Vous n'êtes pas identifié.
Hier, à Paris, grande première au parlement
le président de la république dit n’importe quoi
insulte sans équivoque tous les québécois
s’ingère dans les affaires du Québec effrontément.
Vent de droite ou accident démocratique
le coq Sarkozy à la tête de ce grand pays ?
Bien qu’avec Bush, Poutine, Harper, Charest
on n’en était pas à un poltron près !
Combien de temps reste-t-il à celui-ci ?
Je mets tout de suite une bouteille au frais !
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"notre" petit président à trop vouloir se mettre en avant se prend souvent les pieds dans le tapis et dit des conneries .... Excuse nous Pierre .... Chez nous les coqs ne sont bons que bien cuits à la bière ( recette Ch'ti ) ... lol
Vincent V
Qu'est ce qu'il a dit encore?? Une seule a la fois....mais il ne les rate pas
Vincent .... je ne connais pas cette recette, mais il me tarde d'en manger, arrosé avec la bouteille de Pierre
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Ce n'est pas la premiere fois qu'un leader francais se mele de nos affaires, juste que quand c'etait DeGaulle ca faisait notre affaire!
Deux mals ne font pas un bien.
Ceci etant dit Sarko c'est un trou du cul opportuniste qui met sa face a claques partout ou il n'a pas d'affaire en se prenant pour le bon Dieu.
Ma bouteille est mise depuis longtemps.
http://www.grandcorpsmalade-fan.net/for … hp?id=1047
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ça m'en rappel une bonne:
Je suis québéquois alors excuse mon Français
ben moi Je suis Français alors excuse mon président
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je prepare un texte qui se nomme de quoi je me mele de quoi je me maile marrant nan?
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excuse nous pauvre français que nous sommes nous avons élu un gars qui n'a pas tous les neurones branché. Alors évidement ....
Je suis tout autant sur le cul de voir que lui le mec qui n'a jamais cessé de retourner sa veste pour être au premier plan ait été élu. le mec le moins crédible a réussit à faire oublier que la veille encore il disait le contraire de son discours du jour.
visiblement nous autres français ne sommes pas plus perspicace que nous amis américain qui on été assez aveugle sur le premier manda de bush pour le réélire.
Alors si notre président dit des connerie sorry les gars c'est bien parce qu'on n'a pas sur ouvrir nos oreilles.
A+JYT
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"Qu'est ce qu'il a dit encore??"
demande Nicole.
Voici un article complet sur cette affaire d'intérêt national québécois...
http://www.ledevoir.com/2009/02/03/231158.html
J'ai déjà été très fier de la France alors qu'un certain ministre des affaires étrangères avait tenu tête à l'ONU aux facistes de la droite américaine en refusant d'aller en Irak.
Sarkozi n'est sans doute qu'un accident de parcours... de retour à la bonne vieille France sous peu...
Icarus, je la note..
"Je suis québécois alors excuse mon Français
ben moi Je suis Français alors excuse mon président "
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sekaijin a écrit:
visiblement nous autres français ne sommes pas plus perspicace que nos amis américain
Il y a aussi des gens qui ont voté comme Sophie Marceau (actrice connue) qui a dit dans le journal de 20h que comme elle ne savait pas pour qui voter, elle a mélangé les bulletins, fermé les yeux et pris un bulletin au hasard... et c'est Sarkozy qui a gagné....
...pas nous.....
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Je serai surpris qu'il y ait des assidus de ce forum qui ont fait comme la fille du célèbre mime, tout au plus certains ne se sont peut-être pas présentés aux urnes. Même à ça, la vague semblait là . Ici , les propos de Sarkozy font la une partout. Plusieurs québécois veulent aller à Paris interpeler le président sur la place publique.
Par contre, à ce qu'on m'a dit, il a un taux de popularité semblable à Bush bien qu'il ait marqué des points avec son projet de réforme bancaire dernièrement. Finalement, il ne me semble pas vraiment représentatif de l'ensemble des français.
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N'empèche, l'UMP qui se prétend un partit Gauliste ne réspecte pas vraiment les valeurs du Général (remarquez je dis ça, je suis peut-ètre un peu jeune...)
