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Aujourd'hui, mots imposés : paysagiste, poterie, fermage, vivre, chinois, alexandrin, âne, gâteau, pierre
Puis texte devant commencer par
"Il s'installa sur le siège et tapota les coussins à côté de lui.
- Vous feriez mieux de vous asseoir ici, de ce côté. Nous allons devoir nous tenir chaud d'une manière ou d'une autre."
Puis acrostiche avec sofa, car la conversation a roulé sur le sofa-gate turc de la semaine
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sofa
sais tu que le sofa n'est pas so la ,ni so do encore moins so mi
or le sofa , peut être so sol é mio
finalement le sofa n'altere pas le fa dièse
ainsi la vie du sofa en ré mineur
"Il s'installa sur le siège et tapota les coussins à côté de lui.
- Vous feriez mieux de vous asseoir ici, de ce côté. Nous allons devoir nous tenir chaud d'une manière ou d'une autre."
je le regardais bien en face et je lui dis , écoute moi bien je préfère le froid, celui qui glace les os,
alors cherche quelqu'un autre, car mon igloo n'aime pas l'atre et la banquise me suffit
je suis ours
paysagiste, poterie, fermage, vivre, chinois, alexandrin, âne, gâteau, pierre
combien d'alexandrins pour décrire un gateau, le paysagiste me donne une vague idée , me parle d'un chinois qui avait un âne compatissant et nullement têtu ( ce qui fait d'une pierre deux coup)
qui subsistait grace a un fermage paternel, et des poteries héritées du coté maternel
et dont le don consistait à écrire en alexandrins la meilleure façon de vivre
vivre enivre, retiens bien ce concept, c'est la base
Dernière modification par nouga (10-04-2021 11:57:37)
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Vivre de poésie et d'alexandrins, de beauté et de nature, de l'air du temps et de lecture...
Ce serait idéal !
Mais ça ne paye pas les dépenses courantes, le pain et les gâteaux..
Peut être faudrait-il mettre plus de terres en fermage ?
Mais est ce que ça rapporterait assez pour payer le foin des ânes et des chevaux, la réfection des écuries et tous les projets qu'il avait ?
Rénover les façades, et refaire les toitures du domaine, et qui sait, s'offrir un paysagiste pour refaire les parterres et créer un de ces jardins de pierres et de sable, agrémenté d'une ou 2 poteries chinoises, invitant à la zénitude et la reflexion, petit bout d'orient pour se souvenirs des voyages de sa jeunesse.
"Il s'installa sur le siège et tapota les coussins à côté de lui.
- Vous feriez mieux de vous asseoir ici, de ce côté. Nous allons devoir nous tenir chaud d'une manière ou d'une autre."
Elle se crispa. Ainsi donc, sous le profil de gendre idéal, ce n'était qu'un macho qui pensait qu'elle n'était pas capable de décider elle-même où elle voulait s'assoir, un de ses individus qui la prenait pour une écervelée potiche ! Et qui la draguait ouvertement !
Se réchauffer "d'une manière ou d'une autre" Non mais quel culot !
Elle voyait plein de sous entendus plus ou moins graveleux et elle se mit à s'énerver toute seule.
Qu'il n'y ait qu'un seul sofa dans cette pièce humide, qu'il fasse effectivement bien froid n'arrivait pas à la calmer.
D'autant qu'elle savait que l'attente risquait d'être longue. Mais le fait même qu'il ait tranquillement raison sur tous les points l'énervait encore davantage.
Alors elle resta debout dans sa veste trempée, tentant de se réchauffer en serrant ses bras autour d'elle, pendant qu'il était assis en prenant ses aises et la regardait d'un air sacrément ironique.
Alors elle lui tourna le dos, et fulmina encore plus de l'entendre éclater de rire.
Sous entendus graveleux
Obsolètes en ces temps de #metoo...
Femmes fragiles
Attention à vous.
