les diarrhées dans lesquels je baignais quand l'besoin m'torturait.
Aujourd'hui j'peux l'raper, ça m'donne des rimes authentiques à gerber, dégueulis vérité sur instru dépouillé, j'ai grossi d'quinze kilos, j'crache mon spleen au micro, j'apprends à vivre avec le coeur en lambeaux, j'essaie de m'recoller morceau par morceau.
J'suis comme un acrobate qui travaille sans filet, un pas d'travers et j'vais brouter l'pavé, la poudre magique est toujours là à m'attendre et pour la prendre y'a qu'un billet à tendre.
Quel que soit mon état, la joie, le désarroi, j'ai qu'une seule solution, m'abstenir de c'truc là , un jour à la fois, même si je doute parfois, les narcotiques c'est terminé pour moi.
J'ai mal dans l'âme, mal dans l'âme frérot, mes mots sont des larmes, mes rimes des sanglots.
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très joli texte
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Kwal :
Là où j'habite
juste pour ceux qui ne connaissent pas
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Je fesais partie moi aussi de ceux qui ne connaissait pas !
Merci austral c'est top ; j'aime beaucoup
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découverte jubilatoire, merci...
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Merci austral
J'insiste nicole, j'insiste ! lol
Un bout de route de KWAL ===> http://www.youtube.com/watch?v=uFGDMqLHrFo (euh je sais pas faire autrement ! lol)
Je te propose un bout de route, à travers des joies, des coups durs, de la tendresse et des doutes, je te propose un bout de route, je te propose un bout de route …
C’est pas dans ma tête, c’est partout que ça me parcourt, et je ne sais pas pourquoi, mais avec toi, j’ai envie de faire un bout de route, longue ou courte, à travers des joies, des coups durs, de la tendresse et des doutes. Parce que tu ne m’entends pas, mais tu m’écoutes …
Parce que pour se comprendre, on n’a pas besoin de parler à voix haute. C’est vrai que la passion, ça vient d’un coup, et puis ça se tasse, mais avec toi, j’aime bien la saveur de ce qui la remplace …
Parce que souvent, t’es attentionnée, mais jamais possessive, t’as compris que je ne suis pas à toi …
Et tu me laisses de l’air pour vivre. On se regarde pas dans le blanc des yeux, mais on aime bien faire des choses ensemble …
Parce qu’on n’est pas UN, on est DEUX !
Alors voilà , avec toi je crois que j’ai envie de poser les valises et construire, et pourquoi pas voir un jour pas trop lointain ton petit ventre grossir …
Je ne sais pas si c’est « je t’aime » que ça veut dire, je sais qu’avec toi que je me vois bien vieillir, J’imagine, sans avoir envie de m’enfuir, un jour ta peau ridée contre la mienne …
En fait, à mes yeux, je sais pas pourquoi, tu n’es plus UNE mais tu es devenue LA …
Je te propose un bout de route, on n’est pas obligés d’aller se déguiser, moi en pingouin, toi en meringue, s’offrir des bagues, et aller se dire des mots doux devant monsieur le maire, la famille, et puis faire la bringue …
Non, j’exagère, mais les noces peuvent être des chaînes, la nature humaine, elle fait que, parfois, elle part l’envie d’effort, et moi, c’est tous les jours que j’ai envie de te reconquérir si on veut avoir une chance qu’entre nous ça tienne.
C’est parce que tu existes sans moi, tu es libre à tout moment de partir, que j’ai envie de te retenir. J’ai vu trop de débuts qui sont devenus des fins. Ca veut pas dire que j’ai peur si on s’engage, ça veut dire que je crois que des fois, il cache un piège le mot « mariage ». Les belles cérémonies, des fois, ça me fait un peu sourire, il y a juste un truc qui me fait pleurer comme un gamin : « pour le meilleur et pour le pire » … parce que j’ai vu deux êtres jusqu’au bout se tenir la main. Et je t’assure que je n’ai jamais rien vu de plus fort, surtout que c’était les deux êtres qui m’ont donnée le jour alors j’espère à mon tour être à la hauteur si jamais le malheur, la maladie, la mort se mêlent à notre amour. Moi … c‘est l’ennui qui me fait peur, parce que des fois, ce qu’on a là , ça part, et on n’avait pas vu le coup venir. Il y a ton caractère et mon bordelisme mais c’est pas le pire : il paraît qu’il y a un truc qui s’appelle la tretain, il y a le quotidien et puis des fois la quarantaine, et puis des fois, quand le premier enfant s’amène, on devient père et mère, on n’oublie qu’on est homme et femme et qu’on s’aime …
Il y a de quoi faire, moi, le parcours de l’amour, il me fait penser à un champs de mines !
