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c’est l’heure de la promenade
dans ma cellule à ciel ouvert
s’évaporent des relents ignares
d’un qu’en-dira-on carrousel
ce printemps frais, la mort aux trousses
virevoltent des peurs innées
les rues à l’abandon font déboires
le coq du village tourne en rond
un vieux transistor s’égosille
d’infos confinées alarmantes
pendant que le curé se signe
et les commères à l’unisson
des nuages essaiment un ciel bas
l’avenir s’enivre de tics
alors qu’un bonjour tapageur
redonne l’espoir éternel
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Promenade d'un temps moderne tout en poésie, inspiration confinement.
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+1 avec Maya, bravo Nouga
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Très beau poème sur le confinement,
Vraiment, écrit finement.
La fin est comme une touche d'espoir
Dans ces journées qui semblent être des soirs...
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T'es tellement beau des mots mon Nouga, viens on va balader.
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