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#1 29-11-2012 01:05:43

Jundow
Fan confirmé(e)
Date d'inscription: 30-10-2012
Messages: 197

La confrérie de la lumière

Premier chapitre d'une histoire que je suis en train d'écrire:

Je parcourais les routes depuis longtemps déjà, sans trop savoir où j’allais, sans même m'en poser la question. J’avais quitté ma maison sans regarder derrière moi car c'était la seule chose à faire. Mon passé me pesait et le seul moyen d'y échapper était de mettre un maximum de distance entre lui et moi.
Je jetai un regard dans le rétroviseur central qui me renvoya mon reflet: un homme d'une trentaine d'années a la peau couleur charbon, au visage dur dont une longue cicatrice traversait la joue gauche. Complètement chauve et les yeux aussi noirs que le reste ne laissant transparaître aucune émotion.
Je reportai mon regard sur la route interminable et dénuée de toute vie. La nuit était arrivée depuis plusieurs heures déjà et je commençais à fatiguer. Je vis alors une petite route de terre sur ma droite; je bifurquai donc et emprunta cette route sans savoir ou elle me mènera. Au bout de dix minutes à rouler sur cette route entourée d'arbres, j’arrivai dans une petite ville dont le nom sur la pancarte avait été effacé par le temps. Je voulais me poser pour la nuit et reprendre ma route au petit matin, cela tombait bien. Il devait bien y avoir un endroit où dormir.
Je me garai donc sur un parking dont le macadam était usé par manque d'entretien et où trônait quelques véhicules qui, visiblement, n'avait pas bougés depuis longtemps.
Quittant mon véhicule, je jetai un regard autour de moi: pas un chat, tous les lampadaires étaient éteints, aucune lumière ne perçait à travers les vitres des maisons.
Je marchai un peu dans cette ville à la recherche d'un motel où je pourrai passer la nuit. Un silence inquiétant planait sur la ville, il n'y avait pas âmes qui vivent pour donner vie au paysage et je commençais à me dire que cette ville était abandonnée. C’est alors qu'un restaurant attira mon attention, son nom était devenus illisible sur la pancarte mais ce qui m'interpellais, c'était le fait qu'il y avait de la lumière qui filtrai à travers les fenêtres, contrairement au reste de la ville, plongée dans le noir.
Je franchis donc le seuil de la porte: personne à première vue.
Un bordel monstre trainait dans la pièce principale; sur les tables, au sol, sur le comptoir étaient éparpillés des centaines d'objets divers pour la plupart brisés: assiettes, casseroles, lampes, produits ménager renversés, nourritures diverses…
Que c'était-il passé ici?
Je me frayai un chemin à travers les débris et entreprit de faire le tour du restaurant. C'est seulement en arrivant dans la cuisine que je découvris enfin quelqu'un. Une jeune femme au teint bronzé, de taille plutôt petite, ayant des cheveux longs et noirs avec un regard désespéré me fixa quand j'entrai dans la pièce.
Je lui dis:
-Vous êtes toute seule dans cette ville?
-Oui…-me répondit-elle d'une voix éteinte.