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Pour étayer la thèse; j'ai reçu ça hier, je l'ai retrouvé sur You Tube http://www.youtube.com/watch?v=kkkWkmK0GSM .. l'intervention du président est en fin de bande .... " Les grands à la manoeuvre " ... Perso je ramène la bière !!!
Vincent V
on a comme au us un système démocratique très pertinent
le scrutin à deux tour si beaucoup de candidats se présentent et qu'ils font plus ou moins jeu égal notre système va retenir les deux meilleur score. on peut par exemple avoir 8% et 9% et une foule de candidats à moins de 8% dans un cas pareil celui qui arrive devant l'autre au deuxième tour à gagné. on a donc droit à un président qui se dit représentatif de la majorité avec seulement 8% des électeurs qui ont voté pour lui
je vous laisse juge de la pertinence de la chose et je ne sais ce qui serait mieux.
mais il y a pire.
nous avons en France environs 50% de la population qui n'est pas en droit de voté (un peu moins en réalité mais on va simplifier les chiffres) soit environs 30 000 000 de Français
parmi ces personnes en age de voter un peut plus de 2/3 sont inscrit sur les listes électorales soit environs 20 000 000
au dernière élections présidentiel nous avions un taux de participations exceptionnel d'environ 50%
soit 10 000 000 de Voies
et notre présidents a obtenu 30 % des suffrages
soit donc 3 000 000
soit donc 5% des Français qui on effectivement voté pour lui.
Moi ça me laisse toujours rêveur
A+JYT
PS: et c'est aussi vrai pour Ségo
Dernière modification par sekaijin (04-02-2009 09:41:49)
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Quel sujet intéressant si on considère qu'aux élections précédentes je me suis vu "obligé" de voter Chirac avec donc un vote pour une personne qui n'est pas représentative de mes idées ....lol ... Je pense que l'élément "perturbateur" ou "valorisateur" selon les cas et l'aspect communication, présentation, qui laisse ainsi toute la place au ressenti et au subjectif ... avec pour résultat ... ça ...
Je pense que le pire des imbéciles ou le plus malintentionné s'il agit avec sourire, pseudo gentillesse, fait preuve de brillance d'esprit séduit plus surement que celui qui fait preuve de sagesse voir d'humilité .... Et la culture de l'élitisme n'arrange rien, il est toujours surprenant de voir des adultes vouer une forme de dévotion admiration à un autre homme appelé "supérieur" ou "hiérarchique" ... Un peu comme quand Monsieur Sarkosi a raccompagné cet imminent scientologue à son bateau ... avec un petit geste de la main ....admiratif ...
Oui .... triste .... mais en face ... pas vraiment quelqu'un non plus .... ce qui ne peut que renforcer les extrêmes ... et la pauvreté des uns ....
Vincent V
Surtout ne vous laissez pas manoeuvrer les Québécois .....Ce qui est bizarre c'est qu'on ne rencontre jamais de gens ayant voté Sarkozy !!!...ou alors quelques retraités à qui il a refilé la trouille..."l'insécurité" qu'il disait !et si c'était lui qui la distribuait à la grande cuillère cette insécurité?
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stoupig a écrit:
.....Ce qui est bizarre c'est qu'on ne rencontre jamais de gens ayant voté Sarkozy...
c'est normal 1 personne sur 20 environs seulement à voter pour lui ça
fais pas lourd
A+JYT
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ben...il y a au moins Sophie Marceau
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Ah non! Y'a Faudel aussi
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Ben on est pas loin du compte là non? ???
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VOICI COPIE DE LA LETTRE OFFICIELLE ENVOYÉE HIER AU PRÉSIDENT SUITE A L'INCIDENT DIPLOMATIQUE DE LUNDI DERNIER**********************************************
Montréal, le 4 février 2009 -
Monsieur le Président,
Nous voulons réagir de deux façons aux propos que vous avez récemment tenus à l'Élysée au sujet du Québec. D'abord, vous nous voyez ravis de constater que vous trouvez trop timide la politique française antérieure qui parlait de « non indifférence » pour qualifier l'intensité des rapports entre nos deux peuples. Vous préférez, dites-vous, parler « d'amour » entre des nations frères faisant partie d'une même famille. Dans la même veine, et cela vous surprendra peut-être de la part de deux leaders indépendantistes, nous vous félicitons pour l'énergie que vous avez mise, et que vous mettez encore, à assurer le succès de dossiers franco-québécois que nous appuyons vivement : la reconnaissance réciproque des diplômes entre Français et Québécois, qui permettra à nos professionnels d'œuvrer et de voyager plus facilement de part et d'autre, et le projet de libre-échange Canada-Union Européenne, dont le Québec est le principal promoteur et serait, de ce côté-ci de l'Atlantique, le principal bénéficiaire.
