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Bonjour Colosse
Bienvenue à toi. Tu peux ouvrir des discussions en cliquant sur "nouvelle discussion" si tu le souhaites, pour qu'on te réponde mieux.
Quand tu es en panne d'inspiration, tu peux poser ton stylo sur la page et écrire ce qui te passe par la tête, de la couleur du ciel au sourire de ta voisine et laisser aller sans réfléchir.
Ensuite tu laisses poser et tu reprends quelques jours après voir si des choses te plaisent, et repartir dessus.
Il ne faut pas à écrire pour écrire, car le texte est alors sans âme, il faut que le plaisir soit lÃ
Enfin c'est mon avis
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Bonjour Colosse ! Tu peux commencer par te présenter dans la partie "présentation" du forum, circuler à droite et à gauche, en haut et en bas, lire ici et là ... peut-être des idées te viendront-elles ?
A bientôt j'espère
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Maya a écrit:
Tu recycles, je recycle, nous recyclons.
Ben, y’a quand même des choses à pas recycler,
Des gars et des nanas, par exemple, pas vraiment top,
Rien qu’à les voir là , on se sent pris de malaises.
Tu recycles, je recycle, nous recyclons.
Ben, chez nous, y en ont supprimé l’idée,
Retour en arrière, s’avions pourtant bien compris le job,
Rien à comprendre, m’a soufflé l’ami Blaise.
Tu recycles, je recycle, nous recyclons.
En sortira peut-être un petit truc bien ficelé,
De quoi écrire la suite de l’histoire en vélo ou en mob,
Un de ces livres qui partout se sentent...à l’aise.
A qui le tour?
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je recycle mon tour
tour à tour j'envisage
de ne voir de mon âge
que l'adret qui sied
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Ben alors Nouga, la règle, la règle Nouga!
...
Il faut utiliser 6 mots au moins extraits du texte précédant. J'dis ça, j'dis rien...
Dernière modification par Maya (24-07-2020 21:41:12)
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je recycle mon tour
tour à tour j'envisage
de ne voir de mon âge
que l'adret qui sied
je comprend les gens du voyage
les idées d'évasions
l'exemple même de liberté
en vélo ou moto voire à pied
l'essentiel être à l'aise
quand on decide de voir ailleurs
en recyclant le temps d'avant pour un temps d'après
voila maitresse
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Dans ton dernier texte, Maya, tu n'avais recyclé que 4 mots
Je me souviens de cette grange à l'adret de la montagne, surplombant le gave, où j'aimais tant passer mes vacances. C'était un temps béni où les enfants étaient petits, et les éclats de rire fusaient sans arrêt quand ils courraient après les cousins. On se les laissait en garde entre soeurs pour un petit moment d'évasion dans les sentes raides.
Souvent, nous décidions de monter à pied vers la cascade, puis les prés au dessus, où nous nous reposions en regardant la nature changeante et les beaux paysages, et la vieille tour de guet à l'entrée de la vallée.
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Colosse moi quand je n'ai plus d'inspi je fais d'ateliers sur le forum et puis c'est réglé !!
J'adore vos deux textes Nicole et Nouga !
Je ne suis pas une grande aventurière, ni une fille de la nature, plutôt comme Fabien une enfant de la ville. Pourtant je me sens tellement bénie quand je peux profiter de la verdure. La forêt ou la montagne l'été où notre esprit s'évade en cascade pour ressourcer nos pensées et où nous reposions nos poumons .
Ces paysages qui nous font dire c'est impossible qu'il n'y ait pas une divinité quelque part tellement ils sont beaux. Puis après on se rappelle de la pollution qui menacent ces paradis terrestres et on se dit qu'en fait il n'y a peut être vraiment personne là haut
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Oh c'est beau ! On a repris.les mêmes mots!
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bravo a vous deux
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Miss et Seka
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En fait Nicole j'en avais recyclé 5... Cette fois y'a le compte. J'ai utilisé le texte de Miss, celui de Seka ne m'en laissant que 5.
Je rembobine et à nouveau moi aussi je suis jeune et insouciante. Aventurière ? Juste un peu. Fille de la nature dans une petite ville minière, à proximité de champs où s’évader avec les copains. Et ce relais de chasse abandonné au milieu des bois, un château pour notre petite bande en exploration. Le frisson assuré quand la voiture banalisée se gare et que l’homme en uniforme en sort. Me prend pour un gars, avec mes cheveux courts et ma tenue garçonne...
Ah oui ! Parfois j’aimerais pouvoir revisiter quelques uns de ces moments privilégiés. Manière d’oublier les pollutions en tout genre qui embrument les esprits. Allez ! je ferme les yeux et le voyage temporel commence...
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souvenirs souvenirs il me reste mes chansons mes émotions mes frissons
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Dis, ça va commencer quand ? demande la petite fille devant le livre fermé.
