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chère été tu nous a quittée
délaissée pour tes vacances d'été
tu nous as laissée a l'automne
je pense vraiment que tu déconnes
fini les rayons de soleil
culottes-mini à la poubelle
a cause des températures qui baissent,
des après-midi chaud qui cessent
grâce toi, un manteau a chaque sortie
gare a toi, si jamais mon lit se flétri
car, je rallongerais mes nuits
la fraicheur ayant atteint mon corps et mon esprit
il sera difficile de se lever de mon lit
dans quelque mois, les gens a coté de moi
deviendrons des ninjas ( lol ), recouvert de haut en bas
des précautions pour combattre le froid
impliquant l'empressement de rentrer chez soi
pour retrouver la bienfaisance de son chauffage.
<< on n'est jamais mieux que chez soi>> disait l'adage
la courtoisie dans les rues est comme devant un barrage:
il n'y a plus de place pour les politesses,
comme en reflètent les visages
mais au moins pendant l'hiver, il y a la neige
les paysages blanc, comme dans les rêves
il y a les cheminées qui ne demandent que du feu
les bras de ta copine, ou ses... qui attendent depuis peu
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C'est très souriant! j'aime beaucoup!
bon à part le passage où la courtoisie a disparu ...ça m'étonne des québécois, mais c'est vrai qu'ils donvent être préssés de rentrer chez eux et les bras de leur copine
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agréable à lire, bien sympa ca, merci
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Léger et sympa ce texte (et il est vrai d'actualité, Grrrrrrrrrr!)
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