Car contrairement à l'idée que vous semblez avoir de nous, les indépendantistes québécois sont favorables à tout ce qui permet au Québec de s'ouvrir au monde. Vous semblez l'ignorer, Monsieur le Président, car à l'Élysée, vous avez accompagné vos remarques fraternelles de remontrances à certains de vos frères, affirmant au sujet des indépendantistes québécois qu'ils n'adhèrent pas au « refus du sectarisme, de la division, de l'enfermement sur soi-même, au refus de définir son identité par opposition féroce à l'autre ».
De qui parlez-vous, Monsieur le Président ? Des 49,4 % de Québécois, et donc de la forte majorité de francophones, qui, le soir du 30 octobre 1995, ont voté Oui à la souveraineté du Québec ? Au 43 % qui, lors d'un sondage de la semaine dernière, ont réitéré ce choix ? Cela fait beaucoup de monde. La moitié de la famille, Monsieur le Président. « Sectaires » ? « Féroces » ? les électeurs québécois qui ont élu en octobre 49 députés indépendantistes, soit près des 2/3 de la députation québécoise à la Chambre des communes à Ottawa et, en décembre dernier, 51 députés à Québec, formant ainsi l'opposition officielle ? « Adeptes de l'enfermement », les Québécois qui ont élu quatre gouvernements souverainistes majoritaires au cours des 30 dernières années ?
Nous ne pensions pas que le général de Gaulle nous appelait à l'enfermement sur nous-mêmes lorsqu'il a souhaité, en juillet 1967, que « Vive le Québec libre ! » Nous jugeons toujours qu'il avait raison lorsqu'il a plus longuement expliqué ce qui suit en novembre 1967 : « Que le Québec soit libre c'est, en effet, ce dont il s'agit. Cela aboutira forcément, à mon avis, à l'avènement du Québec au rang d'un État souverain, maître de son existence nationale, comme le sont par le monde tant et tant d'autres peuples, tant et tant d'autres États, qui ne sont pas pourtant si valables, ni même si peuplés, que ne le serait celui-là . » Nous ne pensons pas, non plus, que les nombreux hommes et femmes politiques français, dont plusieurs ont joué et jouent un rôle éminent au sein de votre formation politique, qui nous ont prodigué conseils et encouragements au cours des années et encore aujourd'hui, veulent pousser le Québec au sectarisme.
Notre mouvement est fier d'avoir incarné au cours des années l'exact contraire de l'idée que vous vous en faites. C'est ainsi que le fondateur de notre mouvement, René Lévesque, s'est battu bec et ongles pour que le Québec puisse s'exprimer au sein de l'Organisation internationale de la Francophonie, lorsque le gouvernement canadien le lui refusait. On doit à son successeur Jacques Parizeau d'avoir, le premier, appuyé le projet de libre-échange canado-américain, contre les partis pro-canadiens à l'origine trop frileux pour s'y engager. La mobilisation de l'électorat souverainiste québécois en faveur de cet accord en a assuré le succès lors d'une élection cruciale en 1988.
Ce sont des politiques économiques mises en œuvre par des gouvernements du Parti Québécois qui ont permis au Québec d'avoir une économie plus ouverte sur le monde que celle de la plupart des pays occidentaux. Ce sont des politiques linguistiques introduites par le Parti Québécois qui assurent désormais au sein de la majorité québécoise l'intégration de vagues d'immigration successives, jouissant de politiques plus ouvertes et plus généreuses que celles de la plupart des pays occidentaux.
C'est l'Assemblée nationale du Québec, sous la direction d'un président indépendantiste, qui a organisé la Conférence des parlementaires des Amériques, contre le vœu du gouvernement canadien et malgré les obstacles qu'il lui a opposés. Les exemples sont nombreux.
