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époque
C’est la fin d'une époque, clamait un ancien.
Un jeune rétorquait, mais enfin,
a chacun son époque,
a chacun son destin.
L’ancien voyait la fin, avec angoisse.
Le jeune envisageait demain,
avec audaces,
et en coloc'.
Le temps qui passe, en fait il ressasse,
le temps qui court, en fait il fait la cour.
Adieux les amours,
bonjour mon amour.
À l'opposé, et la fin de l'apogée,
au début du zénith en vérité.
Le temps se dilapide, tonneaux des Danaïdes,
et l'autre se voit caïd.
Autres temps , autre moeurs,
la force de l'habitude, le poids des ans.
Le chômage n'a pas d'âge,
tout comme la rage.
Son espace se rétrécit,
quid de la vie, son époque a vieillit.
Non demain ne fait pas perdre l'appétit,
ni l'envie.
il soliloque, ah mon époque, avant d'être vioque.
Lui de brique et de broc touche des allocs's,
a quand l'électrochoc,
érigé sa bicoque.
Le temps le rend perplexe et ses complexes,
sont révolus, il n'y a plus qu'un itinéraire.
Celui qui est sans horaires,
celui qui gère par réflexes.
Le temps l'implique, c'est physique,
le jour est bien trop court,
la nuit lui fait la nique,
vingt-quatre heures de parcours.
Il voudrait troquait son époque, avoir encore du temps,
lui, deale l'air qui respire, au prix ou il faut produire.
Paradoxe des époques, bizarreries il faut séduire,
ne pas haïr, juste sourire.
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C'est une époque de fou qui se joue sur un coup de poker,
Mec c'est coup pour coup, rien à foutre rien à faire.
https://www.youtube.com/watch?v=Vf3pKCjvzdk
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c'est un parallèle, un texte générationnel, ce qui n'enlève rien ni a l'un ni a l'autre , la roue qui tourne
merci de la vidéo
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l'obsession du temps (est a mon sens ) la première réflexion de l'humain ( après sa venue sur terre)
le temps c'est a la fois , abstrait et bien réel, excitant et angoissant,
c'est un sujet qui jamais ne s'épuise tant il y de façon de le traiter d'en parler
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