Vous n'êtes pas identifié.
Merci beaucoup!
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Ah les hommes et leurs faiblesses... Nous vivons dans un pays sans guerre, et nous nous la faisons à coup d'addiction à tout vent, et sans trémolo...
A quoi bon se détruire la vie, elle est déjà si courte, ... cela ne vaut pas la peine de la "suicider" à petits feux, gavés d'alcool, de drogue, de clope...
Pensons à sublimer nos maux par des palliatifs comme l'écriture de nos cris dures, par le sport, ... tout simplement retrouver le bonheur de vivre en harmonie avec la mère nature... prendre le temps de ses petits bonheurs ...
Vous allez surement me trouver raingard et vieillle France, mais je préfère la diction des mots à aux maux de l'addiction...
Je souhaite à tous ceux qui sont dans quelconques addictions de s'en sortir et de faire de leur vie un lit de bonheur ... A la Bonne Heure, je vous salue ... !!!
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Des fois on vit en pleine guerre, on n'a pas de condition particulière, minorité trop visible, la france de bien plus bas, là c'est la guerre, une guerre perdu d'avance, souvent, l'éducation et les mots qu'on peut y apprendre n'est pas accéssible à tous, même de nos jour, même en france, alors la thérapie par les mots c'est de suite compliquer et pas naturel, parfois on ne fait que reproduire les addictions qu'on a vu, parfois on se les créer, pour les mots et la création en général c'est pareils, l'addiction reste un simple palliatif avec plus ou moins d'incidence, mais le plus grave selon moi c'est la raison de ce besoin... mais ça c'est ce heurter à un vrai problème, c'est long, chiant, compliquer etc etc, on en parle toujours moins... "regarde cet alcolo" "ce junk"... mouarf, moi je me demande toujours "pourquoi"... bref!
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Pourquoi tu bois déjà ?
tu ne t'en souviens pas !
c'est pour ça que tu bois,
oublier ce qui te déchire,
t'empêche de vivre,
seulement être ivre.
Je vous mettrais deux textes sur ce sujet un jour peut-être.
Tu m'as demandé pourquoi je bois,
n'est-ce pas mon petit gars ?
et tu crois que je ne le sais pas ?
sauf, peut-être, ce qui est tout au fond de moi.
J'ai lu ces textes, j'ai vu des larmes dans les yeux, des histoires qui ne pouvaient même pas se raconter, des drames d'une vie, des tristesses et des gens qui ne pouvaient pas pardonner parce qu'ils ne pouvaient pas comprendre ou parce qu'ils ne voulaient pas comprendre.
Effectivement beaucoup plus de gens qu'on ne croit sont touché par ce mal, de près ou de loin, beaucoup en ont souffert et beaucoup en souffre encore.
Déjà quand on a identifié le mal, que l'on a réussi à le démasquer, lui donner un nom, le reconnaître comme une maladie, le mal est déjà en train de perdre du terrain. Un jour ou l'autre après de nombreuses batailles, il pliera, il s'éffondrera et la vie reprendra.
Je l'ai vu, je l'ai dénoncé, je l'ai combattu, j'ai perdu, et je l'ai vaincu, enfin les acteurs ont salué et les applaudissements se sont éternisés.
Comprendre pour pouvoir pardonner, aimer pour pouvoir continuer à exister.
Que celui qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre.
Vlan une pierre apparait. Et Jésus dit "Maman ! Tu crois pas que tu exagères un peu ?" MDR
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Daniel, j'étais là quand tu as lu ces textes, et j'ai senti l'émotion autour de moi, je l'ai sentie aussi, même si je ne bois pas et que je n'ai pas trop été confrontée à cela, mais il était impossible de ne pas être touché par les questions et les implications
Il y a "une scene un acte" (je crois) de 93k qui t'interresserait peut être, un texte de boutdutoit aussi
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Eki ton texte me parle...et c'est bien pour ça que je suis revenue vous lire ici...merci...salut à toi! Porte-toi du mieux que tu peux...biz
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