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il nous faut?
pour amour de la liberté
il nous faut?
dire de belles choses
il nous faut?
des chimères et du temps
là dans l'aube blême d'un jour de septembre
aux portes des enfants preux des coeurs vaillants
dans la survivance de l'âme et des lendemains
des questions et des réponses
là où naissent et vivent les hommes
là où être est un fantastique moment
là où le grotesque et le comparable
s'habillent de la même taille sans le prix
là même où dieu a posé son doigt
et où l'ami a pleuré son père et son pair
avec les mêmes larmes, les mêmes idées sombres
sourire d'une invariable nature
telle le bouleau, le roseau, la vie
l'image immaculée de l'idée que nous sommes une ressource
une question, mon amour il m'est impossible de céder
je ne le peux, ne le pourrais, ne le puis-je jamais
c'est donc toute ma fortune et toute ma survivance
Ô trémolo de l'amour, yeux de la haine, rire de la superficie
laissons les champs se verdirent et se labourer
laissons lois et ordres faire, de leur immaculée conception
et construire leur admirable avenir
je parle avec le diable, j'écris avec le coeur
je ne connais ni ton nom ni ton rêve, ni ton père
mais je parle avec le diable de t'aimer
au creux de l'oreille, cette étrange coquillage d'humain
les dimanches passent et la faim ne vient plus
la pisse la merde et l'entente n' ont plus les vertus
d'un mot jeté dans une bassecour de prolifiques appelées
elles sont tant et tons, elles sont thés et cafés et qu'y faire
je regarde le monde, je regarde le monde
le soupir
et le super
superman est un homme amoureux
Dorian est un homme amoureux
Alice est un homme amoureux
Clovis, Einstein, Hitler, Rivera, Monsieur univers
est un homme amoureux
mais je ne suis pas ces fantastiques combats
parfois je voudrais te réparer
la peur, la haine, la colère, le mépris, le déni, le silence, la guerre, la mort, maude même
mais je suis juste un pauvre con dans la peau d'un tambour
qui tape et tape sans entendre l'amour, mais le ramdam d'un monde
horrible de crevasse et d'immense
peut-on voir des creux dans un mont
un mont dans un abysse
un rond dans un carré
une expérience
une expertise
une ex
un espoir
un esprit
un es-tu
une expression
un exemple
un extérieur
un exercice
un ex
un temps voulu
un rond perdu
un ton dans ton cul
de 150 kilo face à la houle
et mille milliards d'étoiles jetées
d'amour mon amie à la figure des choses idéales
les mots me crèvent
qu'aie-je fait sinon t'aimer
toi
tu
tout
terrible
terre
termine
rentre
c'est tout
d'amour
c'est tout
te dire
plus de mots
plus d'autre que toi
comme le moulin et le vieux me manquent
comme courir parmi les frondaisons d'une vieille forêt
commémorant les anciennes dryades et les neuves muses
comme t'entendre rire d'un simple cri de la fleur sur la pierre
comme le milliard de rien me rend amer
suis-je là , à ce dépit de mon propre répit, pour me satisfaire de ton jugement
oui?
non
no?
yé?
pieds et poings liés je te le jure dans ce transfère des morts vers la vie
dans cet esclavage de l'envie d'être à tout prix
comme j'ai honte
comme j'ai rage
comme j'ai l'onde
comme j'ai ricane
comme j'ai l'ombre
comme j'ai larme
comme j'ai sombre
comme j'ai flamme
au oui flamme et cire
et soeur la pute de cet enfer qui rit
comme enfant
comme père et mère
comme terre et ciel
comme vide et peu
comme universellement et constitutionnellement
comme espiègle et règles établis
comme métier et ouvrage
comme technique et je m'en fou
avons nous les mots d'une belle histoire
pour écrire un grand livre
je ne crois pas mon amour
l'amour le prestige le cercle
le subutex, le viol et la baise à outrance
dans l'outre-tombe
en faisant des oiseaux
des cheveux de châteaux brûlant
j'ai vu la nuit mourir un immortel
et naitre une
mais sûr je sais que tu as compris
MAadame georges sand
madame georges seed
ma damnation genre l'quid
ma raison ma chanson
je n'ai jamais compris ça
ta grande vie et ta grande détresse
et dans mon âme, mona lisa
je n'ai jamais compris, pourquoi tu m'aimes, rien.
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On nous aime parce qu’on a quelque chose de spécial que nous on ne peut pas voir !
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il nous faut
par amour de la liberté, ne pas se laisser marcher sur les pieds, tout en étant respectueux tolérant généreux ect
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"parfois je voudrais te réparer
la peur, la haine, la colère, le mépris, le déni, le silence, la guerre, la mort, maude même
mais je suis juste un pauvre con dans la peau d'un tambour
qui tape et tape sans entendre l'amour, mais le ramdam d'un monde
horrible de crevasse et d'immense
peut-on voir des creux dans un mont
un mont dans un abysse
un rond dans un carré"
j'admire la façon dont tu écris cela
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J'adore, tu débordes de talent
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merci petite plume et grande dame
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