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Morte saison
J’voulais parler de moi, de vous de nous...
Mais mes pensées m’ont mis à genou
J’croyais, ici bas, me sentir bien
Mais j’sais qu’en fait il n’en est rien
J’voulais couvrir mes cicatrices
Et fustiger mes p’tits caprices
Mais, mes douleurs, elles, restent en lice
Et s’immiscent dans mes interstices
J’voulais pas devenir acteur
Mais le moteur libérateur
Celui qui règle la matrice
Avec la rage comme seule complice
J’voulais parler de l’esprit libre
De mes stigmates dans mes dialyses
Mais j’t’avoue, c’est vrai, j’balise
Et j’me complet dans mes p’tites crises
J’n’ai pas senti le vent venir
J’n’ai pas d’sentiments pour Venise
Et de vos chants moi j’étais ivre
Dans vos douleurs j’me sentais vivre
Saoulé de paroles, d’allégories, de paraboles
De paraphrases, d’une chienne de vie, en manque de bol
J’voulais reprendre ma vie au vol
Mais elle m’a plaqué contre le sol
J’aurais voulu être un homme bien
Mais dans ma course y’a eu des freins
Et on m’a tapé sur les reins
J’ai vu la fin d’mes noirs desseins
J’voulais qu’on soit ami-ami
De Tombouctou à Miami
Sur nos routes tout nous fut permis
Même les mensonges des nos ennemis
Et me voila au champs d’honneur
Parti trop tard, partir à l’heure
Mes recits me portent à bout d’bras
A bout de souffle au bout de moi
Un boute en train qui reste OK
Un p’tit bout d’quai attendant l’train
Alors j’admets mes déraisons
Prenez cela comme dérision
Car j’ai fait de mes jardins, de mornes horizons
Qui font naitre en moi de mortes saisons
Néanmoins, à tort ou à raison
Je tords le cou à mes pulsions
Je m’inocule mes alluvions
Ecoute ces vers, première pression
Des vers, versés comme les versets endiablés
De cet homme controversé
Emprunt de sévérité
Sans perversité
Et ma persévérance te remettra l’couvert
Car j’ai vécu divers revers
Qui te jetteraient à la renverse
Un monde à la Gulliver
Sévère à l’endroit, comme à l’envers
Et de mes jardins, poussent de mornes horizons
De ces orées de bois bordées
Jaillissent sur moi d’étranges visions
Qui font couler mes yeux, d’une morte saison
---------------------------------------------------------- (pause)
J’voulais souffrir pour toi, pour vous, pour nous
Mais je n’peux pas, car mes envies m’ont remis debout
SmOoZ
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chapeau!
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ha ha ha, je me disais bien que tu voudrais la présidence, et je ne vais pas me disputer!!!
mais c'est moi qui y ai pensé la première!! mais j'aime bien être nounou...est ce que ça existe dans les fans club?
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Une saison quitte cette année et laisse place à l'autre.
Ont oublie jamais l'été dernier,
ont évite le sujet de l'hiver à venir.
Ta dérision collée à tes souliers à trempé tes yeux dans une amertume qui pertube ma tête,
qui gagne à être discrète malgrès ton bout en trai - NISME tu reste dans ce roulement que tu désire parsemer de fleurs le primtemp regagnant le ton preignant de tes leçons.
De verte pature ont tout de même leurs place dans cette allure fier que tu as pu te refaire.
La preuve qu'une saison laisse place à l'autre...
Sur ce quai,attrape ta destinée en main et ne la lacha pour rien au monde,qui que tu soit,quoi que tu fasse.....
C'est toi,vous,nous qui choisissons la mélodie de cette chanson "Morte saison"
Car demain viendra la moisson et à de -ux -mains nous serons ce que nous cultivrons!
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