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Merci MoonZ ! Je vois que mon lapin t'a inspiré !
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Le Lutin jette dans son sac des bananes tout en se demandant si le lapin va aimer cela. Trop tard, il ne restait que ça chez le marchand, et il est pressé. Avec les lapins, il est toujours question de temps, c'est dingue et en plus l'orage menace... et il sera surement rude.
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Génial vos textes SylvA, MoonZ, Nicole, Nouga!
Je jette ça, je n'en ai plus besoin. Zou dans le sac poubelle pour une association!
Le temps passe sans que je ne mette un vêtement mais au moment de jeter, je me pose trop de questions. Surement que je le mettrais l'hiver prochain. Ce pull est troué mais je l'aime trop... Sentiments que vous me tenez!
Mais maman arrive et elle me menace de ne plus m'acheter d'habits si je garde tous ceux qui sont trop petits pour moi...
Dernière modification par Miss' Janvier 2014 (21-01-2017 13:16:44)
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toujours difficile de jeter , on s'attache
bien vu ton texte miss, sur la consommation qui nous pousse
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quand il arrive avec ses gros sabots, l'hiver nous gèle( d'où l'expression on se les pèle ), aussi on se dit qu'au prochain, on prendra soin de répertorier nos besoins, afin de ne point réitérer les erreurs passées, celles qui ont glacées les moments opportun, pour reveler nos sentiments
moralité
en hiver va vers où tes repères soit un repaire, avec un chaud pullover
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Quant aux sabots du bouc g'lé
Je l'ai répertorié comme un cinglé
Point de rétines plus flamme que bibi
Les erreurs je les mâche, les souffle
Les erreurs je les bâche, à la base
Je tape des check le long de la Seine
A bord de ma doloréan je décapote
Les sclaps un crac dans la machine à pop
Je corn'flex les cortex, je me sens glacé
Des fantômes atones tatonnent leur rançon
La gloire c'est pour la meuf ou la maison
Je planterai mon manoir au sommet
Des cité dortoir, je suis pas mirador
Je suis chez vous milord, je fume le cohiba
Violent son nos sentiments, Ã l'italienne
Je parle avec les mains, vilain poète sur Velin
Y a des belins et des berlineers moi Sir
Je suis le cracker's des madames
Un opportuniste arrivant inopportun
Je suis pas trop morale, plus la Mentale
Les médailles c'est comme les lames
Y a le retour de flamme, moi je fais pas détour
Je slame, mon mal à l'âme et ma mal-bouffe
Je suis sale, sali pour mes saillit en sandale
Attend je vais retirer les cartes... Trois as
Le premier pousse, le deuxième à l'index
Le troisième dans la bouche de tout mes ex.
Nos os servent aux dents de cochons
J'ai des chansons tristes et aimantes
J'ai des lyrics pleines d'amiantes
Pour les lèvres amantes, qui mentent
Et sentent fort comme des pieds au frometon
baise le menton ferme les yeux
Tu veux prendre mon coeur comme une cible
Je suis inadmissible et inadapté
A vos écoles de la vie, où les premiers de la classe
Entre dans la place par le fond des abysses
Tu penses ton absence me traine dans la pisse
Je te pille et écosse mon coeur avec mes larmes
Et ma langue... ma langue elles en rêvent.
Dernière modification par MoonZ (22-01-2017 12:38:50)
nouga a écrit:
bravo Nicole
Maya j'ai relancé l'atelier, donc pas de reprises de mots
Bravo pour ces belles contributions suite à la relance bienvenue de Nouga!
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Merci Nouga et génial ton composte!!
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Beaucoup de mots inspirants dans ton texte, MoonZ.
Maison à vendre, sans attendre.
Les cartes tirées, les jeux sont faits,
Tout est répertorié, étiqueté, scotché.
Adieu les fantômes et du passé les cendres !
Dès lors j'écris l'hommage en chansons,
A la flamme qui m'a libérée de l'abîme,
Au nouveau souffle qui m'anime.
Je suis vivante ! Délicieuse sensation.
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Je suis vivante ! Délicieuse sensation.
c'est ce que je me tue a me dire
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trait beau
Oh c'est beau ça MoonZ!
Génial Maya!
