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Lorsque la Méliaduse se teinte de colchiques,
Lorsque tes peurs blessées distillent sur tes mots,
Leurs couleurs lointaines aux reflets métalliques
Et que tu te refermes comme une lame d’eau ;
Je vois tes profondeurs aux portes verrouillées
Pourfendre la chaleur de tes regards noyés,
Et ton coeur se briser au large d’une houle
Où s'hérissent des lances amenuisant ton souffle ;
Je vois tous tes combats accoucher de lumières
Comme tombent les étoiles des orbes planétaires
Et sous tes horizons embués d’Avenir
Ton ciel vagabond prisonnier d’un saphir
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Dernière modification par Ficelle (26-05-2010 23:48:34)
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Très belle poésie!!
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C'est joli et assez envoutant, tout en ne s'offrant pas à la première lecture
(pardon, je n'arrive pas à exprimer ce que je ressens)
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nicole a écrit:
C'est joli et assez envoutant, tout en ne s'offrant pas à la première lecture
(pardon, je n'arrive pas à exprimer ce que je ressens)
Merci Nicole !
C'est bien normal ce que tu dis car "Méliaduse" par exemple est un prénom donc ici ça ne veut pas dire grand chose !
Mais je me suis fait plaisir...
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t'as bien raison toujours ce faire plaisir
ton texte ce lis bien et les portes verroillées se sont ouvertes
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