Nous ne savons pas d'où vous est venue l'idée que nous réclamons de vous que vous détestiez le Canada. Malgré nos différends importants avec nos voisins, nous respectons ce pays, ses valeurs et sa population. Nous pensons que l'indépendance du Québec mettrait un terme aux rancœurs et aux débats épuisants qui jalonnent l'histoire de notre présence dans le Canada. Dans l'argumentaire que nous distribuons largement, nous affirmons à tous que « le Canada et le Québec seront de bons partenaires au sein de la communauté internationale. Souverain, le Québec discutera de pays à pays avec le Canada et les chicanes fédérales-provinciales seront choses du passé. Nos deux nations sont destinées à collaborer, histoire et géographie obligent. »
Vous n'êtes pas sans savoir que les Nations-Unies ont accueilli, depuis 1980, pas moins de 38 nouveaux pays. Chacun a choisi de parler de sa propre voix, plutôt que de prolonger sa présence au sein d'un pays plus large qui n'était pas le sien. Loin de condamner leur arrivée, de leur faire des remontrances sur l'enfermement, la France les a accompagnés, les a reconnus. C'est ce que les Québécois attendent d'elle.
Mais nous devons à la vérité de vous faire savoir que jamais un chef d'État étranger n'a autant manqué de respect aux plus de deux millions de Québécois qui se sont prononcés pour la souveraineté. Plusieurs chefs d'État et de gouvernement, surtout du monde anglophone, ont publiquement souhaité le maintien d'un Canada uni, vantant, comme l'avait fait le président Bill Clinton en 1995, la qualité des rapports entre son pays et le Canada. D'ailleurs, George Bush père avait affirmé en 1990 que notre cas était parmi ceux où « il faut rester courageusement assis en coulisses ». Aucun n'a utilisé envers le mouvement indépendantiste les épithètes pour tout dire méprisantes que vous employez.
Mais puisque vous parlez d'enfermement, Monsieur le Président, laissez-nous vous éclairer davantage. Vous avez affirmé lors de votre passage en octobre que le Canada, « par son fédéralisme, a décliné un message de respect de la diversité et d'ouverture ». Savez-vous que depuis maintenant plus d'un quart de siècle, le Québec est gouverné par une constitution canadienne qui lui a été imposée contre sa volonté, qui restreint son autonomie en matière d'éducation, de langue et de culture, qui n'a pas été soumise à un référendum et qu'aucun premier ministre québécois, depuis René Lévesque jusqu'à Jean Charest, n'accepte de signer ? Savez-vous qu'aucune réparation de cette situation inacceptable n'est envisagée ou envisageable ? La France accepterait-elle de rester dans l'Union Européenne si le reste de l'Europe lui imposait un nouveau traité réduisant unilatéralement sa souveraineté sur des questions identitaires, sans même la consulter par référendum ? Nous n'osons imaginer quelle serait votre réaction si une telle injustice était infligée à votre nation.
Enfermement encore : nous savons désormais qu'au soir du référendum de 1995, si une majorité de Québécois avaient démocratiquement voté en faveur de la souveraineté du Québec, le premier ministre canadien Jean Chrétien aurait refusé de reconnaître ce choix.
C'est ce qu'il a avoué depuis, même s'il avait déclaré cinq jours auparavant, dans une adresse solennelle à la nation, qu'un choix pour le Oui serait « irréversible ». Toute honte bue, le premier ministre canadien maintient que, même en votant majoritairement pour la souveraineté, le Québec n'aurait pu quitter le Canada. Nous savons cependant que, simultanément, votre prédécesseur, le président Jacques Chirac, aurait reconnu la décision politique des Québécois, se rangeant ainsi du côté de la démocratie et l'accompagnant dans son choix. Plusieurs pays francophones auraient fait de même et nous savons que la démocratie l'aurait emporté.
Il est vrai, Monsieur le Président, que les Québécois ne seront pas appelés à revoter sur cette question dans l'avenir immédiat. Cependant, puisque rien de fondamental n'est résolu dans les rapports Québec-Canada, il n'est pas impossible que cela survienne pendant que vous présidez aux destinées de la France. Il n'est pas impossible que la démocratie québécoise ait besoin de l'appui de tous ses amis, de tous ses frères.