-Et où sont passés le reste des habitants?
-Certains sont morts...
-Et les autres?
-Enlevés...
-Et pourquoi restez-vous ici?
-…
-Ok, peu importe, c'est vous que ca regarde après tout. Il y a une autre ville où je pourrai trouver un endroit où dormir?
-Je l'ignore."
Cet alors que le bruit d'un moteur se fit entendre. La jeune femme prit soudain un air effrayé.
-Oh non, c'est eux, ils sont revenus!
-Qui ca "eux"?
-Les immortels!
-Immortels? Comment ça?
-Ne discutez pas, il faut que je retourne chez moi d'urgence!
-Si ils vous veulent du mal, le mieux est de quitter la ville.
-Je ne peut pas, je doit retourner chez moi!"
Sur ce, elle détala à toute vitesse. Je décidai de la suivre car c'est la seule chose qui me vint à l'esprit sur coup.
Elle sortit du bâtiment par une sortie de secours qui donnait sur une ruelle plongée dans le noir le plus total. J'accélérai le pas pour me retrouver à courir à ses côtés.
On traversa toute la longue ruelle où régnait une odeur horrible, et une fois arrivés au bout, nous nous retrouvâmes sur une grande place. Une grosse berline s'arrêta net devant nous et dans notre lancée, nous l'avons percuté et nous retrouvâmes projetés au sol sans avoir eu le temps de comprendre.
Je me relevai, un peu sonné et la jeune femme en fit autant. Quatre hommes sortirent de la berline comme un seul homme et nous encerclèrent.
Ils étaient tous habillés de la même façon: complet noir avec de grandes vestes et un chapeau recouvrant leur front. Je n’arrivais pas à distinguer leurs visages dans cette obscurité seulement éclairée faiblement par la lumière que projetait la lune.
L'un d'eux prit la parole d'une voix sombre et inquiétante:
-Alors Helena, on tente de se soustraire à son destin?
Celle-ci répondit d'une voix terrifiée:
-Je vous en prie, laissez-moi, ma fille a besoin de moi!
-Vous devez tous mourir, c'est le destin qui veut ça.
-Ce n'est qu'une enfant!
-Elle est déjà morte, c'est à votre tour maintenant."
Je pris la parole:
-De quoi parlez-vous?
-Vous n'êtes pas d'ici vous...- Me répondit la voix inquiétante.
-Non, je suis arrivé ici par hasard.
-Le hasard n'as pas sa place ici M. Lewis...
-On se connait? D'ou tenez-vous mon nom?
-Peu importe, ce qui m'intéresse, c'est de savoir pourquoi vous arrivez en ces lieux, justement maintenant. Ce n'était pas prévu.
-Vous ne maîtrisez pas le monde, il est impossible de tout prévoir.
-Vous ne savez pas à qui vous parlez!
-En effet, et pour tout vous dire, je m'en moque.
-Nous sommes là pour permettre à l'humanité d'accomplir son destin.
-Sans blague! Cette femme vous a appelé les Immortels mais je trouve que "les Illuminés" vous irais mieux!
-Nous avons assez perdu de temps avec vous M. Lewis..."
Soudain, l'un de ces hommes attrapa Helena et la jeta à l'arrière du véhicule et, avant qu'il ne referme la porte, elle me cria "Sauvez ma fille!" d'une voix désespérée.
Avant que je ne puisse esquisser le moindre geste, un autre de ces hommes m'asséna un coup violent sur la nuque, je ressentis une intense douleur et perdit connaissance...

