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Pour espérer trouver un emploi,
J'ai pris la direction du Pôle.
Sur place, rien, pas d'mode d'emploi,
Le vide, pas même une épaule.
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que te dire , sinon de garder confiance,
bon courage frérot
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Confiance ?
En qui ?
En leur politique de l'emploi ?
T'as vu les chiffres ?
T'as entendu les patrons des PME ?
Le capitalisme est mort.
Il serait temps de passer à autre chose.
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ITESS a écrit:
Pour espérer trouver un emploi,
J'ai pris la direction du Pôle.
Sur place, rien, pas d'mode d'emploi,
Le vide, pas même une épaule.
Très fort !
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Contre toute attente, il partit à l'heure, cultiver sa poésie.
Le ciel avait son air indécis, comme un train en partance,
quand la gare le pousse vers l'oubli, d'un jour monotone.
La rime, elle, hésitait entre l'envie, l'ennui, ou la nuance.
Comme quand tout ronronne,et que le temps imparti,
impose sa cadence, dicte son charivari ,offre sa connivence.
Dernière modification par nouga (08-12-2014 19:54:00)
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j'aime vraiment beaucoup! mais un peu moins le dernier vers à cause de safari, je ne sais pas pourquoi, lol
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Super!
Ma poésie a battu en retraite
Pour méditer sur ces prétendus maîtres
Une alchimie s'opère, faisant apparaître
Qu'ils sont en réalité des traîtres.
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Nicole j'ai changé en charivari qui va mieux avec le temps,
frérot j'aime bcp le retournement de situation, on ne sait jamais vraiment qui on encense
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alors: 
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normal t'es ma muse 
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Nouga, je ne regrette pas d'avoir loupé le premier train....
Un délice et mon vers favori est celui -ci
" La rime, elle, hésitait entre l'envie, l'ennui ou la nuance "
Itess, j'apprécie aussi tes "maux "
Z'êtes des poètes, les gars...
De très très z'affectueux poutoux z ' à vous tous et aux vôtres de Thanalie de Brest même...
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Saligaud.
Quand le cancan de trop,
comme un galop lancé,
se singe, en ricoché.
La zizanie fardeau
voit accoucher l'enjeu,
de l'instinct ambitieux.
D'un foutriquet poltron,
a l'allure servile,
aux gestes tatillons.
Le regard crocodile,
les mains derrière le dos,
il pérore sans fin
l'ignoble saligaud.
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hé beh...
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non mais owwwwwwwwwww, faut ce qui faut, le saligaud nuit, la rumeur prévaut
donc pas de cadeaux
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Les gens qui parlent ...
Moi, c'est ton texte qui me parle ![]()
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Une mouche a piqué nouga, attention! garez-vous! ![]()
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aparté
Et puis on rit, la journée s'égrena lentement. Le froid accentuait l'impression clopin-clopant de notre capacité d'oubli.
À l'intérieur le poêle diffusait une chaleur complice, les corps s'autorisèrent un aparté. Peu à peu les mots retrouvaient un semblant d'illusion.
Qui commença a parlé en premier, je ne saurais dire, je me souviens juste du tic tac de l'horloge, quand chacun récupéra ses habits.
Il faisait nuit depuis longtemps, le feu s'était éteint, le silence m'enveloppait, j'en avais des frissons.
Dehors, le givre faisait un décor harmonieux, comme dans les contes pour enfants.
Je baillai, puis je repris mon livre, il me restait quoi, deux chapitres maximum, je me frottai les yeux, prit les lunettes loupes et m'approprier la fin de cette histoire.
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un mignon petit conte de Noël, un peu ...coquin malgré tout...
J'apprécie...
De très très z'affectueux poutoux z'à toi et aux tiens de Thanalie, de Brest même
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édredon
mon édredon, victime de mes insomnies
qui l'aurait cru, peut être
la fille de la chanson, la belle ingénue
qui use ses charmes
avec des inconnus, de ces vrais amateurs
dont les mots crus inspirent
mon édredon, au panthéon
quelle arnaque
l'histoire retiendra pourtant
juste un soupçon
la vérité est tout autre
assurément
mon édredon
ami
sans illusions
oubli
mes insomnies
merci
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tu vas changer pour une couette?
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c'est fait ![]()
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