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vivre de poésie ce serait cool
machisme féminisme, les ismes ne garantissent en rien les rapports humains reste humanisme
balance ton graveleux
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mdr pour le balance ton graveleux !
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Pas d'atelier vendredi faute de combattantes, mais voici des mots pris au hasard d'une chanson de Pomme
Bateau, faille, appeler, écrire, temps, eau, pomme, couleur
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On n'a jamais froid sur votre sofa Nouga et Nicole.
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Bateau, faille, appeler, écrire, temps, eau, pomme, couleur
la couleur du bateau sans faille, c'est dire, vert pomme, alors aller en mer faut s'appeler écolo, le temps de le dire il tombe dans l'eau
moralité
si tu te trompes de couleur
ne vas crier haut et fort
que tu n'étais pas au courant
de sa longueur
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Il s'installa sur le siège et tapota les coussins à côté de lui.
- Vous feriez mieux de vous asseoir ici, de ce côté. Nous allons devoir nous tenir chaud d'une manière ou d'une autre.
On m’avait dit que ce psy était spécial,
Que la méthode n’avait rien de banal.
Intriguée je m’approchais lentement
Et me mis à le dévisager intensément.
Quelle mouche avait piqué le doc ?
Qu’espérait-il de cet électrochoc ?
Alors je me lançais, le questionnais,
Assez fière de lui tirer les vers du nez.
Lui parla comme jamais et je sentis
La chaleur de ses mots me redonner vie
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Bravo à vous 2, j'adore ! (je ne m'attendais pas à un psy, Maya)
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Hier, mots imposés fauteuil, alpage, herbe, délimiter, fourche, chute, pénurie, bazar
puis texte devant commencer par :je quitte la vielle vendredi, tôt dans l'après midi, avec la voiture de mamie. C'est une vieille volvo bleu foncé de 1990 mais au moins elle est à moi"
puis acrostiche de mur
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Moment ancré dans une vie
un jour une nuit ici ou ailleurs
reste la sensation de l'avoir vécu
je quitte la vielle vendredi, tôt dans l'après midi, avec la voiture de mamie. C'est une vieille volvo bleu foncé de 1990 mais au moins elle est à moi"
mon autonomie c'est ma liberté, libre sans demander, quelle joie profonde, j'en profite pour explorer ce qui me reste de temps à vivre, la liste de mes envies s'amenuise mais chaque jour une idée vient à la rescousse
qui vivra verra ,je me dis , seul , l'impression compte dans le ressentit
fauteuil, alpage, herbe, délimiter, fourche, chute, pénurie, bazar
le fauteuil d'orchestre,le bazar oriental, l'alpage d'éstive,la pénurie ce manque insupportable
délimiter un verbe autoritaire, la chute d'eau, la fourche caudine
mais l'herbe verte m'appaise me rassure me repose , me fais imaginer , me fais penser , me permet, d'aller vers mes rêves , mon utopie est mon support journalier
l'herbe n'est pas plus verte ailleurs , elle autre, elle est ce que vous en faites
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"l'herbe n'est pas plus verte ailleurs , elle autre, elle est ce que vous en faites"
Bravo pour tous tes mots, Nouga
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mots imposés fauteuil, alpage, herbe, délimiter, fourche, chute, pénurie, bazar
L'hiver commence à être une vieille histoire, le temps va venir de monter à l'alpage.
Vaches, moutons, chevaux vont retrouver le chemin des sommets, brouter l'herbe grasse du printemps. La traversée du village se fera bientôt, à la grande joie des habitants, au milieu des rires émerveillés des enfants qui prennent ce grand bazar de clochettes et de cornes pour une fête.
Pour guider les bêtes, 3 chiens, quelques badines feuillues. Pas de fourche ou de coup, tout ce fait à la voix. Pas besoin non plus de délimiter les espaces dans la montagne, les bêtes retrouvent leurs marques d'une année sur l'autre avec une grande liberté de mouvement, il appartient au berger d'observer où elles vont.
