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Super !
Et je profite de l'occasion:
Hier lors de l'atelier d'écriture, j'ai écrit (entre autre) ça:
Il faut de tout pour faire un monde.
Il faut qu'on soit tous dans la ronde.
Il faut vivre même quand le tonnerre gronde.
Il faut aussi parfois mener la fronde.
Il faut arrêter de surfer sur les ondes,
De regarder les conneries que les médias nous pondent.
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cool frérot la vérité rien que la vérité
Maya être libre avant tout et rêver bien sur
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Votre discussion, Itess, toi Nouga et Maya me fait penser à la Quête du Grand Brel
https://www.youtube.com/watch?v=aeUHNktbL4E
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une référence, pour mon texte
merci
biz
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En effet! Merci Thanalie de me donner l'occasion de le réécouter!
Itess, je trouve que l'atelier d'écriture te convient parfaitement.
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quelle était la contrainte, Itess? nouga, c'est cool de ressortir ses vieux reves, ça les empeche de rouiller
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Nicole, les grands esprits se rencontrent
J'allais poser la même question à notre ami Itess.
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Merci beaucoup.
Les contraintes étaient: le sujet - Vivre libre ou mourir - , Commencer chaque phrase de la même façon pour le groupe qui est la dernière contrainte (chacun 4 lignes (j'en ai fait 6...quand je suis lancé, j'm'arrête pas) sans se répéter).
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pas réjouissant
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d é s t a b i l i s é
le mec me lance au débotté, jus de pomme,
nan man, jeu de paume
et la je le vois hésité
me regarder en biais
je le sens touché, coulé
d é s t a b i l i s é
pour enfoncer le clou
je l'achève avec, jeu d'Adam
je look ses yeux fous
le voila relou
et moi de taper sur le tam-tam
je s l a m e
jeudi, jedi, je lui fais la totale
le truc qui rend jobard
quand il se fait tard
pire que le blizzard
il se décompose
ne jacte plus en prose
vers 3 plombes du mat'
Joplin se déchaîne
il a besoin de sa verveine
n'a plus de sang dans les veines
c'est l'heure rock
quand les sons s'entrechoquent
puis direction Joinville
au pont, il prie
pour me dire que sa vie
souvent part en vrille
que son temps vacille
je l'ai déstabilisé
demain va savoir, si ,
une jonque sur la Seine
remplie de jonquilles
verra le jour dansait
sur la folie ambiante
qui déstabilise
Dernière modification par nouga (26-11-2015 10:51:21)
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donc t'es déstabilisé
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différence
que fait-on de la différence
sûrement pas de la violence
il y a urgence
ce mot en leitmotiv
accroît-il les solutions
qui pleuvent, quand l'urgence
est une résurgence
de nos peurs
la nécessité de
devient la rengaine
hier était le "on"
aujourd'hui le "nous" retrouve
le sens de la nation
cherchez l'erreur
l'engagement
se mue en chant
demain les voix enrouées
la quiétude retrouvée
il pleuvra des flonflons
des odeurs de sueur
l'obligation
ah le joli nom
sera oui ou non
négociable, comme le vocable
quand il est en suspension
d'un effet rumeur
le devoir
que chacun peut apercevoir
viendra s'immiscer
comme faire-valoir
entre la poire et l'histoire
néfaste tumeur
l'impératif
moins secret plus concret
damera le pion
rendant l'objectif
vraiment sélectif
adieu la pudeur
que fait -on de la différence
sûrement pas de la violence
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la difference devrait étre enrichissement, mais elle fait peur, hélas
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malheureusement, c'est pourquoi ( on peut s'ignorer)
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Un carembar au nouga pour toutes ses sucreries !
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Nouga, ton 1er texte me déstabilise un peu...
Pour le second, comme Nicole, les différences font nos richesses, qu'est ce qu'on ferait chier si on etait tous pareils!