Souvent, il y a le doute, le doute, encore le doute, qui nous dévore, et il y a toujours ce petit truc d’aller voir ailleurs …
Parce qu’ils sont partout le désir, la tentation, l’envie de séduire pour se sentir encore en vie, je pense à ces mecs pas discrets qui te font rire, qui te tournent autour mais bon, je prends sur moi parce que j’ai aussi mes petits secrets. Il y a tout ça, et la peur qu’un jour ça nous dépasse, si on passe plus de temps à recoller qu’à se faire plaisir, si un jour toi et moi, les yeux dans les yeux, on n’a plus rien envie de se dire, alors je te propose qu’on n’attente pas qu’il y ait trop d’eau dans le gaz, mais qu’on fasse toujours comme à l’instant : on se pose … et on cause …
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belle vision de la route,
après les voyages en trains<<<->>>
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Tu n'avais pas besoin d'insister parce que je suis tombée dans le chaudron aussi , mais ce texte est un cadeau, qui résonne je suis sure dans le coeur de pas mal....
Merci de l'avoir posté
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vous me faite plaisir a Poster du Kwal Ici j'ai découvert depuis maintenant 2 ans ! et j'adore !
merci donc
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j'aimerais partager avec vous un texte de Léo Ferré qui me fait particulièrement vibrer malgré toute sa violence.
où nous conduit la jalousie?
LA JALOUSIE
dis-moi la jalousie comment ça fait comment ça vient
comment ça va dis-moi comment ça se fringue aussi la jalousie
dis-moi
avec des bas tirés dessus comme une arme qui se dégaine
et qui poursuit de rêves vieux de cent mille ans
avec au creux des dents de loup
dis-moi la jalousie quand ça te prend au fond d'un lit où tu es seul
avec dans le plafond des araignées
qui tissent un peu de ta mélancolie
que tu prendras demain matin sur l'autoroute
à te traîner aux portes de Paris
dis moi la jalousie comment ça fait comment ça vient
comment ça va dis-moi comment ça fait des trous la jalousie
dis-moi
avec des yeux qui sont doublés comme un radar qui se souvient
en plein nuit de mille autres yeux tout cernés
avec au fond des revolvers
dis-moi la jalousie quand ça te prend au bord du gouffre où tu es seul
avec au fond dans la vallée du sang
versé dans les poubelles de l'amour
dans les fanfares du retour sur l'autoroute
à te rentrer dans ta banlieue dis-moi
dis moi la jalousie comment ça fait comment ça vient
comment ça va dis-moi comment ça tue le temps la jalousie dis-moi
avec le chrono dans le cœur que tu n'arrêteras jamais
à moins qu'il ne s'arrête en plein milieu d'un lit
meublé à deux à deux sans toi
dis moi la jalousie quand ça te prend au fond du creux dans la géométrie de ta banlieue
avec ses mains
qui grattent au ciel dis mois les revolvers
c'est pas fait pour les chiens et si tu n'es qu'un chien
t'as qu'a rentrer dans ta niche à moins que
à moins que... à moins que...
allez tire-toi!
Dernière modification par NAS'R (18-10-2009 11:32:49)
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Merci nas'r c'est un trés beau texte
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la jalousie laisse passer les rais du soleil
elle laisse aussi passer les incertitudes des hommes
les faiblesses ses angoisses et ses peurs
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Jean-Loup Dabadie
Le temps qui reste
Combien de temps...
Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures combien?
Quand j'y pense mon coeur bat si fort...
Mon pays c'est la vie.
Combien de temps...
Combien
Je l'aime tant, le temps qui reste...
Je veux rire, courir, parler, pleurer,
Et voir, et croire
Et boire, danser,
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Voler, chanter, parti, repartir
Souffrir, aimer
Je l'aime tant le temps qui reste
Je ne sais plus où je suis né, ni quand
Je sais qu'il n'y a pas longtemps...
