Vous n'êtes pas identifié.
J’ai délaissé pour un temps, l’abri,
Dehors m’invite souvent a regardé,
Et mes yeux ne sont pas encore fatigués.
Ni mon corps, qui aime et a besoin d’effort.
Alors dehors, me permet de me faire une idée,
Ne pas avoir qu’un son de cloche,
Et d’écouter ce qui cloche, dans nos soucis
Le pouvoir d’achat a des airs de rabat-joie
Normal, son pouvoir est chancelant, et mieux que ça
Il paraitrait même qu’il pourrait démissionner
Tans son pouvoir est fissuré, voir désuet
A cela s’ajoute, des cris incessants, les gens
Aiment un pouvoir, pas franchouillard,
Juste un pouvoir d’achat, qu’ils les mettent en joie
Le travail, un droit, gauche droite confondue,
Nous disent avec une belle envolée oratoire.
Vous les travailleurs avaient des droits
Celui d’être considéré, respecté, exploitez
Non, le dernier c’était pour la rime lol
Faut bien rigoler, mais pas au travail
Ailleurs si vous voulez, ce n’est point défendu
La sante, une priorité, mais évitez d’être malade
Car la sécu serait une triade, qui n’aime pas payez
Mais encaissez, enfin, c’est peut être des salades,
Ou une grosse part de vérité, depuis que sa noyade,
Ou du moins sa frilosité, nous mène en ballade,
Avec l’impression d’échouer, dans une cascade,
Dont les eaux glacées, n’ont rien de Cyclades
L’argent, un sujet tabou, qui gagne plus que toi,
Surement le mec derrière l’écran, tu sais à la télé,
Et ben voila ou il faut bosser, ce n’est pas compliqué,
T’es filmé, interrogé, tu réponds que tout est ok,
T’invite un autre mec, footballeur, jet-setter,
Politicard, magouilleur, mais pas travailleur
Non ça, ça le fait pas comme ils disent, va savoir pourquoi
Reste l’amour, toujours, encore, hard-core,
Et quand t’es dehors, t’entends de tout, que c’est fort
L’amour, que ça devrait durer, duré, comme les châteaux-forts
Ou comme l’argent au coffre-fort, et puissant comme le roquefort
Avec à bâbord et à tribord, le mélange des corps
En sueur après tous ces efforts, qu’ensuite tu dors,
Car demain faut encore bosser, trimer, et ne pas changer de décors
Ensuite je suis rentré, je ne peux pas passer ma vie dehors,
J’ai un métier, disons que j’avais, bref, je suis occupé,
Full-time sur le clavier, ou le nez à respiré, ce que ma femme à mijoté
Puis aussi rêver, car quand tu as le temps, faut pas se priver.
Il se dit que, ceux, qui branlent plus rien, et ben,
Ils vont dehors, ouvrent leurs oreilles, rentrent, baillent aux corneilles,
Supputent sur les besoins, analysent les destins, se mêlent de tout et de rien,
Moi je vous le dis, c’est surement vrai, mais n’omettez, ce que je vous ai dis sur, Dehors
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Bravo nouga,il fait bon Dehors....enfin moi je dis vite le printemps pcq aujourd hui,dehors ça caille!!!
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Bien vu.
Dehors, il y a la vie, il y a la mort.
Il y a l'envie, il y a le refus.
Il y a les amoureux sur les bancs publics, il y a les bagarres à la sortie des bars et des boites.
Il y a le chaud, il y a le froid.
Tout est dehors.
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bon texte et bonne réponse de Itess
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je te dis bravo , enfile mon manteau et vais faire un tour dehors
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en effet dehors c'est la merde ...
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ITESS a écrit:
Bien vu.
Dehors, il y a la vie, il y a la mort.
Il y a l'envie, il y a le refus.
Il y a les amoureux sur les bancs publics, il y a les bagarres à la sortie des bars et des boites.
Il y a le chaud, il y a le froid.
Tout est dehors.
j'adhère a fond! "Tout est dehors"
Bon texte. J'aime le sujet, et beaucoup la première strophe qui l'annonce... bien vu nouga
Dernière modification par écriturienne (11-02-2012 18:40:09)
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quand vous irait dehors, soyez vigilant, la vie reserve de drole de surprises
merci a vous
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