Mais ça commence déjà , dès le titre et la couverture, vogue l'esprit et l'imagination.
Dans un moment, dit la maman, attend un peu. Et de loin elle observe sa fille avoir des frissons d'excitation et ouvrir elle même le livre.
Elle est trop jeune et ne sait pas encore lire, mais elle va aimer ça quand elle verra tous les champs des possibles ouverts dans les pages. Oui, elle prendra bientôt le relais, elle sera au moins un peu rat de bibliothèque ou assidue des librairies, comme sa maman et sa grand mère.
Elle est sauvée si elle aime lire autre chose qu'internet
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lire autre chose qu'internet, voila la vraie question
bien vu Nicole
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Il y a de belles choses a lire sur internet mais c'est sûr
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L'amour des livres est un virus qu'on aime attraper. Nicole en est un témoin partageur.
Sinon je suis d'accord avec Miss, on fait parfois de belles découvertes sur internet. Il arrive même parfois qu'on nous y donne envie de lire certains livres ou auteurs qu'on n'aurait peut-être pas connu sans cela.
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Nouga parle de recyclage dans un autre topic, si on relançait celui là ?
Attend ! D'ici on observe tout un tas d'animaux, des rats aux oiseaux en passant par les loutres. Il ne se sauvent pas, se sachant en sécurité ici.
C'est peut être illusoire, car si on les compte, on voit leur nombre s'amenuiser silencieusement, année après année. ça ne se voit pas à l'oeil nu, il faut les compter. Sinon, l'esprit s'habitue au silence, ne voit pas l'effacement progressif.
Et ça ne manque pas aux générations qui viennent, les enfants n'ont jamais vu un ciel rempli d'oiseaux, un pré couvert de papillons multicolores ni des fruitiers bruirent d'abeilles.
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Tandis que Nicole observe la nature, moi j’observe, si on peut dire, l’incompétence à l’état pur, à moins que ce ne soit la mauvaise foi caractérisée sous couvert de sécurité sanitaire. Veuillez m’excuser de m’étaler ici mais j’en ai ras le bol qu’on nous prenne pour des demeurés incapables de lire des chiffres, des courbes et autres graphiques. Inutile de développer, mes amis savent de quoi je parle. Je ne m’habituerai jamais et je mourrai révoltée. J’espère au moins que l’au-delà sera davantage peuplé d’oiseaux multicolores que d’énergumènes de cette espèce nuisible. Faute de chants mélodieux je préfère encore le silence complet aux discours insensés.
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bon recyclage pour vous deux, vous êtes ready
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A qui l'tour?
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dans l'étude de cas , soumettre le cas contact comme un cas fortuit, serait recyclé le cas échéant, le cas sporadique
prenons donc un cas d'école opposé au cas de force majeure, il en résulte que ce n'est pas forcement un cas isolé ou un cas pendable mais un cas d'étude
en conclusion le cas contact a autant de chances d'être un non cas qu'un en cas
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Je n'ai pas compris quels mots tu avais recyclé du texte de Maya, Nouga.
Mais je les recycle tout de même.
A l'école de la vie, pas besoin d'études longues, tous les cas sont dissemblables.
Mais pourtant on s'y retrouve, et on avance cahin-caha, au petit bonheur la chance, chacun persuadé d'avoir raison de faire ce qu'il fait.
En général, il n'y a pas trop d'erreurs majeures, car forcément, personne n'est tout à fait isolé sans modèle à suivre.
Et on arrive à faire sens ensemble.
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c'était pout recycler le cas contact
bravo a toi
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Y'a qu'notre Nouga pour faire ainsi le pont entre 2 ateliers.
Merci à vous deux! Bon dimanche!
Cahin-caha la résistance infuse, quoi qu‘ils fassent, quoi qu’ils interdisent, quoi qu’ils empêchent. Comme une jolie toile tissée par des mains fraternelles en quête de bonheur partagé. Chacun apporte son idée, une pierre à l’édifice, qui repousse la folie. Une chance à saisir pour raison garder à l’heure des enfumages. Debout, ensemble contre la morosité ambiante, en route vers la lumière au bout du tunnel ! A suivre...
Dernière modification par Maya (22-11-2020 09:58:28)
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Debout, ensemble contre la morosité ambiante, en route vers la lumière au bout du tunnel ! A suivre...
dehors il fait beau un froid sec , un temps de saison
bravo
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Personne ne connait l'histoire de ce château, ne sait quelles mains ont taillé ces belles pierres grises, quelle force a élevé ces remparts. Les mémoires de ce temps sont perdues, les contes n'ont pas été partagés, ils se sont effacés dans l'enfumage du temps.
Rien ne sert de partir en quête de l'histoire. Il ne reste plus qu'à bâtir un storytelling à partir des idées de chacune des vieilles personnes, presque toutes assez sages pour inventer l'impossible, et remettre en lumière une épopée réelle ou inventée
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