Forum Grand Corps Malade et slam

Ça ressemble au désir d’une passion consumée, un mal-être existentiel qui nous pousse à assumer, un quotidien  fragile qui nous amène à constater, que la vie est éphémère et souvent déterminée.

Ça ressemble à la société, celle que nous construisons, où le diable en personne habite la raison. Il nous reste un peu d’espoir,  une lueur à l’horizon, car la force est le savoir et chaque texte a ses passions.

Ça ressemble à l’envie, de toucher le système, de la paralyser ou bien de briser ses chaînes.

Ça ressemble à une part, de mon inconscient, cet enfant qui joue, avec la mort impunément.

Ça ressemble à un homme touché, par la fatalité, mais qui par cette évidence, a fini par m’emporter.

Ça ressemble à Grand Corps Malade, un homme des plus doués, mais j’ignore de le savoir, car j’ai le droit de m’exprimer.

Reste à trouver une mélodie, pour donner âme au slam, que ta vie soit longue et brise enfin mes larmes.