Forum Grand Corps Malade et slam

Bon aller, je me lance et vous balance un textes que j'ai écris cette été.


Ils mon libéré de ma cage, se sont pris pour des toréadors
Pourtant je n’avais pas encore l’âge, d’être une chercheuse d’or
Sans choix je suis parvenue dans l’arène, pour faire face a mon adversaire
Il mon d’abord traité en reine, néanmoins j’ai été sincère
J’ai ensuite cru a une blague, la ou j’aurais préféré la boite de pandore
Faut dire aussi qu’ils sont un peu schizophrène, c’est la leur seul nécessaire

Ainsi un soir j’ai évité leur cape rouge, pour pouvoir prendre le large
Et la bien sur ils ont vue rouge, j’aurais aimé percevoir leur rage
J’ai claqué la porte de leur terrain de jeux, sans adresser un seul au revoir
Ils mon foudroyer pour antijeu, se qui signifiait la fin des déboires
Or il fallu que je bouge, pour que mon existence ne sois pas un mirage
C’était également histoire d’aller mieux, que j’ai quitté l’arène en foire

Ils mon fait marché sur le sable, on danser avec le diable
Comme un toréador sont impitoyable, alors comment les trouver agréable
Leur pensé son inqualifiable, leur présence intenable

Ensuite ils sont passés au jet de pierre, j’étais la fille à sacrifier
Elles se transformaient en des meurtrières, tous sa pour me purifier
Elles sont devenues accros à la corrida, tel était leur drogue au quotidien
En un revers j’ai refusé d’être leur candidat, je préférais encore les acariens
J’oublie alors ma vie d’hier, de ma biographie je veux rectifier le passer
Je n’ai jamais été le bon petit soldat, mais de mon avenir je suis le gardien

Elles ont voulu signifier ma mise a mort, a plusieurs repris me lancer des épées
Mais comment leur faire comprendre qu’il on eu tord, que je ne me laisserais pas bafouer
Que dans leur arène gigantesque, au finale désarmé ils ne valent pas grand-chose
Leur vie reste belle et bien cauchemardesque, en spectateur j’assisterais à l’apothéose
De la fin du règne d’un matador, dont j’en sortirais surement rescapée
C’est histoire en est presque polaresque, mais je ne pouvais la laisser close

Ils mon fait marché sur le sable, on danser avec le diable
Comme un toréador sont impitoyable, alors comment les trouver agréable
Leur pensé son inqualifiable, leur présence intenable
Mais la foule d’un jugement incroyable, à arbitré la fin du combat non loyale
Et a alors préféré être qualifié de fuyard, que de continuer à danser avec le diable