Et que mon pays c'est la vie
Je sais aussi que mon père disait:
Le temps c'est comme ton pain...
Gardes en pour demain...
J'ai encore du pain,
J'ai encore du temps, mais combien?
Je veux jouer encore...
Je veux rire des montagnes de rires,
Je veux pleurer des torrents de larmes,
Je veux boire des bateaux entiers de vin
De Bordeaux et d'Italie
Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Je veux chanter
Je veux parler jusqu'Ã la fin de ma voix...
Je l'aime tant le temps qui reste...
Combien de temps...
Combien de temps encore?
Des années, des jours, des heures, combien?
Je veux des histoires, des voyages...
J'ai tant de gens à voir, tant d'images..
Des enfants, des femmes, des grands hommes,
Des petits hommes, des marrants, des tristes,
Des très intelligents et des cons,
C'est drôle, les cons, ça repose,
C'est comme le feuillage au milieu des roses...
Combien de temps...
Combien de temps encore?
Des années, des jours, des heures, combien?
Je m'en fous mon amour...
Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore...
Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul...
Quand le temps s'arrêtera..
Je t'aimerai encore
Je ne sais pas où, je ne sais pas comment...
Mais je t'aimerai encore...
D'accord?
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Je viens de reçevoir ce texte, d'un ami "lointain" mais qui revient visiter de temps à temps.
Et comme il est pour le partage ...........
En espérant qu'il vous apportera autant de plaisir qu'il m'en a apporter.
LORSQUE TU ME LIRAS
"Lorsque tu me liras, je te regarderai dans le pare-brise,
Tu viendras à moi, tout entière, comme la route,
Lorsque tu me liras, la maison sera silencieuse, et mon silence à moi te remplira tout entière aussi.
Avec toi, dans toi, je ne suis jamais silencieux, c'est une musique très douce que je t'apporte...
Quant à toi, tu verses au plus profond de ma solitude, cette joie triste d'être, cet amour que, jour après jour, nous bâtissons, en dépit des autres, en dépit de cette prison où nous nous sommes mis, en dépit des larmes que nous pleurons chacun dans notre coin, mais présents l'un à l'autre...
Je te voyais, ces jours ci, dans la lande, là -bas, où tu sais...
Je t'y voyais bouger, Ã peine te pencher vers cette terre que nous aimons bien tous les deux, et tu te prosternais
à demi, comme une madone, et je n'étais pas là ... ni toi...
Ce que je voyais c'était mon rêve...
Ne pas te voir plus que je ne te vois...
Je me demande la dette qu'on me fait ainsi payer.
Pourquoi? L'amour est triste, bien sûr, mais c'est difficile, au bout du compte, difficile...
Dans mes bras, quand tu t'en vas longtemps vers les étoiles et que tu me demandes de t'y laisser encore... encore...
Je suis bien; c'est le printemps, tout recommence, tout fleurit, et tu fleuriras aussi de moi, je te le promets.
La patience, c'est notre grande vertu, c'est notre drame aussi.
Un jour nous ne serons plus patients.
Alors, tout s'éclairera, et nous dormirons longtemps, et nous jouirons comme des enfants.
Tu m'as refait enfant; j'ai devant moi des tas de projets de bonheur...
Mais maintenant, tout est arrêté dans ma prison.
J'attends que l'heure sonne...
Je me perds dans toi, tout à fait.
Je t'aime, Christie, je t'aime."
Léo Ferré
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Magnifique, merci à cet ami lointain
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Pour NAS'R, je n'ai pas osé le poster sous son slam "le cul entre 2 chaises'
Il y a des gens qui se sentent si bien d'être nés quelque part qu'ils ne voient pas plus loin que le bout de leur nez...est ce mieux que de ne pas trop savoir où sont ses racines?