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mon but est atteint
merci ,
oui nos différences sont nos richesses, et que çà dure tous ensemble
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putain la planète
putain la planète, dans l'état, je ne vous dis pas,
mais la cob 21 est là , bien lÃ
alors pas d'affolement, keep cool brother
tu vas voir les mesures qui vont prendre
pas d'inquiétude, le réchauffement, quel réchauffement
les océans , quoi les océans
les pôles, ils jouent leurs rôles
les usines polluent, le chômage aussi
la santé déconne, mange une pomme
les cancers prolifèrent, t'as mieux a faire
les virus, de la faute aux putains de stratus
ma parole on va tous nous faire pleurer
la planète trop peuplée
elle t'irradie, t'asphyxies, change ta vie
tu sèmes les ennuis de demain
mais aujourd'hui l'air vicié
a déjà ravagé les bronches de bébés
là bas de l'autre coté
ou les visages sont grimés par un masque
qui n'a rien a voir avec Venise
c'est le grand carnaval de la productivité
qui s'éternise, s'enlise , adieu les vocalises
notre planète qui n'est pas aux cieux
rends tes yeux secs d'avoir trop oublier
de regarder la réalité, le temps se rapetisse
et l'araignée ne tisse plus le futur
le futur se noircit de la fumée
d'usines dont les rejets n'arrêtent plus
de nous rappeler, sans nous
votre travail est périmé,
mais la vérité, doit éclater
avant que la planète pète
avant que nos vies en sursis
disent bonjour a un paradis
perdu pour l'humanité
Dernière modification par nouga (30-11-2015 12:53:47)
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je crois que c'est foutu de toutes façons, et le pire c'est qu'on le sait tous, au fond... alors les chefs d'états viennent en avion pour dire qu'ils ne vont pas moins polluer, mais qu'ils vont essayer de moins polluer que prévu, en demandant au voisin de leur vendre leur droit a polluer.
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y'a pas de solution miracle mais rien n'est jamais totalement foutu
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Il est évident
Que l'environnement
Doit être traité impérativement
Avant nos problèmes de simples vivants,
Pour ne pas dire mourants.
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Et pourtant c'est pas faute de voir des lanceurs d'alertes et des militants s'investir à fond. Un exemple:
A suivre...
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un slam dérision
Quid de l'auto dérision, conduisant,
la mort donnée en échange
par une nuit étoilée prometteuse
de mots susurrés en terrasse
quand novembre clément
appelle a sortir, aux sons
d'instruments éclectiques
Qui sans a priori, commande,
une foule de sortie en liesse,
si ce n'est ces moments de détente
oubliant travail et contraintes
dans une vie épuisante.
Vivre à des saveurs enivrantes
l'interdit en serait l'entrave.
Qui en contrepartie , profite
de l'abandon des corps
dans ce décor de shit , de bits.
Si ce n'est ceux aux aguets,
instrumentaliser en somme
contre l'idée, en théorie
que rien ni personne
ne doit déroger a leurs idées.
Qui se réfugie derrière la pensée
quand elle devient unique
sans vouloir entendre
les mots autres, que pendre.
ou tuer, ou est la différence
d'une vie supprimée
de vies soumises à la sentence
Qui devient sourd, on, s'interroge
sur l'éloge , et c'est la cause
qui revient en overdose
et les solutions subrogent.
chacun a la sienne, pourtant
rien ni fait, on, désespère
se croit délaissé,et se ronge
Qui demain déjà revenu
verra l'aurore oxymore
de l'aube renaissante
pensant les blessures
en disant je vous en conjure
la mort est stérile,
mais nous sommes utiles
qui avec dérision, demain
viendra faire un pied de nez,
en singeant la bêtise,
hypnotisant l'énormité
de scènes apocalyptiques .
c'est toi, c'est moi, c'est nous,
c'est selon, le temps de saison
Dernière modification par nouga (02-12-2015 10:05:37)
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le pied de nez sera dur a faire à certaines choses, mais pourquoi pas
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