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Au musée Grévin, elle misât sur son charme,
Et de mille courbettes, elle s'agenouilla devant Messire.
Être à tirer par le pouvoir, cette musaraigne
Paralyse grâce à sa salive venimeuse son égo décentré.
Telle une muse, elle l’ensorcelle, et de son regard belliqueux,
Où un œil dit merde à l'autre, elle lui assène un sourire moqueur.
Être sans âme, elle foudroie le roi, qui écœuré,
Se sort de ses griffes lacérantes.
Au quai Branly, dorénavant, elle ira se chatouiller cette mégère
Assoiffée de reconnaissance, qui, telle une sangsue aspire l'avoir.
Pire qu'une pute, elle phagocyte, ampute, l'Autre en face d'elle.
Sa méchanceté n'a pas d'égale à elle-même.
Saloperie des bas-quartiers, elle abat le chêne à la serpe.
Et telle une serpillière, demain, elle s’enchaînera
Et tel un boulet, elle ira crever dans ses antres abîmées et pourris.
Invertueuse, tel Attila, son « empire » s'effondrera devant elle.
Et sa couronne de Laurier se métamorphosera en couronne d’Épine.
Et empalée, à force de sucer, elle s'étouffera dans son orgueil.
Elle a voulu me briser, et j'en suis sorti renforcé …
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Bien sympa,bien tourné,bien écrit bref j’adhère!!!
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@Fumseck : Cette écrit est issu d'un atelier avec pour thème sur la caricature, d'une personne que l'on déteste ...
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ben là elle habillait pour l'hiver la musaraigne sale teigne
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La , elle en a pris pour son grade !
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@Sylvie32 ; Nouga, ITESS : Une teigne, une sans-grade qui veut le Pouvoir ... histoire d'exister ... mais il faut qu'elle s'éteigne ... !!!
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