Forum Grand Corps Malade et slam

"C'est un beau roman, c'est une belle histoire" qui me fait penser à une vieille blague de bal costumé et de routier.

du bord de l'eau a la cité lacustre, ont ils bien fait de se déplacer?

Génial, ton conte, mon Nouga !

Où vas -tu chercher toutes tes idées ? Excellentissimes....

J'aime tout particulièrement cette partie là.. Ceux qui me connaissent un peu comprendront pourquoi....

Elle se plut tout de suite dans sa nouvelle grotte. La solitude lui convenait, elle cuisina un bœuf carotte, spécialité de sa mémé, qui avait fini poivrote à force de faire mijoter le plat avec du vin chypriote, mais c’est juste pour l’anecdote.

Encore une fois, chapeau l'artiste....

Superbe, ta fin qui met...en appétit...

Très très z'affecteux poutoux z'à toi et aux tiens (à toi, ta femme et ta malicieuse et douce Nouga) de Thanalie la brestoise

Souvenir d'adolescence

Au balcon

La fille est au balcon.
En jupe, pas en pantalon,
Regard hypnotisé,
D’un rêve éveillé.

Elle papote, tête de linotte,
Le temps est anecdote.
L’œil ensorcelé,
Adorable réalité.

Le trottoir est miroir,
L’envie vaut perchoir.
Il reste des attardés,
D’instants arrêtés.

Et dure l’éternité,
La vie est son vécu.
Quelle belle journée,
Tous convaincu

Je comprends pourquoi tu rugis de plaisir Jeune Lion, Itess...

Nouga...coquin... tu provoques là avec ta première strophe....

Heureusement que personne ne me voit... Je porte toujours mon gros pyjama d'hiver... Pas très sexy...

Monomanie

Il amasse et agace.
Obsédé, à en devenir mesquin
N’écoutant que le bruit des pièces,
Ne sentant que l’odeur des billets.
Il vit enfermé dans sa bulle,
Et derrière ses grimaces.

Son décor est anodin.
Mais ses biens sont combien,
La soif de sa jouissance,
L’ivresse de la démesure.
Donnent un parfum nauséeux,
À son air de citoyen.

L’argent lui tient la main.
Comme chaque jour, et demain,
L’emprise sera suffisante,
Pour le conduire a sa perte.
Quand le démon l’asservira,
Lui, l’homme du déclin.

Il angoisse, perd son audace.
Inquiet, pire que le moribond,
Qui a de la vie, la vision
D’un monde bâti sur des chimères.
Alors il meurt un matin,
Seul face à ses liasses.

c'est ta morale qui nous rassurera , mon cher Daniel, nous qui avons une vision manichéenne et objective

c'est gentil
biz

c'est sur mais en manqué c'est pas mieux
il faut un mixte lol

Itinéraire

Il y a une première route
Sur le panneau est écrit « pas de doutes »
Si vous m’empruntez, vous serez
Pas très loin de votre vérité

Question de choix, d’opportunités
Vivre réserve des émotions instantanées
Ensuite, valider vos options
Après, chaque jour procure ses solutions

Si la route n’est pas toujours droite
L’aube revient, et si ça boite
Il reste l’humour comme confident
Le temps est un facteur étonnant

Quand la première option se présente
Il faut oser, car tout se tente
Sinon regret, s’installe à la maison
Et le quotidien, vire grognon

Dés le plus chaud rayon de soleil
Les envies prennent cette couleur, vermeil
Donnant au corps, la force amie
T’accompagnant, te mettant en appétit

D’autres routes, d’autres horizons
Domaine du possible, de l’imagination
La fin des doutes, coute que coute
L’essentiel a porté de main, l’écoute

Itinéraire sans frontières, ferveurs
Un passeport avec visas, saveurs
S’émerveiller, un début, une clé
Ne pas laisser de coté, ses idées

Être prêt, la mort peut bien attendre
Respirer, regarder, se surprendre
Pas de camisoles, simplement Éole
Et ne jamais se retourner, voilà le rôle

c'est en option Daniel

sage réflexion amie Nicole
biz

comme tu dis, il faut savoir apprecier a sa juste valeur
merci de ton passage amigo

merci beaucoup Sylvie
biz

dac on fait comme ça pas de prise de teston