Dernière modification par Jundow (29-11-2012 01:07:14)

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#2 29-11-2012 10:12:48

nouga
Maître des fans
Date d'inscription: 24-05-2009
Messages: 40793

Re: La confrérie de la lumière

nous sommes plongés au coeur du mystere" de la confrerie des lumieres"
bravo


"les états d’âmes sont des lapsus incertains"

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#3 29-11-2012 19:08:34

ITESS
Maître des fans
Lieu: Ici & ailleurs
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Re: La confrérie de la lumière

+1 avec mon vieux lion de frangin.


Tantôt Roots...
Tantôt Street...
Toujours Massif

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#4 01-12-2012 12:31:28

Jundow
Fan confirmé(e)
Date d'inscription: 30-10-2012
Messages: 197

Re: La confrérie de la lumière

Chapitre 2

Quand je rouvrit les yeux, le jour s'était levé et un soleil éblouissant m'aveugla quelques secondes et une douleur sourde me taraudait dèrrière la nuque. Je me releva lentement et me souvint de la scène qui s'était déroulées quelques heures plus tôt: les "immortels", l'enlèvement de cete femme que je connaissais a peine, la dernière phrase qu'elle avait hurlée avec tant de désèspoir et le coup qui m'avait assomé.
Ma première idée fut de remonté dans ma voiture et et de quitté cette ville étrange. Mais je ne pouvais m'y résoudre car il y avait cet homme qui, visiblement, me connaissait. Ce qui m'intriguait au plus haut point car je n'avait jamais mit les pièds ici et n'était jamais venu dans ce coin du monde. Je trouvai cela bizarre...
Je decidai donc de me lancer a la recherche de la fille d'Hélèna, la ville n'était pas bien grande, ca ne devrait pas me prendre trops de temps. Peut-être que j'en apprendrai plus sur ces hommes mystèrieux comme ça...
Je décidai de commencer mes recherches dans le restaurant ou j'avait vu Hélèna la première fois, peut-être trouverais-je une information sur l'endroit ou elle vivait.
Je refis donc le chemin inverse de la veille, la ruelle était très sale et la même odeur immonde que la veille me monta au narine, je compris le pourquoi après une vingtaine de pas; Un homme gisait sur le côté gauche de la ruelle, il était mort et son état de décomposition était assez avancé. Son visage était le plus abîmé, on l'avait tué d'une balle dans la tête et la moitié de son crâne était répandu autour de lui. Pour le peu qui était encore identifiable, on pouvait dire qu'il devait être assez agé avant de mourir. Probablement qu'il n'avait pas été assez rapide pour fuir...Je continuai mon chemin sans plus me préoccuper de lui.
J'entra dans le restaurant et entrepris d'en refaire le tour comme la veille pour chercher un indice qui me dirait ou trouver l'enfant.
Je fit le tour du restaurant en cherchant un peu partout, vidant les tiroirs, armoires et ce, sans rien trouvé d'interessant.Ce n'est qu'en arrivant dans la cuisine que je trouva un porte-feuille qui se révéla être celui d'Héléna. Je l'ouvrit et ce que j'y découvrit, me troubla encore un peu plus:
Sa carte d'identité m'appris qu'elle ne s'appellait pas Héléna mais Leïla Connor, bizarre...
Alors ces hommes qui croyaient tout savoir ignorais donc sa véritable identité, cela enlevais un peu de leur soit disant grand savoir.
Je quittai donc le restaurant et me mit a la recherche de l'adresse lue sur la carte d'identité de Leïla.
Je marcha dans cette ville fantôme a la recherche de la maison de Leïla. Je découvrit durant ma petite "promenade" d'autres morts, parfois jeunes, parfois plus agés et tous dans un état de décomposition avancés. Les maisons de la ville était pour la plupart en bon état et avait un certain charme. Les rues étaient sales et jonchées de détritus divers et dans toutes les rues, des véhicules a l'arret depuis quelques temps déja.
J'arriva enfin a l'adresse en question et, un peu bêtement, frappa a la porte. Au moment ou je me rendis compte de la stupidité de mon geste et que je posa ma main sur la poignée, la porte s'ouvrit a mon grand étonnement. Une fillette de 8 ou 9 ans me fixai avec des yeux vif et intelligents. Elle était la copie conforme de sa mère mais en modèle réduit. Elle me dit de sa voix de gamine ou l'on pouvait décelé une certaine maturité malgré tout:
