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C'est un slam contre vents et marées
quand le temps te fais un clin d'oeil, façon de dire
je suis celui qui décide, car rien n'est acquis,
ni commis d'office dans le pastiche
ainsi de saison en saison, toujours présent
je suis ce vent dans un moulin, quand le blé exhorte
pour que la faim ne soit pas à ta porte
vent debout contre l'injustice, avec le vent en poupe
pour éloigner les orages de la vie
accidents de parcours et autres aléas
dont on répète, le temps ne fait rien à l'affaire
mais il s'affaire, c'est le temps du partage
en dépit des âges, quand la tête dans les nuages
C’est un slam qui va de l'avant, quand il est arrière
c'est dire qu'il faut le prendre, non par mégarde
mais avec la volonté qui donne des ailes
les jours où ,autant en emporte, les années mortes,
soit celui en sorte, qui musarde, et réconforte
inlassable passeur de témoin, poète, sans les séquelles
avec la conviction que le temps se perd pour qu'il gagne
par la force des choses, et l'énergie de l'espoir,
la vaillance de l'instinct, la foi en l'humain,
le regard de l'autre, et de tous ses apôtres.
bon vent ne serait mentir, d'un vent de reforme
C’est un slam pour s'aguerrir , ne pas sombrer
faire des tempêtes, des alizés
oser l'indiscipline quand elle assassine
risquer l'essentiel, afin d'avoir vent de.
en chassant les rumeurs, aigreur de la société,
prêt et auprès, de la flamme
en séparant le bon grain de l'ivraie
s'enivrant de la vigueur d'Éole
c'est un slam contre vents et marées
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"C'est un slam contre vents et marées...C’est un slam qui va de l'avant, quand il est arrière... C’est un slam pour s'aguerrir , ne pas sombrer" qui remplit bien son office.
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Bravo, j'aime beaucoup !
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Super.
Je regardais, il y a quelques jours, l'an dernier, ça faisait déjà 2 semaines qu'on se baignait dans l'Ardèche.
J'y suis allé hier...Elle est très fraîche.
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merci a vous
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c'est un slam de forum quand il est punch
à consommer sans modération
l'été on refait la chanson, avec d'éternelles discussions
la vie et ses aléas , le temps déjà qui nous enveloppe
et hop c'est parti pour des journées farnientes
l'attente de vacances, repos mérité, jobs d'été
a chacun son parcours dans les âges de la vie
ici est un pari ou le meilleur a des airs colorés
où l'avenir , c'est l'instant d'après, adieux soucis,
en route vers l'aventure, laisse tomber l'armure
c'est un slam vrai rhum, quand il accompagne
acras en apéro, au milieu de femmes en paréo
et puis les hommes qui veillent en pagne
l'attirance est un jeu ou toutes les oeillades
se font avec le tact qui enivre les sens
mais aussi l'envie ,sans qui tu restes en rade
transhumance estivale ou les regards sont
des ultrasons qui invitent à haler plus loin
la peau et son grain, les mots donnent le ton
le reste n'est pas science fiction, ni plus ni moins
c'est un slam ou le faux devient vrai,
quand le vrai sonne faux
l'argent fais son show, l'amour est cadeau
retiens comme vérité
aujourd'hui s'apprécie, profite et vit ta vie
avec des rires pour faire rouiller les armes
de l'amitié pour continuer à espérer
de la joie qui offre sans détours avec partage,
car l'existence n'Ã nul besoin de larmes
c'est slam de forum, de nouga et ses utopies
Dernière modification par nouga (25-06-2018 14:31:12)
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"car l'existence n'Ã nul besoin de larmes
c'est slam de forum, de nouga et ses utopies"
slam plein de soleil et de filles en paréo, c'est le midi et les vacances, merci
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Ca m'avait manqué un slam de Nouga
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La deuxième strophe me rappelle la Martinique
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"c'est slam de forum, de nouga et ses utopies"
Encore de bons mots pour les vacances!