Dans cette hypothèse, il vous reviendra de décider si vous souhaitez laisser, ou non, la marque d'un président qui, à un moment crucial, a su répondre avec une réelle fraternité à l'appel de l'Histoire.
Pauline Marois
Chef du Parti Québécois
Chef de l'opposition officielle AU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC
Gilles Duceppe
Chef du Bloc Québécois AU PARLEMENT DU CANADA
Dernière modification par Pierre K (06-02-2009 16:23:08)
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Pierre K a écrit:
Nous ne pensons pas, non plus, que les nombreux hommes et femmes politiques français, dont plusieurs ont joué et jouent un rôle éminent au sein de votre formation politique, qui nous ont prodigué conseils et encouragements au cours des années et encore aujourd'hui, veulent pousser le Québec au sectarisme.
Alors là Pierre, soit les deux signataires du texte en ont trop dit, soit pas assez... Faut balancer les noms maintenant!
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Joli formulation, le texte est cohérent, dense, structuré et déterminé, les mots sont clairs, les faits précis. L'évocation de l'outrage sans verser dans la rage, la formulation de l'affront sans tomber dans la colère, les mots pour exprimer un sentiment d'abandon en gardant intacte toute sa dignité. Quel bel exercice de littérature française bien sur , mais surtout quel bel élan d'écriture au nom de millions de coeurs blessés !!! Toutes mes félicitations à Monsieur Duceppe, mes excuses aussi et , de tous coeur avec vous !!! Merci Pierre d'avoir partagé ....
Vincent V
Bien vu ....je suis aussi jusqu'au bout des ongles avec vous!
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Toujours la fine analyse Vincent, tu as bien su lire ce texte d'une rare élégance. Gilles Duceppe a fait ses "humanités" dans les années '60 au même collège que moi, mais pas dans la même classe. J'ai travaillé comme chroniqueur dans un magazine qu'il dirigeait quelques années plus tard.
Évidemment, cette semaine, le sujet fait les choux gras des éditorialistes à la grandeur du Canada. Hier, une émission spécialisée en politique m'apprenait qu'en France cela n'avait donné lieu qu'à un article dans Le Figaro et un autre dans le Nouvel Observateur. Conclusion, indifférence quasi-absolu et ingérence totale !
Oui, Stoupig les gens ne se laisseront pas manipuler par votre président polisson que peu de Français on choisit !
Des noms, des noms demandent 93K... je me souviens de l'ancien premier ministre Séguin (plus québécois que les québécois) et de plusieurs autres (dont le nom m'échappe) qui sont venus enseigner à l'université du Québec lorsqu'ils ont perdus leurs élections. Chirac a un chalet d'été au Québec...
Enfin, vive le Québec, dernier bastion de la culture française en Amérique. Depuis la conquête par les Anglais il y a 250 ans, comme les Hollandais nous devons maintenir notre système de canaux et de digues pour notre survivance dans cette mer anglophone.
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Pierre K a écrit:
... et de plusieurs autres (dont le nom m'échappe) qui sont venus enseigner à l'université du Québec lorsqu'ils ont perdus leurs élections. ...
Y a au moins Alain Juppé...
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Effectivement, je n'ai rien vu dans les revues de presse de l'AFP ....
Vincent V
Pour ceux que ça intéresse, voici une laconique réponse de votre président. Malgré, l'absence d'excuses, ici, on a décidé que l'incident était clos... mais le mal est fait !
http://pdf.cyberpresse.ca/lapresse/lettre_sarkozy.pdf
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et oui!!! tu preche un converti
une petite video assez bien faite et tres objective
son vrai visage
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Bien sur qu'elle n'est pas objective cette vidéo... mais elle nous rappelle que nous vivons à pipeau-land
des vidéos comme celles-là nous donnent à réfléchir et en la regardant je pense que chacun se rend compte qu'elle est anti-S (oulala j'ai peur, je le nommerais pas) et qu'on est manipulé d'un côté puis de l'autre ... mais est-ce que ce n'est pas toujours le même côté que ça arrange ???
et ayant des amis dans la police (et oui), je te garantis que les dérives sont bien là ...
pour alléger le sujet, un petite blague racontée par une amie fliquette
tu sais comment on appelle un policier sur un tracteur ?
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un poulet fermier
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