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La course en avant.
Chaque mot, chaque geste, chaque acte capte l’attention
La claque, la chatte, la verte et la perte d’un être cher
Je voudrais des geysers d’eau brûlante pour le désert de leur certitude
Toutes ces conneries me saoulent, je vois trop guerre, la vie est trop rude
Sérieux ça vé-ner les potes triment, rament, riment
Et c’est toujours eux qu’on dis criminel, parce que leur film de vie
Est différent des conneries mielleuses, et qu’ils ont le gout amer
Dans la bouche du châtiment.
Qu’est-ce que tu cherches vraiment ?
La Reconnaissance.
La Thune.
La raison, l’amour, un sens
La thune, la thune et la thune
Cette putain de sensation d’être éclairer par les anges
Que cherches-tu ? En as-tu la moindre idée…
Si tu ne le sais pas toi-même comment le saurais-je ?
L’homme ne reflète que l’image de sa propre existence,
Ratures, souffrances, liberté, ces mots sont universels
L’amour, la Thune, la chance aussi.
Parfois il m’arrive de croire que j’évolue dans un rêve
Dans ce rêve…
Dans ce rêve les choses sont si claires que je ne peux douter
Douter du rêve que je fais, mais qui m’entraine en longueur
Sur les devants de l’ennemi, celui qui ne dit pas son nom
Parfois je me dis que ma vie est une sorte de trajectoire bouleversée
Une énergie en perpétuel mouvement qui attend de se poser.
Mais la nuit est prolixe en idée et je me dis que ce n’est qu’un nénuphar
Même si la lune appartient au ciel elle est le royaume gardien, le phare.
C’est autre chose que de dire de la merde avec des paillettes
Je me donne peu de temps avant que ce jeu s’arrête
Mais tant que je suis dans la partie je ne pose pas les armes, je veille
Sur moi, sur les miens, sur les ombres dans le soir qui rodent
En évitant les Rondes de bleus, je me demande si je suis juste
Dans ma théorie du chaos et de la transcendance des lettres
L’Autre est mon miroir le plus flou qui soit, j’y avance doucement
Comme pris par le liquide bouillant et noir de l’encre poisseuse.
Je ressens les flammes du mal dans l’arrière de mon crâne, comme une morsure.
En fait je n’aspire à rien de grand, et c’est là que je suis erroné
Pour eux, qui courent après des choses qui ne me donnent pas vie.
J’opte pour la vie, salement touché par la mort, j’opte pour la vérité.
Cette vérité que nous approchons en nous même
Que cette sensation est douce.
Je kick ça, je nique ça, grippe ce système à la barre
Labeur et ennui plient les gens comme des forçats
La carrière de Bandit je brandis mon étendard
Comme un slogan politique pour la propagande
Je propage mon programme comme un virus sur le net
Je me couche sur des samples
Sans pleurs je parle à la lampe
Flanqué de mon air triste, les doigts sur la tempe
Je concentre mes énergies intérieures comme un moine du temple.
Sous médecine douce, dans mon survet ample, je planche mon art
Je plonge dans mon univers :
Vodka dans le Sac, je suis perdu entre un verre et quelques versets sur sample
Sape d’hier, je capte les ondes le monde en flambe, brillant sous le temple
Les soldats rempilent, pétrole, faim, crise causent autour d’un corps mort
C’est un gosse en armure la foule crient et me dit pas que tu te fous de son sort
Sinon je te crève comme je me brise sur le silence de mon père
Le monde est devenu la guerre dont on parlait quand j’avais les nerfs
Merde je veux pas que ça prenne trop d’ampleur, et te voir en danger
Donc je parle fort, je gueule dans la salle à manger
Et je dis que personne ne te tendra une arme je serais toujours là pour parer
Tu comprendras pas, sûrement mais je sais que dire ça avec du pe-ra
Tu sais si je pense comme ça, c’est pour que ça reste sur du papier blanc
Que tous ces connards qui me jugent et trichent, sache qui est ce gland
Trente-deux ans, asile 2013, c'est ça! c’est du MoonZ, aux trousses de leur peur
Bonjour à tous j'utilise cette tribune pour dire que mon nouveau recueil va sortir le 24 juillet sur BIBLIOCRATIE.
IL s'agit de "Là où vit la pluie" recueil d'OLIVIER GATIN. proposé à 10 euros à compte de Lecteur.
Si vous voulez faire un cadeau, ou vous faire plaisir allez-y, c'est pour la bonne cause.
Merci
OLIVIER alias MoonZ
imagine une course ou le temps ne serait pas le facteur essentiel , ce serait une course pour nous , pour tous les idéalistes en chaussures de plage, tu vois le tabeau , la course finirait a marée basse, avec les poches pleines de praires qu'on mangerait crue , juste avec l'odeur de l'iode pour nous ennivrer,
so cool
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je te souhaite beaucoup de succes pour ton livre!
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Je suis toujours preneur d'initiatives de passionnés qui font les choses plus avec le coeur que pour le porte monnaie (même si c'est bien aussi d'avoir quelques pépéttes en retombée . En plus je sais que c'est MoonZ => pas de souci je prends (je ferai aussi la pub autour car sans bouche à oreille c'est toujours galère de rentrer dans ses fonds ;-)
Sinon j'ai écouté sur Soundcloud et j'aime toujours autant l'univers et les textes MoonZ
L'intro (thème du film "la Haine") est fort à propos avec le thème et le texte qui suit).
Continue Moon à nous régaler.
+1000000 !
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Je viens d'aller voir sur Bilbiocratie mais le moteur de recherche n'affiche rien pour le moment...
Envoie-moi par MP les coordonnées quand ce sera opérationnel
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