Le soir, elles se rassemblent toutes seules aux abords de la cabane d'estive.
On pourrait ainsi croire que le berger pourrait rester dans son fauteuil une partie de la journée, mais non, c'est un boulot à plein temps : traire, faire ses fromages, s'occuper du bétail et le soigner, car il arrive des chutes sur les rochers mouillés, vérifier la bonne santé.
Puis à la saison couper le foin odorant, le faire sécher, le remiser soigneusement pour éviter la pénurie l'hiver.
Tant de travaux essentiels et durs, au milieu de ces paysages magnifiques.
Je quitte la ville vendredi, tôt dans l'après midi, avec la voiture de mamie. C'est une vieille volvo bleu foncé de 1990 mais au moins elle est à moi et avec elle je me sens libre, la route m'appartient.
Du moins la partie droite de la chaussée, et dans le respect des règles du code de la route, bien sûr!
Je me souviens encore de mon émotion du soir des mes 18 ans, et du sourire de mamie quand elle m'a tendu un énorme paquet, et quand, au milieu des papiers et des babioles mes doigts étaient tombés sur les clefs de la volvo accrochées au porte clef de St Christophe que je lui avais toujours connu.
"Il te protègera comme il l'a fait avec moi"
Je n'étais pas sûre d'y croire, mais j'aimais bien cette petite médaille usée, et j'aimais encore plus la volvo, quand nous partions en escapade, loin des disputes de mes parents en train de divorcer.
il suffisait que mamie, prenant la mesure de la situation, agite le porte clef devant mon nez en me parlant d'un coin où elle devait absolument se rendre pour que je cours m'assoir dans la voiture, me sentant tout de suite bien mieux.
Mesure l'espace du verger
Usé par le soleil et la pluie
Résistant au temps
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T'es bergère par hasard ?(je sais bien que non) Sinon j'ai aimé tout lire ! Mais y'a un truc qui m'échappe le 2e paragraphe qui a son sens à lui, puis on retombe sur le sens du 1er paragraphe dans le 3e.
Alors l'hiver est elle une allégorie du souvenir ?
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Merci à vous
Non Darryl, je ne suis pas bergère, mais j'ai connu des bergers, et la dame qui écrivait ce jour là avec moi venait de parler de transhumance
Et pour ta question, les mots imposent décident eux même de la route que mon esprit prend, je ne réfléchis pas, je me laisse guider.
l'hiver peut être symbole du temps qui passe
(et les 3 exercices de la séance sont différents)
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Je vois un peu plus clair, ''on se laisse aller...'' comme dit Grand Corps Malade
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Vendredi dernier, texte avec les mots imposés: immense, vraiment, découvrir, supporter, yeux, trottiner, attente, surprise
Puis texte devant commencer par: " A peine avais prononcé ces paroles que je les regrettais déjà "
Puis acrostiche de Aube
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Ça beaucoup de devoirs 😂😂😂
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aux matins du monde
un jour nait
bien être sera ou pas
étonnez vous quand même
immense, vraiment, découvrir, supporter, yeux, trottiner, attente, surprise
la surprise immense, vraiment, le supporter l'attendait, l'attente fut longue mais maintenant il peut découvrir sans trottiner , et de ses yeux ébahis il contemple enfin le stade rénové
" A peine avais prononcé ces paroles que je les regrettais déjà " comme quoi tourner sept fois sa langue dans sa bouche n'est pas une contre vérité, mais les paroles s'envolent seuls les écrits restent
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Cool Nouga, merci
Darryl, le prof ne ramasse pas les copies prends ton temps et ne fait que ce qui te plait de faire
Fermer les yeux, supporter l'attente un petit moment, entendre des petits pas trottiner autour de moi, quelques rires réprimés.
Puis silence.
"Ca y est maîtresse, tu peux ouvrir les yeux !"
