Vous n'êtes pas identifié.
génial !
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sonorité
l'aspect, ce tyran
causait de
l'apparence cette carence
l'air, ce faux-fuyant
jactait de
la mine cette souffrance
pendant que dormaient les rêves,
l'aurore s'invitait, seule,
laissant le ciel angélique
l'horizon, son folklore
l'extérieur liqueur
la forme s'étiole
couleur léthargie
l'allure, ailleurs
le jour déclina son nom
calme crédible, effet
d'un regard en suspension
puis ce bruit assourdissant
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deux textes super... j'aime beaucoup l'avant dernier. je me permets :
Autopsie d’un homme sans craintes
Scène entre un expert et un flic d’une série B.
Il était vide, des os creux !
L’autre : Comme les colombes
Non, comme les pigeons…voyageurs.
L’autre : mort dans un crash, sans doute.
Peut-être dans tout les cas il n’y pas laisser sa peau.
L’autre : Ah bon Pourquoi ?
Y a pas de peau…même pas un organe reconnu.
L’autre en riant : Pas d’orgasme alors !
Si, la balance pèse son coeur, pas lourd faut dire.
L’autre : En tout et pour tout, un coeur, c’est mince !
A votre avis, inspecteur, crime ou non.
L’autre : Sans doute le fait d’un fanatique du bouddha
What ? En Anglais.
L’autre : c’est une Évidence En Anglais.
Preuve de quoi ! …insiste et incise.
L’autre en pleurant : le Rien !
Peut-on tuer le vent, trouer le vide, faire la peau au rien
L’autre en se retournant : Les schizo’ plaident la légitime défense
Et pour lui ? Sa famille, ses enfants ? Inspecteur…
L’autre en souriant: Écrivez au Père noël.
Dernière modification par MoonZ (31-03-2016 10:34:17)
cool ami
l'autre , comment le père fouettard
mais non batard
le père noël
ah , comme soleil
Dernière modification par nouga (31-03-2016 11:58:14)
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itinéraire
itinérant, le parcours sans recours
l'aube accapare la fatigue
comme l'érosion l'hère
ce sont des jours sans velours
épuisant, le chemin sans fin
de l'aurore aux nuits sans lune
tandis qu'ailleurs le champagne fuse
voila des journées, a qui la faim
tuant, le temps qu'on apostrophe
quand le silence menace
l'équilibre léger, des saisons
réalité d'un éclairage, off
vivant, les yeux des enfants
lorsque le jour se lève
comme l'espoir d'une suite
où trouver sa place, est slogan
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itinérant sans velours
épuisante faim
tuant en off
Mais
vivant est le slogan.
ou Tout Nu c'est bien aussi ![]()
itnéraire décalé, puisque posté ici ![]()
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le savoir, le faire voir
a qui l'inné,
a son insu
il croit qu'il sait
malentendu
que savons-nous
entre l'acquis
ce qu'on résout
le riquiqui
pas grand-chose en vérité
presque rien formellement
si peu que c'est vanité
mais il faut bien l'étaler
au grand jour certainement
pour ainsi se pavaner
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la 1ere strophe est géniale!
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Pas mal.
Le savoir:
Rockin'Squat - Assassin: https://www.youtube.com/watch?v=bsn8mi3Jj7w
Ministère A.M.E.R: https://www.youtube.com/watch?v=0CgUnDfKJzI
Dooz Kawa: https://www.youtube.com/watch?v=6NU9Gw0igls
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![]()
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le jour J
quand, le jour J
j'y cours
jamais a court
pour faire la cour
si le jour J
l'amour vaut détour
pas de discours
ni calembours
lorsque le jour J
a contre jour
l'amour vaut toujours
point de demi tour
depuis le jour J
pour ses atours
je laisse mes en-cours
c'est çà l'amour
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t'es pas convain-cul 
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tout
tout
lasse, vorace
race, religion
on n'efface
la face cachée
chez l'humain
main de fer
fer de lance
ceux qui pensent
que tout
passe, l'espace
a ces mots
maux perspicaces
tout
face-Ã -face, grimace
macère, s'évapore
hors a ce jour
jouir simule
les neurones
n'est-ce pas
tout
agace, même l'idée
dés qu'apparaît
être ou avoir
voir leur impact
acte délibéré
réponse avortée
t'es dans le déni
ni sûr
sûr de rien
rien ne vaut
voracité
citer plus haut
haut de texte
texte fugace
interface d'un tout
tout
menace, finit
ainsi, place nette
êtes-vous
toujours
prêt a tout
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je ne suis prête à rien....
