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super bravo a vous deux
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Merci à vous, belle participation Tempus !
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Merci à vous
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Mais qui est donc ce fier Ralibois que tu nous décris si drôlement? T'aurait-il été inspiré par une de tes connaissances?
Quant à Tempus je trouve qu'il "verbouille" très plaisamment dans nos ateliers.
C'est maintenant le tour de Sekaijin, non?
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Merci Maya et merci pour l'inspiration avec ce post
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Hahaha, Maya, tu as raison. Ralibois vient de ma fille quand elle était toute petite. C'était l'époque de la re-sortie de Robin des bois en vidéo et elle réclamait souvent de remettre "Ralibois"
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Aujourd'hui, textes avec les mots imposés idée, qualité, bouteille, ciel, compagnie, chanter, jamais, essayer (je mettrai mon texte demain, je poste les mots en cas que ça inspire quelqu'un)
et quelques acrostiches de monde, poche et scoubidou
je mets celui de poche
Petites poupées, potentiels porte-bonheur
Odalisques orientales, ouvrages ornementés
Cabinet de curiosité
Hétéroclite héritage
Etonnante extravagance
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bravo , ce ne sont pas des barbies
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Bonjour
Partout j'ai couru le monde à la recherche du verbe.
Mais je ne savais que verbouiller, ne produisant qu'une prose capilotractée.
Par peur de choquer les liberophages je restais inerte.
Alors que mon rêve voulait caresser les émonautes.
A+JYT
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C'est vraiment très joli, merci
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Le ciel est d'une magnifique qualité de bleu aujourd'hui.
Une compagnie de grues passe en criant au dessus des champs, on a l'impression qu'elles ne se lassent jamais de leurs voyages saisonniers.
Quelques passereaux chantent dans les haies comme au printemps.
La promenade est belle, c'était une bonne idée de partir à cette heure là, la lumière est si douce !
Sur la chemin vers les crêtes la vue s'ouvre peu à peu sur la vallée, et on entend l'alerte murmure du remuant ruisselet qui sort de la fontaine fraîche un peu plus haut.
J'y remplirai ma bouteille tout à l'heure.
C'est un endroit un peu magique où les animaux viennent boire les soirs d'été. j'essaie toujours de ne pas faire de bruit en marchant, dans l'espoir de les surprendre et d'ainsi m'emplir les yeux de beauté.
Merveilleuse, magnifique
Onirique planète
Noyée de couleurs et d'océans bleus
Désespérément fragile
Extraordinaire et unique
Sacré objet qui rime avec pommes et poires
Chanté par un éternel jeune homme à la voix chaude.
Oublier les soirées tisanes, bienvenue au Golf Drouot
Un twist endiablé, jupes qui volent et sourires heureux
Bonjour la jeunesse et les têtes de bois !
Insouciance à tous les étages, les regrets sont remisés.
Danser jusqu'au matin, reprendre ce sacré refrain
Organiser des farandoles autour des tables
Unir les coeurs par la grâce de cette chanson simplette.
https://www.youtube.com/watch?v=NUDgGSje4Ew
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Toujours au top, Nicole!
Très joli, Seka!
Et bien! Nouga et moi sommes en retard...
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Merci Nicole la promenade et la lecture étaient belles
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Merci à tous, j'espère que les mots vont vous inspirer
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Avec les mots imposés: idée, qualité, bouteille, ciel, compagnie, chanter, jamais, essayer
Chanter en bonne compagnie
Une bouteille de qualité à la main
Que voilà une bonne idée!
L'assurance de monter au 7ème ciel
A ce qu'on m'a dit!
Vous ne voulez pas essayer?
Ne dites pas: jamais!
Et acrostiches de monde, poche et scoubidou
Marchons ensemble
Osons ce qui rassemble
Ne renonçons jamais
Donnons à espérer
Encore et encore
Peut-être demain
Ou bien après
Cherchons bien
Haut et fort
Encore et encore
Silence, on tourne!
C'est le moment-clé
Où tout peut basculer
Un de plus et c'est joué
Bras dessus, bras dessous
Incorruptibles toujours
Déterminés plus que jamais
Oubliés, offencés, osez!
Unis, encore et encore
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t'es en forme
bravo
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merci !
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Joli bravo
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Famille, voler, poussin, particulier, savant, étoile, planer, voyager
A 18 ans, on veut tous quitter sa famille, voler de ses propres ailes, prendre son indépendance, grandir. Croire en sa bonne étoile, laisser les fumettes qui font planer et s'affirmer, en particulier devant ses parents anxieux. Lesquels s'inquiètent, et on les comprend.
Quoi ? Notre poussin encore duveteux veut quitter le nid ? mais c'est bien trop tôt !
Alors, par de savantes esquives les adultes tentent de repousser le départ, proposent des voyages en famille.. Font des concessions... Se sentent vieillir..
Car les enfants partent de toutes façons vivre leurs vies et ne seront plus là que pour le rôti du dimanche.
