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Mon poteau du préau, Soleil arrête ta gueule de sombre héros.
Faut qu'on y va! le vivre ce petit bonheur la chance à 2 euros.
Je collectionne les heures molles, ma tête fait la folle sur mes épaules.
Et comme mes larmes coulent, j'ai la triste mine d'un saule.
Fond des confitures, qu'on dit, là haut, je voudrais les attraper,
Planté ma plume dedans écrire les étoiles et pis même me crapahuter
Derrière les infinis en 256 couleurs pour voir si il existe bien un million de fleurs.
Voir si de leur hauteur, elle voit tout là -haut la vieille dame qu'y jouer du cœur.
sourire boudeur, poète en papillote, je planche et pioche un peu de plaisir,
Histoire de faire des arc-en-ciel assez solide pour tirer des piques de désir.
Mon poteau du préau, la Lune rousse des nuits douces, sur la mousse
Ligne à ligne je largue dans l'air des lyres des leurres mais de l'encre sur le pouce
Ne paye pas rubis sur l'ongle, mais l'ange à l'angle elle glousse et glisse un mot,
Genre une pièce ou deux l'artiste? elle s'appelle Aquarelle, elle me fait des yeux beaux,
et des seins bien rond, et mon cœur tournicote et fait des bonds.
Je suis un peux James Bond dans Knock Knock heaven doors, avec un marteau pilon
Sa cogne et sa remue les braises et ça fout en vrac mon bic de poche.
Je m'approche elle s’envole comme du savon dans une porche.
Mon poteau du préau ah mon poteau du préau, j'en ai eut des misère du palpitant
Mais tant pis, plutôt que vivre en pâle et triste amant, je préfère le piquant.
Aquarelle, à tire d'aile, rêve-t-elle, de l’opiniâtre garçon amoureux d'elle
Où file t-elle ses long cheveux blonds avec la vie belle d'une hirondelle?
Je pense et je déjoue les humeurs nuageuses dans les bocaux de la ville.
Demain, mon poteau, nous rirons d'elle et nous tisserons nos rêves avec des brindilles.
+1 avec Itess
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C'est vrai que c'est joli.
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A quoi ré(e)lle, le soleil l'illimumine, elle, en sombrero ... Elle, Aquarelle, attirée d'elle, tes yeux admirent ses seins ronds, les seins, ... Et toi, tu es comme un saint, la blancheur des Carpates, ...
T'aimerais bien l'avoir à quatre pattes !!!
... mais en fête, la torpeur te sort de ton virtuel rêverie ... !!!
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Déconcertant, à relire plusieurs fois pour tout appréhender, le désir est la braise de la vie.
Peut-être pas à lire le soir ?
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