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bravo maya
jusqu'au jour ou je glissais sur le carrelage fraichement arrosé, et me fit une belle entorse très douloureuse, bien sur le papy sortit et compatit, un brin ironique, alors je changeais de jeux, dorénavant je jouerais a chat perché en recitant mes leçons, quelle résolution pour une enfant de mon âge
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Merci nouga, tu as bien raison
Bravo Maya. Et mdr pour la conclusion de Nouga à ton texte
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Hier, il fallait faire un texte avec
devoir, montagne, île, danse, volume, promenade, vache, catastrophe
acrostiche de neige
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Je crois bien que Nouga s'identifie au papy de l'immeuble. En tout cas la chute est bien trouvée.
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devoir, montagne, île, danse, volume, promenade, vache, catastrophe
la vache , ce devoir une catastrophe, il préfère l'escalade en montagne, ou une promenade sur l'ile
a moins qu'une danse sur une musique endiablée avec le volume de la sono a donf
néanmoins il en fallait
encore et toujours
il neige en silence
gageons que les pelles seront de sortie
et que demain on recommence
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"il neige en silence" c'est particulier, ce silence ouaté, c'est beau
Nébuleuses nuées
Explosant en plumes
Immaculées et légères
Glissant gracieusement
Edredon éventré
Ah la vache !! Tous ces devoirs à faire !!
L'enfant entasse les cahiers et volumes de classe devant lui en soupirant. Cela lui semble former une véritable montagne !
Mais voilà qu'à la pensée de la montagne, l'enfant s'évade...
Il aime tant les Pyrénées, les promenades qu'il y fait avec sa grand mère. Il aimerait y habiter avec elle tout le temps.
C'est si beau ! Les isards qui dansent sur les parois vertigineuses, les lacs d'altitude, les cascades sauvages, les gaves qui courent jusqu'aux rivières, les rivières aux fleuves, les fleuves à la mer, et voilà l'enfant sur un navire de pirates, cherchant l'île au trésor avec ses compagnons, hissant le drapeau noir, escaladant les mats pour faire gonfler les voiles.
L'enfant rêve, l'enfant s'enchante, l'enfant vit une exaltante deuxième vie.
Quand soudain catastrophe ! On l'appelle déjà pour manger, et il n'a rien fait !
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t'as eu une pensée pour ton père , super ce voyage en Pyrénées
l'edredon c'estair tes soirées pyjama
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Vendredi dernier acrostiche de Pluie
et texte devant commencer par : "M Le Chapelier fut le 1er à rompre le silence"
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perles de
laissant sur
un effet
immédiat
envoutant
M Le Chapelier fut le 1er à rompre le silence" car le fantôme persistait, allant même à mettre à mal la santé mentale des habitants hagards(de l'est)
car chat peut lier une aventure avec minette consentante
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hahaha, les jeux de mots !
Belle pluie, Nouga, la mienne est moins bien
Petit clapotis
Liquide essentiel
Unique source de vie
Incontestable richesse
Eternelle matrice
M Le Chapelier fut le premier à rompre le silence autour de la table
-J'ai "blizzard" si je compte bien ça fait 63, et mot compte double, 126, je crois que je mène, dit-il avec satisfaction.
Autour du jeu de scrabble, certains baissèrent le nez en grimaçant.
Seul le boulanger souriait discretement.
-Ah, je peux enfin placer"lazzis" au pluriel sur ", mot compte triple" jubila-t-il
Le chapelier changea de couleur pendant que les autres se tassaient un peu plus sur leurs chaises.
Belle idée que la création de ce club, mais il ne fallait pas que ça devienne une humiliation pour ceux qui n'avaient que les lettres valant peu de points sur leur reglette !
Enfin, l'important était de faire travailler ses neurones en participant, se disait le restaurateur retraité en plaçant son "ciel" sur des cases sans bonus.
Tant pis, il aurait un meilleur tirage la prochaine fois.
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c'est vrai qu'au scrabble comme aux cartes si t'as pas un bon tirage l'atre prend pas
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Un seul exercice au dernier atelier, avant c'était une dictée (j'ai fait n'importe quoi avec les accords du participe passé !)
Texte devant commencer par "Il faisait sombre dans le petit appartement de la rue Constantinople" (du coup je suis repartie sur l'histoire de la femme qui sonnait en bas de l'immeuble)
Il faisait sombre dans le petit appartement de la rue Constantinople, l'après midi touchait à sa fin.
Assis dans le fauteuil profond de sa bibliothèque, il sirotait son thé noir en laissant courir son regard sur les livres anciens. Il ne pouvait s'empêcher d'attendre.
C'était l'heure où elle sonnait, autrefois. Son coeur le pinçait toujours à ce moment là , il ne pouvait s'habituer à son absence. Il ne savait pas comment c'était arrivé. Il avait raté quelques rendez-vous, elle avait sonné moins souvent. Elle avait vécu autre chose, avait eu d'autres obligations, et lui aussi, et c'était tout, tant pis pour eux...
Ils ne s'étaient rien promis, c'est vrai ; ils profitaient juste de chaque moment passé ensemble, buvant du thé, parlant philosophie, littérature et d'auteurs modernes ou anciens. Leurs discussions lui manquaient terriblement. Ne plus échanger avec son esprit curieux, ne plus ferrailler quand ils n'étaient pas d'accord, ne plus voir alors cet adorable air de défi menton en avant.
