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biz brestoise sous la pluie
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Plus tard
Plus tard, plus tard, résonne comme une litanie
Pour éviter de faire de la peine, plus tard on n’aime
Pour éluder le problème, plus tard se fait ami
Quand plus tard est à la traine, on insiste pour la rengaine
Hier encore, plus tard a frappé à ma porte
Je n’avais pas la réponse, j’ai fait en sorte
De ne pas prendre parti, même si de la vie
J’ai une petite idée, et un brin d’utopie
Comme il insistait sans répit, avec envies
De savoir pourquoi c’est toujours les soucis
Qui donnent le tournis, à l’humain atterré
Faisant de ses nuits, une longue traversée
J’optais pour un plus tard a deux vitesses
Prendre le recul qu’impose la politesse
Et un conseil sans prétention ni illusion
Façon d’avoir en réserve des solutions
Aujourd’hui, plus tard est revenu à la charge
Les soucis s’en sont allés à la décharge
Il faut savoir relativiser, c’est recommandé
Sinon de la vie, nous passons à côté
Bien sur, plus tard a parfois besoin de savoir
D’avoir cette confiance que donne l’espoir
Avec parcimonie il faut alors divulguer,
Afin de s’économiser, vivre c’est durer
Demain plus tard se fera surement insistant
Ce a quoi je répondrai en fredonnant
Le temps c’est mon confident, mon allié
Plus tard je ne sais où je vais, mais j’irais
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Plus tard me saoule parce qu'il est trop présent !
Remettre au futur tout ce qui est trop chiant !
Super nouga ! Mais pourquoi tu le poste là ! Il n'est décalé que dans le temps ! Lol !
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merci Daniel
je poste ici cela evite de surcharger la première page
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j'ai entendu hier un type qui disait "le temps n'existe pas, c'est nous qui passons"
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merci a vous deux
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Ça commence comme çÃ
Ça commence comme çà , un jour de tempête
Tu perds la tête, et tu réalises que c’est pour perpette
Ta vision a pris du plomb dans l’aile
C’est le début d’un effet bien réel
Un signe avant-coureur comme disent les docteurs
Un truc qui stresse et fait peur
Avec son lot d’interrogations
Et la gamberge pour les solutions
Une impression persistante
Comme une envie bien pressante
Le besoin de savoir la suite
Savoir si la mort est subite
Avoir les éléments du pourquoi du comment
Les insérer pour connaître ce qui cloche vraiment
Essayer d’anticiper les retombées
Afin d’être prêts
Et ne pas se laisser enfermer
Ce n’est jamais l’heure d’être prisonnier
Si le destin te fait en aparté une farce
Ou si demain dans une fusée tu décolles pour Mars
Faut’ il rester serin, sans moments de panique
Respirer avec entrain, sportif athlétique
Ou demander déjà son chemin
Pour un ailleurs d’aléas d’autres refrains
Imaginer le pire en attendant l’invisible
Pour ne pas te l’écrire et rester audible
Envisager de tenter des options adéquates
Moyen efficace de dormir dans la ouate
Évitez-le trop plein d’anxiétés qui te rongent
Car tu n’as pas la clé de songes
Et laisser le temps faire semblant d’œuvrer
Façon élégante de lui signaler ton respect
Ça commence comme çà , un jour de tempête
Tu perds la tête, et puis tu te répètes,
Une histoire dont la fin et sans fin
De ta vie dans un monde peuplé d’humains
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Le plus dure, c'est souvent commencer.
Une fois lancé,
Rien ne peut nous arrêter.
Je suis si fière, si tu savais,
De partager cette amitié
Avec toi, mon re-fré.
Super lignes...Bravo.
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idem heureux de t'avoir rencontrer
merci frerot
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ça commence comme ça aussi l'amitié
bises a vous trois
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On ne sait pas ce que le sort nous réserve ! Mais quand il te file un avertissement tu te poses la question de ce qu'il veut ?
La tempête n'emporte peut-être pas tout ! Sauf si un tsunami l'accompagne !
nouga tu prends de la maturité ! lol !
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pour la maturité Daniel , je me disais , c'est peut etre mon heure MDR
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Qui décide
Qui décide, surement pas mon ide
Encore moins ma brosse à dents
Ni mon miroir jugé trop décadent
Idem pour ma chemise au col celluloïd
Souvent avec philosophie j’en ris
De ces injonctions pour avancer
N’ayant aucune envie de m’y plier
Libre, est le condensé de mon sursis
Que dire des formulations alambiquées
Dont se gargarisent des êtres soucieux
De leur pré carré, ne demandant pas mieux
Sinon d’évoluer dans leur sillage d’assoiffé
Et si par mégarde je reste le dernier
Enfin presque, car d’autres sont en lutte
Et nous ne craignions pas la chute
Nous ne serons pas ces moutons aliénés
Qui décide, quand le ver est dans le fruit
La saison d’après toujours plus pressée
L’opportuniste prêt a acheté à prix cassés
Ou simplement le sort, mais sans profits
Tout le monde et personne à la fois
C’est suivant qui sera le roi ou l’oublié
Dans ce chaudron société et ses effets
Décider reste la priorité quelquefois
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Je confirme ! C'est ton heure ou ton humeur ! C'est toi qui décides et les moutons peut-être suivront !