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tout a une fin
fine la couche qui nous relie
et nous lie avec le tout
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"t'es dans le déni" je vois beaucoup ce mot ces derniers temps.
"tout
menace, finit
ainsi, place nette
êtes-vous
toujours
prêt a tout"
nouga concernant la ponctuation...( pas que ça me dérange t'inquiète, ça me questionne juste)
c'est forcément voulu, puisque tu mets des virgules ( entre "autre")
est-ce 1 parce que tu veux plusieurs lecture, 2 parce que ça "Questionne", 3 Dérange
, 4 parce c'est trop la classe....
çà permet a chacun son interprétation, puis aussi une respiration, un rythme
le déni est un mot de psy, de tout temps l'humain est ses contraires ont ou flirte avec ce terme
si ,tout, a une chance
laissons lui s'accrocher aux branches
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tous furent tués
tués au champ d'honneur
honneur de la patrie
tous certes , mais les commanditaires
ceux pour qui la guerre n'est que lauriers
qui ne pense qu'au pouvoir récolté
ceux-là sont les insolents récipiendaires
tous ceux lÃ
auréolés a plus d'un titre
quel est leur mérite
malheureusement tout recommence
les mêmes sont évidence
et les corps morts, toujours décor
ainsi va la vie et ses records
"tous" se désunit
quand l'égalité s'enfuit
devant l'imbécillité arrogante
"tous" n'engendrent pas forcement un tout
tous furent oubliés
dans les sillons de la terre
tout n'a plus aucun repères
passant devant une stèle
les souvenirs gravés
ont pris pour mémoire
un jour sans colère
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j'ai lu sur Wiki, que c'est un mécanisme de défense, moins violent que j'imagine la guerre au monde!!
nouga a écrit:
çà permet a chacun son interprétation,
des fois, c'est justement ce qui déstabilise, parce que si on rate le truc, on ne comprends pas forcement, on ne sait pas sur quel pied danser.
Ton textes des oubliés dans les sillons de la terre me touche beaucoup
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partout
partout, s'infiltre avec outrecuidance
sans laisser l'idée de développer
sans laisser une chance d'élaborer
autre chose que son évidence
mais notre besoin d'indépendance
fortifié par nos murs érigés
nous protège du cynisme ambiant
c'est le fruit de notre expérience
partout, s'accommode de l'inertie
surfant sur les peurs ancestrales
dénigrant par ces mots la liberté
faisant fi, de la nécessité extravertie
mais notre combat a coup de reparties
présage de journées bleu azur
dans un ciel pourvoyeur de rêves
où l'avenir se lit , et où l'on en rit
partout, s'approprie avec férocité
le moindre espace, le moindre lieu
c'est un rapace qui ignore le partage
bouffant tout cru, l'accent de sincérité
mais sous nos airs endormis, on sait
ouvrir l'oeil, quand la cloche sonne
quand l'odeur réunit le pas tranquille
de l'insouciance ancrée dès que l'on naît
partout* fut ce journal d'avant-guerre
propagandiste de la théorie de l'exclusion
trempant sa plume pour dénoncer
le sort d'humains avec leurs mots vulgaires
alors, n'oublions pas, faisons le nécessaire
afin que les enfants écrivent leur futur
à l'encre des envies et de désirs utopiques
la clé des songes sera toujours visionnaire
Je suis partout est un hebdomadaire français publié par Arthème Fayard, dont le premier numéro sort le 29 novembre 1930. Pierre Gaxotte est son responsable jusqu'en 1939. Jusqu'en 1942, la rédaction se trouve rue Marguerin à Paris avant de s'installer rue de Rivoli. Journal rassemblant des plumes souvent issues ou proches de l'Action française, il devient, à partir de 1941, le principal journal collaborationniste et antisémite français sous l'occupation nazie. Le dernier numéro est daté du 16 août 1944, et ses rédacteurs sont ensuite jugés et condamnés.
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