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Le manque, cette sensation
D’une brulure sur la peau
Qui rouille même les os
Rendant la suite, abandon
Le manque, une perdition
Ou s’égare le son, hagard.
Les mots, quai de gare
Et les regards, émotion
Le manque, addiction
Échanges perdus de vue
Ou sombre l’inconnu
D’une baroque dissociation
Le manque, et l’absence
Duo d’acteurs sur scène
Offrant au public, le thème
D’actes, dépourvus de sens
Le manque et la pudeur
Des larmes d’impuissance
Versées en connaissance
D’une douleur au cœur
Le manque, ultime vision
D’une cécité non assumée
D’en n’être la seule clé
Dans une vie, de passions
Le manque, dernier allié
Parti un jour ordinaire
Sur les pas de quelle lumière
Pour ne rien oublié
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Toujours trop seul on se perd. Bien.
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Tu confirmes ce que je pense:
Tu es le meilleur auteur de ce forum.
Désolé pour tous les autres.
Simple question de vécu.
Pour sa part, mon grand frère en a une bonne dose.
Et moi, j'ai besoin de cette dose.
Fort heureusement, il écrit beaucoup donc je ne connais pas ce manque.
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Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
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merci a vous trois c'est sympa
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J'aime bien ce texte. Bravo!
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sympa Alex
merci
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Les mots me manquent pour dire que je suis comblé...
Mais le manque est nécessaire pour que l'envie, le désir puissent naître, et n'être sans avoir, alors là , c'est le comble ...
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belle réponse que ton commentaire
merci ami
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