La ballade des gens qui sont nés quelque part
by Georges Brassens
C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est être habités
Et c'est être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Maudits soient ces enfants de leur mère patrie
Empalés une fois pour toutes sur leur clocher
Qui vous montrent leurs tours leurs musées leur mairie
Vous font voir du pays natal jusqu'Ã loucher
Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète
Ou du diable vauvert ou bien de Zanzibar
Ou même de Montcuq il s'en flattent mazette
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Le sable dans lequel douillettes leurs autruches
Enfouissent la tête on trouve pas plus fin
Quand à l'air qu'ils emploient pour gonfler leurs baudruches
Leurs bulles de savon c'est du souffle divin
Et petit à petit les voilà qui se montent
Le cou jusqu'Ã penser que le crottin fait par
Leurs chevaux même en bois rend jaloux tout le monde
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
C'est pas un lieu commun celui de leur connaissance
Ils plaignent de tout cœur les petits malchanceux
Les petits maladroits qui n'eurent pas la présence
La présence d'esprit de voir le jour chez eux
Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire
Contre les étrangers tous plus ou moins barbares
Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Mon dieu qu'il ferait bon sur la terre des hommes
Si on y rencontrait cette race incongrue
Cette race importune et qui partout foisonne
La race des gens du terroir des gens du cru
Que la vie serait belle en toutes circonstances
Si vous n'aviez tiré du néant tous ces jobards
Preuve peut-être bien de votre inexistence
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
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c'est vrai que ses textes etaient super
bravo nounou
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N'oubliez Jamais (N'oubliez Jamais)
Papa pourquoi tu joues
Les meme vieilles chansons
Pourquoi tu chantes
Avec la mélodie
[couplet]
Parce qu'en bas de la rue
Il y a quelque chose qui se passe
Il y a un nouveau rythme
Et une nouvelle chanson
Il disait
Dans ma vie, il y avait tant de colère
Pourtant je n'ai pas de regrets
Comme toi j'étais un tel rebel
Donc danse ta propre danse, et n'oublie jamais (1)
N'oubliez jamais
J'entendais mon père dire
Toute génération a sa façon de faire
Un besoin de désobéir
N'oubliez jamais
C'est dans ton destin
Un besoin de désaccord
Quand les règles bloquent le passage
N'oubliez jamais
Maman pourquoi tu danses
Sur les même vieilles chansons
Pourquoi tu chantes
Seulement l'harmonie
[couplet]
Elle disait
Dans mon coeur il y a des passions de jeune fille
Pour une longue vie en duo
Un jour bientot
Le sourire de quelqun te hantera
Donc chante ta propre chanson et n'oublie jamais (1)
[Refrain]
Quel est le jeu
Chercher l'amour ou la renommée, c'est la même chose
Un de ces jours tu dis que l'amour sera un remède
Je ne suis pas sure
[Refrain]
(1) Dans le sens de mener sa propre vie
Joe Cooker
la version originale
Papa, why do you play
All the same old songs
Why do you sing
With the melody
Cause down on the street
Somethings goin' on
There's a new beat
And a brand new song
He said
In my life, there was so much anger
Still I have no regrets
Just like you, I was such a rebel
So dance your own dance, and never forget
N'oubliez jamais
I heard my father say
Every generation has it's way
A need to disobey
N'oubliez jamais
It's in your destiny
A need to disagree
When rules get in the way
N'oubliez jamais
Mamma, why do you dance
To the same old songs
Why do you sing
Only the harmony
Down on the street
Something's goin' on
There's a new beat
And a brand new song
She said
In my heart theres a young girls passion
For a life long duet
Someday soon
Someone's smile will haunt you
So sing your own song and never forget
N'oubliez jamais
I heard my father say
Every generation has it's way
A need to disobey
N'oubliez jamais
It's in your destiny
A need to disagree
When rules get in the way
N'oubliez jamais
What is this game
Searching for love or fame, it's all the same
One of these days you say that love will be the cure
I'm not sure
N'oubliez jamais
I heard my father say
Every generation has it's way
A need to disobey
N'oubliez jamais
It's in your destiny
A need to disagree
When rules get in the way
N'oubliez jamai
Joe Cooker
Dernière modification par sekaijin (03-11-2009 20:13:41)
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je ne sais pas comment créer un lien mais je voulais partager cet extrait d'un texte de shuriken " IAM"
bonne lecture...
