Vous n'êtes pas identifié.
Dans le trou noir de la page blanche.
La deuxième personne me tend la branche.
Tu devrais l'écrire.
Même si ce n'est pas pour le lire.
Si ça t'aide, tu peux l'écrire a la deuxième personne.
Puisque quand tu parles ça résonne ou ça raisonne.
Si le moment est trop mal choisi.
Ce n'est peut-être pas un oubli.
Juste pour dire.
Même si ça fait rire.
Il n'y en a pas beaucoup? Il doit y avoir des trucs que j'ai oublié.
Il y a ce aussi que je ne veux pas, on ne peut pas tout publier.
Il faut que je noircisse la page blanche.
Si tu cherches, tu peux trouver.
Excusez-moi, il faut que je m'étanche.
Il faut employer tout ce qui peut prouver.
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journal de bord, d'un poète au long cour, sur la dunette a s'eblouir de l'horizon et faire de ses mots le depart vers les reves
bravo ami
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je me pose la question, "il faut que je m'étanche" ou "il faut que je m'épanche"?
du coup, un petit truc marrant me vient sur le fait de devoir être étanche
j'aime toujours autant tes questionnements et textes qui résonnent et donnent à raisonner
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T'as raison Nouga, souvent un mot fait un texte.
Oui Nicole, il faut que je me rende étanche à l'extérieur pour me concentrer.
et ce n'est pas toujours facile, ça m'a fait aussi penser à une soif qu'on étanche.
Je laisse une certaine liberté d'interprétation.
Quant a la page blanche ITESS, il ne faut pas en avoir peur. Il ne faut même pas y penser
C'est par elle que tout a commencé. Un peu de lumière et elle se noirci vite.
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Boon texte bravo
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Merci SIANN.
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Très juste réci...
La page blanche:
Là où tout commence et tout s'arrête...Les pages de gardes.
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Bien vu mais je n'avais pas pensé a celle qui arrête.
Pour avancer il faut toujours rester positif. sinon on n'avance pas dans le bon sens, on recule.
Alors positivons! Il n'y a pas de gardes.
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