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FEMMES
Tous ces petits mots que l’on ne vous a pas dits
Je veux me faire le porte drapeau de ses oublis
Femmes, je vous dédie ces mots amis
Je veux des mots simples, comme l’eau claire du ruisseau
Comme l’arome des fleurs, comme vos sourires en douceur
Vous dire merci, de votre combat qui nous donne la vie
Enfanter et procréer sont un don qui vous est réservé
Qu’il est bon de rappeler votre générosité
Tous ces petits mots que l’on ne vous a pas dits
Par inattention, par amnésie, par lâchetés aussi
Femmes, il est temps pour nous d’oublier les non-dits
D’accepter de vous considérer nos égales
Souvent supérieures dans bien des domaines
Vous haïssez la guerre, et toutes les haines
Préférant dans la lutte l’abnégation et la passion
Qui vous donnent l’air serein et la raison
Tous ces petits mots que l’on ne vous a pas dits
Pour moi tu es la plus jolie, tu illumine ma vie
Ton amour me donne l’envie, qui m’irradie
Jour après jour vous assurez le quotidien
Prenez en charge la famille et son destin
Apaisez les peines et les chagrins
Sur nous veillant comme sur des gamins
Sans jamais ce dire que les efforts sont vains
Tous ces petits mots que l’on ne vous a pas dits
Je veux me faire le porte drapeau de ses oublis
Femmes, je vous ais dédie ces mots amis
Dernière modification par nouga (03-10-2009 11:56:57)
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parfois c'est le silence d'une femme qui en dit le plus long.
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vous avez raison tous les deux
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Merci pour ces mots si joliment dit
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Petite sœur d’un ailleurs
Venue trouver une vie meilleure,
Tes pas se perdent et les passants comptent,
Tu vends du rêve et le passant monte.
Oiseau rare, tenu en cage.
Tes ailes coupées, tes yeux masqués.
Un livre de pages après les pages,
Ton sourire oublié, ta dignité, ton cœur lapidé.
Princesse sans royaume, condamnée au silence.
Elan du cœur d’un homme qui te mène aux urgences.
L’amour frappe si fort que tu perds connaissance,
Tu pries pour que tes mômes n’aient jamais cette chance.
Mère de courage, combattante solitaire,
Pour faire ton voyage tu restes forte et fière.
Les enfants en bas âges, le père dans le désert,
Tu bâtis des barrages pour protéger ta chair.
Enfant des traditions, des plaisirs interdits,
Tu payes l’addition de leurs amours maudits.
Douleur profonde de ce qu’ils t’ont pris,
Et trop de monde encore reste sourd à ton cri.
Petite ombre de boulevards,
De rues sombres ou de nulle part.
Vous portez nos lendemains vers des cieux plus bleus,
Nos vies sont dans vos mains et l’amour dans vos yeux.
Blessées et humiliées mais toujours aimantes,
Vos cœurs ont pardonné ces plaies béantes.
Vous nous avez relevés pour sécher nos larmes,
Vos voix nous ont bercés pour construire nos âmes.
Un jour l’homme grandit et c’est la loi du plus fort,
Il te plonge dans l’oubli en marchant sur ton corps.
Il t’a aimée puis méprisée, trahie et adorée,
En oubliant parfois qu’il n’est pas le seul pilier.
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oh! superbe réponse!
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Up sur des textes où la femme est notre muse, pour la journée de la femme.
Ben quoi, je ne me foule pas ? Désolé, faudra en faire un jour férié, pour le moment, on reste bien au chaud assis devant l'écran de nos silences.
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cool merci pour elles
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Par inattention,par amnésie,par lâchetée aussi.
Wi parfois on utilise ces trois mots pour faire semblant Doubié.
Merci de nous rappeler de ne plus oublier.
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merci a toi
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