Regarde ma terre en pleure
Mais les choses ici prennent une telle ampleur
Les fils partent avant les pères, y a trop de mères en sueur
Quand les fusils de la bêtise chantent le même air en cœur
Le mangeur d’âme à chaque repas s’abreuve de nos rancœurs
Je l’entends toutes les nuits, las des fantômes qui la hantent,
Las de leurs complaintes,tellement que des fois elle en tremble
Par le sang de la haine, constamment ensemencée,au pas cadencé, Quand ce dernier chasse le vent hors des plaines
Rien n’a changé depuis, où je vis, Juifs, Catholiques,
Musulmans, noirs ou blancs, fermez vos gueules, vous faites bien trop de bruit
Comme ces orages dont l'eau se mêle à nos larmes,
Et leurs chocs sur le sol aride dont l’uranium à voler l’âme
Je veux pas d’une ville aux cimetières plus grand que la surface habitable
Même si paraît que de l'autre coté tout est plus calme, plus stable
Je veux pas qu’après le jour J, les survivants survivent sous le néon,
Trop proches du néant, car le soleil les prive de rayons
Les artères pleines d’amer comme un caddy au Géant,
On charge, on charge, à la sortie c’est tout dans les dents
J’crois que c’est dans l’ère du temps, chacun cherche son bouque émissaire
Ouais, d’une simple vie ratée à l’envoi d’une bombe nucléaire
L’amour manque d’air dans leur monde, nous on suffoque, tout ce qu’on supporte,
Ca pressurise, et c’est les psys qui vont exorciser,
Que quelqu’un me dise,si j’ai des chances de voir enfin la paix exigée.
Qu’un jour les abrutis s’instruisent,
Perché sur ma plume, j’attends c’ moment observe ce bordel
De petites flammes montées au ciel, pour elle j’ai saigné ce gospel
"Héra" se barre à tire d'ailes; las de la sève qu’on tire d’elle
On clame tous ce qu’on l'aime, mais aucun de nous n’est fidèle
Jalousie et convoitise, se roulent de grosses pelles
Quand les problèmes viennent, on règle ça à coup de grosses pêches
Et pendant ce temps là , certains amassent des sous par grosses bennes
Devine qui est ce qui creuse mais avec des plus grosses pelles
Quand est ce qu’on y arrive, là où le bonheur désaltère
Mon futur se construit, sans cris, sans mecs à terre,
Ni de centrale en fuite rien sur le compteur Gegere
Et finalement conscient qu’ici, on est que locataire
Tu parle d’une location, regarde un peu ce qu’on en a fait
Quand le vieux fera l’état des lieux, on fera une croix sur la caution
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joli texte
très vrai c'est ce qui est desolant
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pour le fun..jp francois y'a deja 20 ans
Dans les miroirs chinois
Dans le bleu des photos
Dans le regard d'un chat
Dans les ailes d'un oiseau
Dans la force d'un arbre
Dans la couleur de l'eau
Je te survivrai
Dans l'hiver et le vent
Dans le froid des maisons
Dans les sables mouvants
Où j'écrirai ton nom
Dans la fièvre et le sang
Dans les murs des prisons
Je te survivrai
Je te survivrai d'un amour vivant
Je te survivrai dans des yeux d'enfant
Je te survivrai comme un revenant
Je te survivrai
Je te survivrai et tu m'entendras
Je te survivrai quelque part en toi
Je te survivrai au-delà de moi
Je te survivrai
Dans les bruits de la ville
Dans les aéroports
Dans les jours difficiles
Où je t'aimerai encore
Dans les nuits anonymes
Où je perdrai mon corps
Je te survivrai
Je te survivrai d'un amour vivant
Je te survivrai dans des yeux d'enfant
Je te survivrai comme un revenant
Je te survivrai
Dans les frissons du cœur
Dans les mots des chansons
Dans les cages d'ascenseur
Ou les caves des bas-fonds
Dans l'angoisse et la peur
Frissonant d'émotion
Je te survivrai
Je te survivrai d'un amour vivant
Je te survivrai dans des yeux d'enfant
Je te survivrai comme un revenant
Je te survivrai
Je te survivrai et tu m'entendras
Je te survivrai quelque part en toi
Je te survivrai au-delà de moi
Je te survivrai
Je te survivrai d'un amour vivant
Je te survivrai dans des yeux d'enfant
Je te survivrai comme un revenant
Je te survivrai
Je te survivrai et tu m'entendras
Je te survivrai quelque part en toi
Je te survivrai au-delà de moi
Je te survivrai
Je te survivrai d'un amour vivant
Je te survivrai dans des yeux d'enfant
Je te survivrai comme un revenant
Je te survivrai
Dernière modification par mailgibson (14-11-2009 03:41:13)
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pour krolin
un texte plutot sympa..