-Bonjour monsieur, c'est maman qui vous envoye?
-Oui, elle m'as demandés de venir te chercher.
-Les Immortels ont réussis a l'attrapée hein? -me dit elle d'une voix empreinte de tristesse.
-Oui"
Elle me fixait d'une façon curieuse, concentrée sur je ne sait quel réflexion puis son visage changea d'expression et je vit de la peur et du mépris naitre dans ces yeux.
-Qu'y a-t-il?
-Pourquoi maman vous a-t-elle choisis? Vous êtes aussi mauvais que les hommes qui l'ont enlevées!
- On ne juge pas sans savoir petite.
-Vous avez fait beaucoup de mal durant votre vie, votre âme est aussi noire que la nuit!"
J'était déstabilisé par les paroles que j'entendait, surtout venant d'une gamine. Elle connaissait visiblement mon passé, tout comme ces soi disant "Immortels". Tout ça devenait de plus en plus étrange...
-Bon écoute petite, je suis ton seul espoir de survie alors met ta rancoeur de côté et suis moi sans discuté. A moins que tu préfère attendre que ces hommes viennent te cherchés aussi.
-Vous croyez que j'ai besoins de vous? Les immortels ne savent pas m'attrapées sinon ce serai déja fait.
-Et tu compte restée seule dans cette ville le restant de ta vie?
-...
-Alors, tu vient?
-Vous voulez vraiment m'aidez?
- Je n'ai rien de mieux à faire pour le moment.
-Alors, aidez-moi a délivrée maman.
-Parce que tu sais ou elle est?
-A peu près...
-Et tu veut aller défié les Immortels pour la récupèrée?
-C'est ma maman, j'ai besoin d'elle.
-Je ne voit pas ce que l'on pourrait faire pour l'aider petite.
-Si vous ne voulez pas venir alors ne me dites pas que vous voulez m'aider!
-heu... Ok, on va allez voir ce qu'on peut faire pour ta mère petite.
-Je m'appelle Amina, vous voulez entrez pendant que je me prépare?"
Et sans attendre ma réponse, elle tourna les talons en laissant la porte ouverte.
Si cette gamine savait où ils se trouvaient, autant la prendre avec, ca m'éviterai de chercher pendant des heures...
J'entra dans la maison et referma la porte dèrrière moi. Je m'installa dans un fauteuil et attendit que la demoiselle se prépare.
Le salon était décoré de bois du sol au plafond, les fauteuils en cuir étaient un peu usés mais de bonne qualité. Une grande cheminée décorait un côté du salon et les murs étaient remplis de photos diverses. Je les observait une a une histoire de patientés et l'une d'elle attira mon regard; je me leva et m'en raprocha. C'était une vielle photo ou l'on voyait un homme qui posait devant une ancienne voiture, mais ce qui me troubla est que j'avait déja vu cet homme il y a longtemps et pour cause: c'était mon père...
-Elle était belle la voiture de grand-père hein?"
Je me retourna, abasourdit par ce que je venait de voir et d'entendre. Amina avait troquée sont pyjama par un ensemble en jean et avait enfilée des basket. Elle me fixait de nouveau avec cet air concentré et je compris, même si j'avait du mal a y croire, qu'elle lisait dans mes pensées. Elle s'exclama sur le ton de la surprise:
-Ce n'est pas possible! Vous êtes...Mon oncle!?
-Mon père m'as abandonnés quand j'avait 2 ans, j'ignore ce qu'il est devenu ensuite, visiblement il a eu un autre enfant qui se rèvèle être ta mère.
-Alors c'est ta demi-soeur?
-Il faut croire...
-Alors j'ai un oncle mêchant et mauvais?
- Je te trouve bien insolente, ta mère ne t'as pas apprit le sens du respect?
-Vous ne méritez aucun respect!
-Je devrais peut-être m'en aller et te laissé te débrouillée, qu'est ce que tu en dit?
-Vous ne trouverez jamais les hommes que vous voulez revoir sans moi.
-Et comment peut tu savoir où ils sont partis?
-Je sais où ils emmène les personnes qu'ils enlèvent.
-Bon, on va voir ça. On va aller jusqu'à ma voiture et tu vas m'indiqué le chemin. Ok?
-D'accord, je vous suit."
Je quitta donc la maison avec la gamine qui me suivait, et ensemble, nous nous dirigâmes vers mon véhicule sans échangé un mot. Je n'avait pas vraiment envie de jouer les baby-sitters mais je n'avait pas le choix. Elle avait l'air d'en savoir beaucoups sur ce qui se tramait et son aide m'était utile.
Une fois installés dans ma voiture, je démarra et demanda a Amina:
-Alors mademoiselle je-sais-tout, par où faut-il aller?