Ravalant son chagrin, il se leva pour aller à la fenêtre d'où il plongea les yeux dans le parc en contre-bas. Le soleil se couchait, les derniers promeneurs se hâtaient vers la sortie avant la nuit.
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rencontre échanges et bons moments , voila des mots qui apaisent
bravo
Il faisait sombre dans le petit appartement de la rue Constantinople, mais cela ne l'empechait point de rêver au Bosphore de son enfance, comme le temps passe reste la mémoire vivace et les souvenirs, il en profita pour allumer les chandeliers du salon, cela donnait aussitôt un air plus romantique.
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Oh, c'est joli, les souvenirs du Bosphore
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je n'étais pas là puisque me voici de retour en ardeche, mais on me dit qu'elles ont travaillé sur un acrostiche de soleil et un texte commençant par "le jour se leva. soudain un enorme éclat de rire retentit"
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selon que
on peut dire
la vie
éveille
indubitablement
lascivité
"le jour se leva. soudain un énorme éclat de rire retentit" et puis plus rien , l'éclat patatras le rire se tire, le jour comme toujours devient labour, un temps pour tout, l'aube révèle l'histoire de l'humanité, le début en fanfare , l'espoir ancré , l'envie présente, l'amour transcendé.
puis l'interet se meurt comme un air de déja vu, suit dans la foulée l'espoir en désespoir l'amour illusoire
mais dans les décombres de l'âme parfois, reste un rire qui fit dire, vit et laisse toi aller
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Toujours aussi savoureux entre souvenirs, sourires et éclats de rire.
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Oh bravo nouga, pour le texte sur le rire. C'est poignant et tellement vrai !
Je n'ai pas eu le temps de m'y pens/cher, et on ne m'a pas dit ce qu'il y avait eu vendredi dernier comme sujet
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Salutation, Solstice et Sieste,
Orbite, Orient, Occident,
Lumignon, Lueur, Lumière,
Eternel été
Intense, Inégalé
Lumen, Luxe du Lux
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Hier, acrostiche de livre
et un texte devant commencer par: Il dort sur le banc et se finir par : Elle ne ferme pas les yeux, la lumière est douce
(1ère et dernière phrase de "les sources" de Marie Hélène Lafon que je découvre
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lisons lisons
intensément
véritable passion
retenons qu'une chose
encore encore
Il dort sur le banc, sdf dans un pays riche, injustice
scène de vie ordinaire
la vie est une parenthèse
le ciel une espérance
l'amour du prochain, un apriori
ainsi vont les heures routinières
pendant qu'
Elle ne ferme pas les yeux, la lumière est douce
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Lire sans cesse
Imaginer
Voyager
Rêver
Explorer
Il dort sur le banc. Les promeneurs passent leur chemin sans le regarder, les enfants poursuivent leurs ballons en le frôlant quelquefois, il ne bouge pas.
Des chiens en laisse s'aboient dessus, personne ne s'assoit à côté de lui,on le laisse tranquille.
Le soleil commence à descendre derrière les arbres du parc, les ombres gagnent.
Il dort sur le banc depuis longtemps, la mine pâle.
Un groupe de jeunes joggeurs passe en trottinant, riant et plaisantant, mais personne ne lui parle ni baisse la voix en le voyant dormir.
Peut être qu'il fait tâche avec son manteau sale, personne ne lui demande jamais rien.
Plus tard les gardiens font le tour pour alerter de la fermeture du parc.
- Monsieur, on va fermer !
Mais il dort sur le banc, toujours.
Plus tard encore des policiers viennent se pencher sur lui
Plus tard encore une ambulance vient le charger pour la morgue..
Le lendemain, le banc est vide, accueillant au soleil du printemps, rien ne parle d'hier, tout est oublié, effacé dans l'indifférence. Une jeune femme s'y assoit. Elle ne ferme pas les yeux, la lumière est douce.
C'est rigolo que tu aies pensé à un sdf aussi, Nouga. Une dame avec moi avait pensé à un mousquetaire !
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bravo les grands esprits se rencontrent
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En effet dès qu'on parle de banc c'est avant tout l'image du sdf qui nous vient à l'esprit. A chaque fois que je passe devant un banc, je me demande toujours si celui-ci lui permet de se reposer ou si on a ajouté des éléments métaliques pour l'en empêcher... Et oui, Nicole, surtout ne pas regarder, surtout ne pas savoir...
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Livre, que dis-tu ?
Imagines-tu les possibles ?
Vers quelle contrée paisible,
Rêves-tu de m’emporter ?
Emue, je me laisse bercer
Il dort sur le banc, si loin d’elle et pourtant...
Paupières closes il la voit, son sourire l’inonde de joie
Ils ignorent les barrières et franchissent les frontières
Le fil invisible vibre, les souvenirs veulent vivre
Elle ne ferme pas les yeux, la lumière est douce
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Très joli, bravo
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bravo
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vendredi, il fallait faire un texte commençant par :
La serrure cédait difficilement
et un autre avec les mots lendemain, danser, temps, sortir, vendre, musique, carte, cadeau
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