Enfin... peut être...
Acrostiche de bisou et de oiseau
Beaucoup de tendresse
Infaillible consolation
Souhait de bonheur
Oubli de soi
Utile câlin
Ortolan délicat
Ibis égyptien
Sterne de mer du nord
Echasse de marais salant
Autour majestueux
Ulotte sans H
(on m'a dit l'urubu trop tard )
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Bravo
Bisous
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Très touchée par ton petit texte Nicole, je suis en plein dedans évidemment ! Mais vu qu'elle est encore étudiante, elle va pas partir tout de suite
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Moi j'crois que Nicole se souvient...d'elle.
Jolis acrostiches!
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Lol, Maya non, ni pour les fumettes ni pour l'indépendance
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Acrostiche avec carotte
Croquante salade en toutes saisons
Artichaut joufflu à la vinaigrette
Raifort doux amer relevant les plats
Olives ensoleillées parlant du Suuuud
Tomates farcies des vacances familiales
Truculents haricots secs du cassoulet... avé l'accent
Endives d'hiver pâles et douces
Et texte avec satisfaire, pente, vide, cascade, humide, cheminée, paysage
La cascade m'a fait penser à la montagne, et la montagne à mon père, dont vous avez lu les aventures
Ayant posé son vélo dans un coin sûr, le tout jeune Gilbert, qui voit pour la 1ère fois de sa vie des montagnes, s'avance sur le belvédère derrière l'hôtel de Barèges, trouve un coin de muret pas trop humide, et, les jambes dans le vide au dessus du gave clair, admire le paysage de tous ses yeux.
Tout autour de lui, les sommets l'appellent, et, en face, une magnifique cascade déferle dans la vallée avec un fracas amplifié par les parois rocheuses.
Il n'en revient pas de tant de beauté, et il sent que son coeur sera toujours attaché aux Pyrénées.
A sa droite, le mythique Tourmalet l'attend, ses pentes plus raides qu'il ne le pensait
Il n'y a plus une chambre de libre, en cette veille de passage du Tour de France 1950, et il devra se satisfaire de dormir dans le jardin, ça le changera de la baignoire de la veille, à Lourdes.
Il ne s'inquiète pas du bruit de la cascade et du gave: la nuit, l'eau doit geler et s'arrêter de couler, se dit-il naïvement.
Bien sûr, en plein mois de juillet, rien ne gèle, et la pensée qu'il a eu le fera rire longtemps, mais le froid est quand même présent, le faisant rêver d'un bon feu de cheminée.
Mais il est jeune, et le matin, après des étirements et un copieux petit déjeuner, le voilà qui s'élance vers le col avec toute l'énergie de ses 19 ans.
Il ne sait pas encore, même s'il en rêve confusément, qu'il achetera une grange à retaper dans la vallée d'à côté et qu'à la fin de sa vie, après une dernière ascension à 83 ans, il ne comptera plus le nombre de fois qu'il a grimpé son cher Tourmalet.
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c'est pas de la carotte râpée çà madame
mystique Tourmalet, et le regard de sa fille pour celui qui ne comptait pas les tours de pédales, autre époque ou les exigences n'étaient en rien comparables à la demande toujours plus forte d'années en années
bravo
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Joli menu du potager Nicole.
Et joli grimpette !
Je mets là mon histoire de Carotte. Et probablement plus tard dans le week end une histoire de pente, de cascade,...
Et donc voici les aventures de Cabotin, Rémi et Barnabé
Cabotin l’âne culotté du Père Barnabé
Avait toujours refusé de se rendre au marché.
Rémi, le fils de Barnabé eut alors une idée.
Œuvrant sans délai, il courut au potager,
Tira une carotte de la terre sableuse de l’Ile de Ré
Toute longue racine du plus belle orangé,
Et l’agita sous le nez de l’âne qui se fit bien carotter !
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Oh bravo !!! c'est vraiment excellent
(mais pauvre Cabotin )
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Et donc après l'âne carotté, voici mon récit de voyage !
Nicole, c’est la petite chèvre de M. Seguin, ces mots, satisfaire, pente, vide, cascade, humide, cheminée, paysage
J’avais longtemps voyagé à travers le monde, avide de grands espaces, curieux de découvrir de nouveaux paysages. Et puis un jour, pour satisfaire mon éditeur, je m’étais installé dans un chalet à la montagne et avait entrepris de raconter mes voyages fabuleux. Le chalet se trouvait se trouvait au bord d’une cascade et le bruit faisait vagabonder mon esprit le long de ses pentes humides. J’aimais beaucoup ce petit chalet et passait mon temps le stylo à la main, assis dans un gros fauteuil douillet devant la cheminée enflammée. J’en oubliais alors d’écrire et ma feuille restait vide de toute phrase.
à suivre...
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C'est marrant, je vois une BD en lisant tes mots, je ne sais pas pourquoi
Vivement la suite !
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