Forum Grand Corps Malade et slam

nicole a écrit:

Avancer avec énergie,
Partager un sourire avec les inconnus,
Faire un clin d'oeil au voisin yéti qui se lève juste
Admirer le belle lumière du matin,
Regarder le monde qui s'éveille,
Y surprendre une coccinelle, suivre un oiseau du regard,
Réussir l'allumage des rêves,
Déclencher le mécanisme de la grande utopie,
Y croire, rire, s'élancer, s'alléger,
Avoir un petit vélo dans la tête,
En un mot : Vivre !

elle appuie sur l'allumage de son vélo
C'est pas une lumière, mais elle a de l'énergie
alors ça me fait sourire, comme un yéti idiot
C'est juste que c'est juste que c'est la seule
Cocccinelle qui dit on s'en fout qui pleuve dimanche
Laisse moi faire le plein de mon VTT

elle appuie sur l'allumage de son vélo
C'est pas une lumière, mais elle a de l'énergie
alors ça me fait sourire, comme un yéti idiot
C'est juste que c'est juste que c'est la seule
Cocccinelle qui dit on s'en fout qui pleuve dimanche
Laisse moi faire le plein de mon VTT

mais son mécanisme, c'est son prisme
je retiens un je multiplie sa taille
Nicole vaille que vaille
est une sacrée tropisme

Et bravo Nouga! Nicole est une source d'inspiration inépuisable...

bonjour sylvie32, merci.
Tu triches avec toi,
moi je le sais
et je n'ai rien à dire
Sinon que le ciel
est souvent beau
parfois gris
mais toujours là

rouge et noir
ma dalton

c joliment dit https://youtu.be/KBOAwVpEvxw

Dernière modification par MoonZ (03-02-2017 13:29:39)

En effet!

Mots de ce soir (vous pouvez reprendre les anciens si vous voulez aussi)

Apollon
boisé
caché
échafaudage
gaillard
internat
mémoire
pourriture
sceptre
tchèque
uni

merci! et je rigole a la 1ere strophe!
moi, j'avais écrit

L'apollon tchèque se tenait sur l'échafaudage installé dans la grande salle de l'internat. Il décapait la pourriture du mur, travaillant sans relâche depuis le matin. Soudain, faisant tomber une plaque du crépi uni, il découvrit un bout de dessin qui s'avéra être une fresque cachée depuis tellement longtemps que plus personne au village ne devait l'avoir en mémoire.
Avec précaution, le gaillard dégagea tout cela, et vit apparaitre petit à petit, l'image d'un roi tenant un spectre devant un beau paysage boisé, une licorne à sa droite et à sa gauche un grand cerf courbant sa ramure avec dévotion.

Les couleurs en étaient miraculeusement fraîches, et la beauté de la peinture bouleversante.

C'est vrai que ta 1ère strophe, Nouga, est une impro bien inspirée.
Nicole, tu es la magicienne qui derrière la "pourriture" voit la beauté pure. Bravo!