Mais c'est pas gagné ! Restes donc philosophe ! D'autres aussi sont en lutte !
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oui, tout le monde et personne à la fois... c'est très juste
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oui le verbe decider a plusieurs significations, j'ai essayé de l'aborder par l'angle du questionnement
merci a vous deux
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je viens pas assez du coté de tes textes décalés , y'a du bon nouga
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Seul Dieu décide.
Nous n'avons aucun pouvoir en vérité.
"Nous ne sommes que de petits soldats de plastique dans une poussière de guerre miniature"
(Jim Morrisson)
Mais j'ai bien aimé ton texte.
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mmam n'hesite pas c'est un petit , petit coin charmant lol
Itess si c'est Dieu mektoub et inch'allah
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En parlant de crise suite au texte d'Alex P
Crise
Par temps de crise
Et l’impression d’avoir la cerise
Le peuple en crise
Sous le joug de ceux qui la maitrise
La crise passait par là avec roublardise
TVA comprise
Dans une pochette surprise
La crise avait la gueule de la traitrise
Spéculons disait l’entreprise
Sinon sur la banquise
Nous délocaliserons l’emprise
Qui nous étrangle quand elle est de mise
Alors de vocalise en vocalise
Les travailleurs en crise
Prirent leurs valises
Et pataugèrent dans la mouise
Par temps de crise
Petit quiz
A qui profite-t-elle, elle ironise
La crise est structurelle, même à l’église
Voila comment la leçon doit être apprise
Serinent ceux qui se frisent
De crise en crise la voila la jolie crise
Adieux veaux vaches cochons et marchandises
Et question franchise
Un petit couplet tout en paillardise
La crise vous fait la bise
Et vous baise, c’est l’effet qui vous paralyse
Pour information la crise est une invention
Qui doit son nom
Aux aigrefins pour qui le pognon
Est érigé en religion
Dernière modification par nouga (24-10-2012 11:49:25)
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surtout quand on sait comment elle a commencé au tout début
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Avant la crise c'était mauvaises récoltes, mauvaises moissons, mauvaises vendanges ! Moins de marchandises !
Maintenant la crise c'est ne plus savoir ou mettre son pognon, trop de production, créer la raréfaction, pas assez de travail comme si on avait pas à faire !
Enfin t'as résumé nouga !
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la crise m'a fait connaitre un Marquise des Iles et quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise le temps s'immobilise
mais la crise elle s'enlise
merci a vous deux
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Et question franchise
Un petit couplet tout en paillardise
La crise vous fait la bise
Et vous baise, c’est l’effet qui vous paralyse
Pour information la crise est une invention
Qui doit son nom
Aux aigrefins pour qui le pognon
Est érigé en religion
Nickel poto
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merci poto
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Putain mec, écoute, c'est la crise.
J'suis au courant même sans la prise.
En c'moment, tout m'les brise.
J'en oublie ma matière grise...
Aucun rapport....
Super texte fréro.
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c(est un etat d'ame super frerot
ça fais du bien aussi
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Audace
Les jours d’audace
À l’aube prometteuse
Et soleil assuré
Il se voit coriace
Rien ne peut l’ébranler
Ni le détourner
Sa journée sera excitante
Et son humeur efficace
Les jours d’audace
Intrépide est son destin
Qu’il tient entre ses mains
Sans se voiler la face
Il peut décrocher la lune
Courir sur les dunes
Rire d’un rien
Et marcher sans godasses
Les jours d’audace
Entre odeurs et saveurs
Sur fond de bonheur
Même si c’est fugace
Les mots sont inutiles
Les envies tactiles
Tout est dans le regard
Dans le face à face
Les jours d’audace
Même son ennemi est loin
Ses pas sont aériens
De sa gomme, il efface
Les rides de sa vie
Les jours en sursis
Place nette sans témoins
Et seul reste sa trace
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ah! excellent! je te souhaite plein de jours d'audace!
nouga a écrit:
Il peut décrocher la lune
Courir sur les dunes
Rire d’un rien
Et marcher sans godasses
et ça j'adore, bien sûr!
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