Les découvrir tous, un immense sourire sur leurs petits visages ronds.
Un gros paquet est posé sur le bureau et ils retiennent tous leur souffle pendant que je l'ouvre.
Quelle jolie surprise ! Ils ont tous dessiné leur nom au milieu de gais dessins colorés.
Vraiment, ce cadeau me touche. J'aurais du mal à me passer de ce métier, et la retraite va me sembler longue sans eux.
"A peine avais-je prononcé ces paroles que je les regrettais déjà "
Quelle idée de m'être avancée ainsi ! Dire que j'étais partante pour la randonnée du lendemain au lac d'altitude, 500 m de dénivelé pas facile et départ prévu à 4h30 du matin !
Non mais j'étais folle !! Qu'est ce qui m'avait pris ??
Tout ça parce qu'Anthony m'avait regardé d'un air qui m'avait semblé moqueur et goguenard !
J'avais voulu lui clouer le bec en lui disant que j'étais cap.
Seulement voilà , j'avais juste oublié le vague vertige dont je souffrais et que j'avais jusqu'ici réussi à cacher, justement à cause du regard sur moi de cet idiot d'Anthony.
Je me sentais très bête, après tout je n'avais rien à lui prouver et je m'en fichais de lui.
Enfin.... presque rien...
En réalité, j'aurais bien voulu qu'il me regarde comme il regardait cette gourde de Samantha qui avait tout pour plaire... si on aimait les minauderies !
Bon, j'étais jalouse, voilà tout, et j'étais dans de beaux draps
Il ne me restait plus qu'à espérer qu'une grippe subite ou une crise d'appendicite me sauve la mise, sinon je n'avais plus qu'à me cacher dans un trou de souris.
Allumage du petit jour
Usure de la lueur des étoiles
Belle lumière douce se levant
Eclairant le monde
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maya ne va pas dire le contraire
jalouse un peu beaucoup pas du tout tout depend de l'interet que l'on porte
éclairer le monde , une belle philosophie
bravo bizzzzzzzzzzzz
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Merci, oui j'ai pensé à Maya en écrivant la fin du 1er texte
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Alors j'ai pris mon temps
L'impatient
Une très longue attente, des heures, sous mon toit.
Sans trop savoir si tu veux, si tu viendras vraiment,
Je m'attends à tout, je m'attends à toi.
Surprend mes yeux et attires moi, tu es un aimant.
Laisse mon cœur trottiner avant de pouvoir découvrir,
Ton immense bonté, ta grande beauté.
Même si je supporte ta présence, je préfère ton sourire.
À trop t'attendre, tout passe à côté.
Je me noie dans le bateau du temps,
Qui me noie avec lenteur, me refuse ses secondes.
Tout est au ralenti depuis que je t'attends.
Oui! tu n'es plus très loin, mais mon impatience s'inonde.
Sans chercher, je cherche,
Je parcours toute la pièce, pour te recevoir.
Sans penser, je pense,
À la couleur de la brassière, de ce soir.
Bref !
Où es-tu actuellement ?
Non j'te met pas la pression !
Que fais-tu maintenant ?
Je vais avoir une dépression !
Bref !
Je suis calme, je t'attends.
Je me calme, prend ton temps.
Je suis juste impatient..
Dernier baiser avant l'Aube
Avant ces rayons du soleil
Unissons nos lèvres dans un baiser
Baisons nous après ce sommeil
Entre la nuit et l'aurore apaisées
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"A peine avais-je prononcé ces paroles que je les regrettais déjà " :
«Nicole, donne moi l'adresse de cet Antony pour que je l'expédie un poème de mot tranchant!» . Je n'avais aucune raison de le dire, car Nicole n'aimait qu'écrire et peut être Antony l'avait permit d'écrire.
Dernière modification par Darryl (04-05-2021 10:58:16)
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J'aime beaucoup, bravo Darryl !
C'est très sympa de te voir participer
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