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#5 06-12-2012 18:22:18

O-rage
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Re: La confrérie de la lumière

J'aime bien!


Ô rage, Ô désespoir, Ô vieillesse ennemie!

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#6 09-12-2012 12:55:46

Jundow
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Messages: 197

Re: La confrérie de la lumière

Chapitre 3

J'avait quitté la ville depuis un bon quart d'heure accompagné d'Amina. J'avancai sur une route de terre qui traversait les bois, aucune lumière d'aucune sorte n'éclairait le chemin pour le moins tortueux et seul la umière de mes phares l'écairait vaguement. Elle m'avait dit que l'on trouverais sa mère et les mystèrieux Immortels dans un autre village perdus au milieu de nul part à une demi-heure de celle que je venait de quitté. Mais je ne savais pas ce que je pourrais faire une fois sur plaçe, si ils étaient vraiment immortels, ce n'est pas quelques balles qui les arrêteraient...
Toutefois, je voulais savoir qui étaients ces hommes et me disait que je verrai bien ce que je pourrai faire une fois sur plaçe.
Amina paraissaient songeuses depuis qu'on avaient démarrés. Je lui demanda:
-Qu'est ce qui te tracasse petite?
-Je me demande en quoi vous allez pouvoir m'aider une fois sur plaçe...
-Pourquoi? Tu as l'intention d'aller affronté ces hommes toute seule?
-Il faut faire quelque chose pour maman mais...J'ai peur."
Sur ces paroles, elle fondit en larmes. Sa grande maturité et son "don" m'avait presque fait oubliés qu'elle n'avait que 8 ou 9 ans et qu'elle n'était qu'une enfant après tout.
La dernière fois que j'avait vu une enfant pleuré, c'était lors de ce jour maudit... Je ne voulait pas y penser, c'était un souvenirs trops douloureux. Je me concentra donc sur ma route sans plus me préoccuper d'Amina. Ses pleurs redoublèrent et je lui lança:
-Cela ne sert à rien de pleurer. Si tu veux retrouvée ta mère, il faut rèstée calme et concentrée.
-Tout le monde n'as pas un coeur glaçé comme vous!" Me repondit-elle entre deux larmes.
Je ne pouvais pas lui donner tort sur ce point et ne répondit donc rien. Je me remit a réfechir sur le moyen d'arrêtés ces illuminés, Leïla était entre leurs mains, c'était ma demi-soeur et même si j'avait du mal avec cette nouvelle idée, je ne pouvais pas la laissé là-bas.
Amina me dit d'une voix égale:
-Ces illuminés ne sont pas immortels, ils sont simplement plus résistant que la plupart des hommes.
-Pourquoi les appellés comme ça dans ce cas?
-Ce sont eux qui se sont présentés sous ce noms. Mais ils ont autre choses aussi qui les rends dangereux.
-Et qu'est ce que c'est?
-Des facultés psychiques.
-C'est à dire?
-Télékinésie, Pyrokinésie ou encore télépathie.
-Ils nous font un remake des X-men?
-Je suis sèrieuses!
-Ok, si je leurs tire dessus, il guérissent a vitesse grand V comme Wolverine?
-Andrew! Arrêtez ça, si vous ne me croyez pas, vous verrez bien sur plaçe!
-Je doit avoués que j'ai du mâl a y croire.
-Ils guérissent plus vites que nous, mais ils leurs faut quand même un certains temps.
-Comment sait-tu tout ça Amina?
-Je peut lire dans les pensées non?
-En effet.
-Arrêtez-vous!" dit-elle brusquement.
Je freina violemment et la voiture s'arrêta presqu'aussi tot.
-On y est, vous allez devoir me suivre.
-Je ne voit rien d'autre que la route et les arbres!
-Suivez-moi s'il vous plait!
-Ok, je te fait confiance, on verra bien."
Je prit mon pistolet berretta 9 mm dans la boîte à gant et quitta mon véhicule, Amina s'enfonçai déja a travers les arbres qui longaient la route.
Je la rattrapa et me tint près d'elle, les sens en alertes et l'arme au poing.
On marcha comme ça pendant dix longues minutes a travers les arbres dont le printemps faisaient déja poussés les feuilles sur les branches.
Amina s'arrêta soudainement et resta immobile, comme figée. Je voulu la secouée un peu pour voir si elle allait bien mais je vit qu'elle avait repris cet air concentré comme quand elle lisait dans mes pensées. Je décida d'attendre pour voir ce qu'elle faisait.