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une journée sans rien vendre, la voila a tourné en rond dans son échoppe.
bien sûr elle se sent vivante, mais attendre , c'est mourir a petit feu.
les jours se succèdent , elle voit avec horreur l'abime, béante de son commerce , périclitant à vitesse supersonique.
les jeux sont-ils faits , la messe est dite, elle va se recycler, mais en quoi ? .Une idée lui traverse l'esprit et l'anime , si elle se peignait en bleu ( façon schtroumpf) pour aller vendre a la sauvette son spectacle de rue .
maintenant elle fait la joie des enfants, Bientôt elle en adoptera. Qui a dit qu'il fallait croire, pour que se réalise ses envies, le bon sens évidemment
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J'aime beaucoup, c'est presque un conte.
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- Oh maman, regarde le schtroumpf devant les galeries Lafayette ! Maman, maman, vient, on traverse, je veux le voir de près ! Regarde, il tourne en rond en jonglant ! Et il fait de la magie ! Tu trouves pas qu'il est chouette, son grand bonnet rouge ? Oh, regarde ! Faut y aller, et en vitesse !
- Attends mon Titou, que le feu passe au vert ! Oui, on y va, de toute façon je dois aller faire des courses dans les commerces en face. Ah toi, quand t'as envie, t'es pas très patient...
Dernière modification par SylvA (26-01-2017 11:17:36)
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c'est du vécu
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Si je peux me permettre SylvA, la répétition rouge, casse la vitesse du texte, mais en fait c'est bien fait, bravo
Dernière modification par MoonZ (25-01-2017 13:56:48)
Nouga, pas vraiment, à part la dernière phrase, qui est moi "toute crachée"...
MoonZ, tu as entièrement raison ! Comme j'ai fait ça d'un seul trait, je ne m'en suis pas rendu compte ! Bon, j'ai changé, maintenant le feu n'est pas vert au lieu d'être rouge
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pas patiente, mais partante
l'audace met l'oh a la bouche
elle attrapa avec une louche
les heures, sacrée battante
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Maman tourne dans la maison prend son bonnet, perd ses lunettes, regarde au loin le paysage, se tourne vers moi pour me parler sans que je puisse la comprendre. Si seulement un peu magie pouvait lui remettre le cerveau en état de marche...
Maman sourit et me regarde, elle ne voit pas mes yeux embués
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la maladie quelle aberration, mais voila on subit
courage, belle pensée pour ta maman que ton texte
bises
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+ 1 avec Nouga, très beau témoignage...
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je veux oublié moi
nicole a écrit:
Maman tourne dans la maison prend son bonnet, perd ses lunettes, regarde au loin le paysage, se tourne vers moi pour me parler sans que je puisse la comprendre. Si seulement un peu magie pouvait lui remettre le cerveau en état de marche...
Maman sourit et me regarde, elle ne voit pas mes yeux embués
Merci Nicole pour cette contribution qui te touche au plus profond.
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+1! Texte très émouvant de Nicole et bravo à vous tous , vous recyclez vachement bien !
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Raconte-moi « L'enfant à l'horloge » !
L'horloge comtoise, infatigable, égrène les heures,
Les minutes et les secondes, sans peur, ni heurt.
Les yeux écarquillés, l'enfant la regarde et l'écoute.
Il cherche à comprendre le mécanisme, sans doute.
Il imagine la marche de lilliputiens dans le cerveau
De la machine aux fabuleux engrenages, tout là -haut.
Il vit le moindre des frôlements, frottements délicats ,
Il voudrait tant leur parler, et sourit, l'air un peu béat...
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belle horloge
bravo maya
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Béat devant le B,A,BA , évident des frôlements prolixes menant au nirvana
lilliputiens certes, mais à l'écoute de la machine qui veille jalousement
à faire revivre les émotions. Afin d'enrayer le moindre grain de sable, de cet équilibre fragile qui en souffre.
En conséquence, le mécanisme visant la performance, en matière de recherche du plaisir, sera exposée au rayon :
Article en solde, promotion - 99%, si paiement content, car si pas content, prière de ne point encombrer le point de vente
la direction et son orchestre
Dernière modification par nouga (28-01-2017 20:06:15)
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"Direction la mer! cria papa en s'installant au volant, on va en voir des grains de sable, des vagues sans vague à l'âme, on laissera nos émotions en ville. On va revivre, quel plaisir !
Et nous, calés au fond de la voiture, nous nous regardions en souriant, et nous étions heureux et contents
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