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A La Tienne Frerot Profite De La Vie
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quand on voit
quand on voit danser les oiseaux sur les fils électriques
on se dit , tout est possible, pourquoi pas des rats dans un ballet
ah oui , mais déjà vu
dans les concours d'élégance, les femmes se montrent, à moins que l'on montre, une variété préservée
en coupe du monde, la rumeur fait partie de l'enjeu, le jeu lui est un sport au demeurant très lucratif
sur les plages l'été, si les hommes bandent, cela s'appelle "cause à effet", si les femmes mouillent , c'est l'effet "longe côte "
la vraie démocratie n'existe que dans les rêves, d'ailleurs on rêve d'un pouvoir en désordre sans ordres, sauf le jour ou le prix du camembert vaudra plus que le prix du carburant
les paris clandestins, ont cela en commun avec les paris risqués, le risque de n'être pas payé
de retour
le rosé l'été à des vertus que le rosé lui-même ignore , ce n'est pas un paradoxe, mais le début d'une croisade pour faire oublier la hausse des prix
le tour de France à vélo a des vertus , notamment celles de ne plus avoir honte de prendre des stupéfiants aux plantes grimpantes
la valse des étiquettes est bien connue dans les milieux des grandes surfaces, cela permet de faire croire à d'artificielles promos
les querelles Byzantines recommencent en été, car le sexe à le pouvoir de faire passer les anges pour de superficiels dragueurs de plage
la désertification des médecins de campagne permettra-t-elle la recrudescence de druides aux serpes dérouillées
l'actualité c'est comme la marée, quand elle est pleine, l'importance des sujets se fait en fonction de la notoriété, si elle est basse, l'actualité alors monte en épingle des sujets bateaux
le prix des carburants suit la courbe des températures estivales, la clim est le seul moyen d'enrayer la température d'humains au bord de l'asphyxie
les effets de l'âge sont bien connus, à chaque ride supplémentaire correspond un rêve qui passe
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"les effets de l'âge sont bien connus, à chaque ride supplémentaire correspond un rêve qui passe"
c'est bien vrai (mais je ne suis pas ridée encore)
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Bien vu! J'aime beaucoup.
"la désertification des médecins de campagne permettra-t-elle la recrudescence de druides aux serpes dérouillées"
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Salut Nouga
Tout comme Maya, j'aime beaucoup ce vers mais pas que....
et ce n'est pas parce que je suis Bretonne et suis en Vacs dans une zone où les médecins se font rares...
Touchons du bois ... Je ne suis que rarement malade......
De très très z-affectueux poutoux z- à vous et aux vôtres de nous Neuf, Heureuses Vacancières Loudéaciennes.....
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des mots sur la vieillesse
les secondes d'après le lever
un goût bizarre ce café
oubli du médicament
il est quelle heure
décor changeant,humeur,
au poste,un mensonge de plus,
mais c'est sans intérêt
les mots croisés radotent
cette définition n'a aucun sens
sans mes lunettes
et la chatte qui miaule
étirements, douche, rasage,
l'habit cet intrus
veut suivre la mode
le style fait l'homme
dehors, l'air ambiant
des paroles bienveillantes
sourire de la commerçante
l'usage se fout de l'âge
midi couperet , repas,
blablabla, la télé s'éternise
c'est la sanction
du temps qui passe
balade en bord de mer
iode et petite brise
vol de sternes
au revoir estran
un jour de plus
une nuit encore
l'insomnie cette amie
la vie s'évapore
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Vraiment touchant !
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+1 !!! J'aime beaucoup et c'est pas du "blablabla".
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j'ironise, moi le pékin lambda, fan de la tour de Pise
chabadabada entonne la musique, v'là le traderidera
alors avec emphase, je commence une autre phrase
comment changer la couleur du temps me dis-je
si les étés sont farniente, le corps ruse, fait des feintes
sous le sable chaud, laisse tomber le paréo
ici pas de contraintes, boit donc ta pinte à l'heure du tango
elle a tout d'une reine, quand ses seins pointent
au programme je zappe réseaux sociaux
je m'enflamme pour un feu, dont l'artifice n'à d'égal
que ma prise de conscience pour la fête à neuneu
sinon je plonge dans l'arène des vendeurs paranos
quand passent les cigognes, je dessine un nid
où la poutre à quitté mon oeil, pour la paille
j'entends au loin le glas, mais ici point de verglas
le calme est un silence je respire la vie en autarcie
je dors, puis je dîne,je sors sans cachets d'aspirine
la nuit m'habitue je suis le prince des rues
sans armes , j'affronte les mots de la rébellion
quand le réveil sonne, mes draps sont dans le coma
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chabadabada, voilà Nouga
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