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L'un comme lune.
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L’un, comme lune, étale
Un bout d’âme
Sur tranche de pain de mie.
Nuit tendre.
Je la préserve de la dérive
Drame du siècle
Les enfants saignent à l’envers.
Ils sont comme des vampires niais,
Enjambent des cadavres de clopes
Et de teil’, de canettes, de miettes.
Malades, ils grattent leurs gorges
Asphyxiés par leurs colliers d’écolier.
La drogue ajourne leurs espoirs.
La baise déjoue la peur du noir.
A boire ! à voir, à l’aveu, l’Eve.
Des Bêtes à manger de l’avoine ;
Je jump sur ma jument volante
Sors par le sas de décompression.
Ce monde est intubé.
Leurs bouches tellement pleines
Qu’on les sonde par l’anus.
Je mate la lune depuis mon ennui
Elle me démasque mon dépit.
Et ne me laisse aucun appétit ni répit.
Oui ! Je vous sers, je serais mort pour vous
Et je serais votre croquemitaine
Sans plus d’amour que de haine. L’un comme Lune
Nous jetons des sortilèges d’encre noire.
Les antres se vident, les ventres pioncent,
La nuit profonde s’écaille, la mort rode, le jour rugit.
Dernière modification par MoonZ (22-01-2017 16:06:12)
l'un comme lune
et lune comme amie des poètes
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despoètes zoui
Moonz, je prendrai plus de temps pour lire ton oeuvre mais j'y " sens " du Prévert
" De deux choses lune, l'autre c'est le soleil "
Je crois que c'est extrait de son recueil " Paroles "
A plus....
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Merci pour le dédicace! Moonz tu as une très belle plume encore toute jeune! Sur ce bonne continuation.
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oui et pour toujours
et je suis fier de te connaître même si je suis plus loin.
Dernière modification par MoonZ (24-01-2017 10:37:33)