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Merci mail
N'oublie pas chaque fin peut être changé !
On a quand même les commandes de nos vies ... alors ...
Bisous tendres
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J'adore cette chanson et je fais partager ("Renan Luce - Femme à lunette")
En écoute, ici : Renan Luce
Femme à lunettes
Elle est devenue
Ce fameux soir
Où à l'oeil nu
Elle tentait de mater
Avec charme
C'qu'il y avait
Dans la petite lucarne
Ses yeux qui plissent
Et moi complice
Qui suis toujours aux ptits soins
J'l'ai emmené chez l'opticien
Femme à lunettes
Femme à cannaille
Qu'aime la monture en écaille
Femme à lunettes
Reste près d'ici
Pour toi j'fais pas presbytie
Femme à lunettes
Quand au cinoche
Elle cherche un mouchoir dans ses poches
Y a derrière son regard intello
Deux yeux qui pleurent devant les mélos
J'fais mine de rien
J'la regarde en coin
Moi-même j'comprends son humeur
Quand à la fin le chien il meurt
Femme à lunettes
Femme à cannaille
Qui aime la monture en écaille
Femme à lunettes
Reste près d'ici
Pour toi j'fais pas presbytie
Femme à lunettes
Quand elle conduit
J'me tiens à la barre d'appui
Pour Noël j'lui filerais
Un traineau
Et des rennes qui savent faire les créneaux
Elle peut faire une brise
Contre le pare-brise
Tellement qu'elle se tient tout près
De la route qui mène après
Femme à lunettes
Femme à cannet
Qui aime la monture en écaille
Femme à lunettes
Reste près d'ici
Pour toi j'fais pas presbytie
Dernière modification par Eros (14-11-2009 13:58:32)
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Matmatah "au conditionnel"
J’ai passé tant de nuits à briller sous mille soleils
À butiner les fleurs de ma bohème
Et pour rien au monde, je n’changerai le goût de ce miel
Mais voilà , vous me posez un sérieux problème
Non pas que vous ayez changé la couleur de mon ciel
Mais les choses aujourd’hui ne sont plus les mêmes
Et c’est non sans regrets que j’ai eu vent de la nouvelle
Une information à mettre au conditionnel,
Mais il semblerait bien que je vous aime.
Et même si la rumeur se fait de plus en plus belle
Et qu’elle crie sous mon toit que vous êtes une crème
S’il devient évident que vous semblez être celle
J’ai le cœur enchaîné à mon vieux théorème
C’est à mon grand regret que je n’peux que vous l’énoncer comme tel
Une information à mettre au conditionnel,
Mais il semblerait bien que je vous aime.
Faut-il que je songe enfin à me brûler les ailes ?
Ne croyez surtout pas que j’en ai la flemme
C’est sans doute par crainte que je chasse le naturel
Mais il tombe dans vos bras. C’est commun, les mortels…
Bientôt je serai prêt, je serai l’homme le plus formel.
Une information à mettre au conditionnel,
Mais il semblerait bien que je vous aime
Voila, des paroles d'un groupe que j'aime beaucoup, Matmatah, j'en mettrais surement d'autre.
Dernière modification par Slameur ailé (01-12-2009 09:25:33)
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Bonsoir, je suis nouveau ici, (invitée par EwiZz) je suis un petit poète de la nuit, et je vous écris ceci, en ses temps de pluie :
Amour..
Un regard, un sourire, des paroles
Voilà que nous nous sommes rencontrés
Un souffle, une pensée, des mots drôles
Et voilà que nous nous sommes aimés
Pour un temps, pour la vie, nous n'savions
Le destin a choisi notre voie
Et c'est tous les deux que nous irons
Tout au loin, tout là -bas...
J'étais près, je voulais y aller,
Mais tu m'as stoppé,
Avec toi, je dansais,
Je riais, je t'aimais,
Pourquoi m'as-tu quitté ?
Mon coeur est brisé,
Tu étais la seule femme,
Que je ne pourrai jamais aimer,
Et pourtant, le temps d'un battement,
j'ai senti mon coeur se fendre en un craquement...
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l'amour s'est envolé mais il te reviendras comme la rosée
Plume ce craquement est le signe d'un changement
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