Forum Grand Corps Malade et slam

Ceci n'est que la suite logique du premier Slam !
Quatre Slam vous seront exposer : Un début, un milieu , un réveil, une fin.
C'est une histoire qui aura durer 1 mois, tout ce qui a été écrit a été vécu intensément.
Maintenant, je le suis mais sans dire un mot, tout est vecu intérieurement, comme je lui ais dit :

Je te garderai sur ce pied d'estalle, te comtemplerai en silence, prendrai de tes nouvelles et te laisserai vivre !

Elle m'a demandé ce matin même d'arrêter de lui écrire des textes !

Voilà je voulai partager ce moment avec vous, car je ne peux en parler à personne.


                SOMPTUEUX MIRAGE

Les cieux, ont en décidés autrement, mais quelques fois
Je me sens pousser des ailes, pour atteindre l’Olympe
De fustiger cette réalité, la mienne, en la pointant du doigt
Postant ma démission, à cette vie, qui me rend dingue

Un peu sourire, beaucoup câline, délicieuse, franchement
Savourant, le velours de sa voix, en attendant peu être
Une caresse, qui m’enverrai jusqu’au firmament
Celui, d’un nouvel être, que je verrai naître

Rarissime, comme la perle noir des mers du sud
T’es ma barrière de corails, mon lagon
Mon apesanteur, qui m’évite le vide
Cette plongée sans fin, un véritable don

Ce qui est fabuleux, c’est comment tu prends place
Dans ce losange vide, mort qui est mon cœur
Comme ces paroles, qui recherchent une musique, une trace
Pour qu’enfin, mon être, puisse oublier ses peurs

Depuis qu’elle habite mes souvenirs, mon univers
Mon sommeil est plus doux, plus calme, humain
Dans ses histoires, je me construis une sphère
Un cosmos, en trois dimensions, un conte divin

Rarissime, comme la perle noir des mers du sud
T’es ma barrière de corails, mon lagon
Mon apesanteur, qui m’évite le vide
Cette plongée sans fin, un véritable don

Si t’était un songe, je rétorquerai alors
Prunelle, Prunelle, dit moi qui est la plus belle
Mon miroir dira, simplement, por favor
Est-ce que ton soleil est brillant dans mon ciel !

Les yeux ne diront jamais, qu’est ce que la beauté
C’est un cœur, qui est seul maître à bord
C’est lui qui voit, dit, et susurre, des vérités
D’un voilier, nommer Prunelle, bientôt dans mon port.

Rarissime, comme la perle noir des mers du sud
T’es ma barrière de corails, mon lagon
Mon apesanteur, qui m’évite le vide
Cette plongée sans fin, un véritable don

Je t’attend, mon port de toi, s’ennuie !
Viens mouiller l’encre de ma Vie….