Au bout de deux minutes, elle se remit a marché et je la suivit sans dire un mot. après encore cinq minutes de marches, on quitta la forêt pour nous retrouvés dans un jardin qui appartenait a une maison. On traversa le jardin qui était remplis de fleurs de toute sortes pour arriver a la porte arrière de la maison.
-C'est habités? -demandais je
-Non, c'est une maison abandonnée."
Je poussa la porte qui s'ouvrit sans résistances et entra dans la maison qui, éffectivement, devait être abandonnés depuis longtemps. La poussière avait envahie l'intégralité de la maison, l'air était lourd et l'obscurité n'arrangait rien a cette ambiance sombre qui planait sur les lieux.
On traversa la maison et ressortit par la porte d'entrée qui donnait sur une rue qui avait l'air aussi abandonné que l'autre ville.
-Tu est sur qu'il y a quelqu'un ici?
-Oui, suivez-moi."
Je me remit donc a la suivre quand soudainement, l'un des véhicules qui stationnait dans la rue quitta le sol et fonça vers moi comme-ci ont l'avait jeté avec forçe. J'eu juste le temps de me jetté sur le côté et le véhicule termina son vol dans la facade d'une maison. Encore surpris par cette attaque inattendue, je me releva et vit a environs cinquante mètres de moi, une silhouette qui ressemblait parfaitement a celle d'un immortels.
Je vit Amina se dirigée vers l'ennemis d'un pas tranquille. Je me fit la réflexion qu'elle était inconsciente de fonçé sur cet individus comme ça, mais elle me lança :
-Servez-vous de votre arme et laisse-moi faire!
-Tu vas te faire tuée, va donc te cachée pendant que je m'occupe de cet homme.
-Je suis plus dangereuse que vous, croyez-moi."
L'immortel se rapprochait et je vit une deuxième voiture se soulevée; je leva mon arme et appuya sur la détente frénétiquement, toutes les balles touchèrent la cible mais le seul effet notable que je put constater c'est le véhicule qui retomba lourdement. L'homme continuait a avançés de son pas assuré et tranquille. Mais en quoi était-il fait?
C'est alors qu'Amina me surpris une fois de plus; elle pointa sa main vers l'individu et une boule de flamme se forma dans le creux de sa main puis fonça sur l'ennemis a une vitesse foudroyante. Celui-ci n'eut pas le temps d'esquissé le moindre geste et, a l'impact du projectile, fut projeté violemment dans la façade qui se trouvait dix mètres dèrrière lui. Il se releva alors qu'il brulais comme une torche et se remit a marcher vers nous.
-Achevez-le maintenant!"
Il était assez proche maintenant, je lui envoya quatre balles au niveau de la tête qui explosa sous l'impact; l'immortel s'écroula enfin.
Je m'en approcha et lui envoya une autres balle au niveau du coeur, on ne savait jamais.
Je me retourna vers Amina qui s'était assise sur le capot d'une voiture.
-Bien joué petite.
-Oui...
-Tu ne m'avait pas dit que tu possédait d'autres facultés dans ce genre.
-Peu importe, j'ai fait ce qu'il fallait."
Je la rejoignit et vit qu'elle pleurait a nouveaux.
-Je t'ai trouvé très courageuse, mais il aurai très bien pu te tuée.
-Mais c'est lui qui es mort.
-Oui, en effet.
-Je suis désolée de m'être montrée si mèchante avec vous.
-Ca n'as pas d'importance, tu avait raison en disant que j'était mauvais.
-Elle vous manque n'est ce pas?
-Qui ça?
-Votre fille."
Mon coeur se serra sur ces dernières paroles, j'avait éssayé de ne plus penser a tout ça et cette gamine me balancai tranquillement ce que j'éssayai d'enfouir au plus profond de ma mémoire, alors tout me revint avec une précision étonnante...
-Racontez-moi.
-Non, de toute façon, on a pas le temps de discuté.
-Oui vous avez raison.
-Alors, que doit-on faire maintenant?
-Il faut aller au cimetierre.
-Que veut tu faire là-bas?
-C'est là qu'ils pratiquent les rituels.
-Des rituels?
-Oui, allons-y."
Elle n'avait pas envie d'en dire plus et je n'insista pas. Je rechargea mon arme et nous reprîmes notre route.

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