Forum Grand Corps Malade et slam

bises a vous deux


"Hey fréro ... Où va se diriger ton stylo ?" Assassin je n'en sais strictement rien a chaque jour sa page blanche

tu sais Daniel parfois les mots se bousculent alors j'en profite
merci  de me lire ami

Jolies rimes...
Mais sans moi.
Trop Humide à mon goût.

Moi ? Tord ?

Belle carte postale nouga ! Un petit tour en voilier et on est déjà dans un autre monde !

merci , je vous invite a  y venir

il y a des soldes de cirés, bottes, pour t'équiper
plus pour becqueter homard et cie
ca le fait non

Pour toi Daniel tu te plaignais d'un manque d'humour sur le forum lol
chacun peut rajouter son quatrin

S’il te reste un peu d’humour

S’il te reste un peu d’humour mon amour
Descends la poubelle puisque t’as des ailes
Et remonte avec la voisine cette sauterelle
Dont la réputation a toujours de beaux jours

S’il te reste un peu d’humour mon amour
De ta carte bleue, j’en ferai ma carte de visite
En user, une addiction, ma ligne de conduite
Dépenser, ma préoccupation pour mes atours 

S’il te reste un peu d’humour mon amour
Dis à ta mère qui sait toujours tout faire
D’éviter de squatter avec ses affaires
Et parler doucement je ne suis pas sourd

S’il te reste un peu d’humour mon amour
Avec le ménage, soit une fée du logis
Idem pour le jardinage, excellente thérapie
Tu fais d’une pierre deux coups sans détour

S’il te reste un peu d’humour mon amour
Cesse la bière et les pieds sur le canapé
Le sport en chausson les yeux rivés sur la télé
Fondra alors ton ventre rond pour toujours

S'il te reste un peu d'humour mon amour
Ris de tout, Proust ou prouts, sans détour
Plions nous en 2, à plusieurs c'est plus fendar'
A s'faire péter une cote flottante, avec le rire on a rencard

S'il te reste quelques idées, laisse aller l'encre.
Laisse faire ton esprit, laisse aller l'ancre.

J'adore.

État des lieux

État des lieux, constat inquiétant, la précarité a envahi la chaussée,
Le travail ne fait plus recette et la fiche de paie se paie de notre tête
État de grande pauvreté qui s’accroit, sur un rythme de n’importe quoi
L’humain en danger, la faute a l’argent, la faute aux puissants
Résigné, voilà le qualificatif de ce monde qualifié à nous envoyez ad-pâtres
Photo devenue habituelle des gens fouillant dans les poubelles
Énumérez encore ces faits, dits de société, ne nous fait pas progresser
Routine sans rustine, précaire de repères, nous nous enlisons
Le corps en perdition, l’esprit déjà absent, et l’âme éteinte d’émotions
Ce spectacle est une farce sans nom, l’histoire retiendra quelques bruits de pas
Mais aussi le plouf du plongeon, dans l’océan d’indifférence rance
L’univers a ses travers, l’humain a engendré des revers dans un contexte pervers
Pourtant rien ne bouge et si beaucoup sont traités de peaux rouges
L’ordre en rang serré matraque, avec la niaque, de cardiaques insomniaques
Que deviendront les risettes des nouveau-nés, si l’absence de maternité
Est devenue la priorité de la rentabilité, naitre sera réservé à l’élite
Aux coïts assurés, quand à l’éthique sa ligne de conduite restera anecdotique.
État des lieux pour quel enjeu, mais ce n’est pas un jeu, il faut tuer le JE

merci Daniel, le "nous" a encore beaucoup a faire, mais tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir

disons qu'ils ne font pas vraiement leurs jobs, super payé gauche droite confondue malheureusement

pour info la sois disant reduction de salaire du president et des ministres n'a pas été votée

"courses pour suites"

Pour éviter le rayon de la mort !