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Après la cité, quand tu t’en es échappé
Bien des années après, garde ton affection
Seule façon de ne rien oublier
De ces moments, où la vie ressemblait
Aux plats de nouilles que l’ont mangeaient
Aspirées, ont étés très pressées
Chacun de vouloir voir de l’autre côté
Savoir si l’avenir pouvait nous convenir
Pour beaucoup d’entre nous c’est la zon zon
Que l’on a connu en premier
La destinée celle qui allait changée
Nos vies mal entamées, à reconstruire
En formations bidons, des lendemains
Qui nous voyaient sur les plages
Au soleil farnientant, matant le cul des filles,
En se disant laquelle pour mon serin
Avec qui partageait un coin plus loin
Hors des bleus qui ne laissent jamais tomber
C’est sur faut s’accrocher être motiver
Sinon plonger et si vite arrivait
Alors tu serre les dents, tu n’as pas trop de temps
Et c’est parti tu bosses pour ta nouvelle vie
Si t’oublie pas, tu ne te retournes pas
Sillons après sillons, tu récolte ta moisson
Et ton sourire, c’est dans celui de l’enfant
Qui est le tien, qui change ton fusil
Contre ton courage a deux mains
Ta fierté de côté, tu vois enfin la fin
Bien des années après avec les potes
Ont reparlent de cette vie qui a passée
Rien oublié, notre histoire en nous tatouée
Dernière modification par nouga (05-07-2009 20:42:55)
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G'day Nouga,
Yep, j'ai mis le feu aux poudres en parlant de cités.
C'est sûrement parce que je n'avais rien d'autre à bruler, comme tu le dis si bien :
son histoire nous est gravée, dès lors qu'on la quitte pour d'autres cités (villes, dans son organisation administrative)
See You,
Hooroo,
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