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Les cités, déjà en soixante existaient
Des blocs alignés sans aucun gout
Des gens entassés, sans le sou
Un regard des gens comme au zoo
Entre nous c’était solidarité
Ont riaient de leurs tronches
Avec leurs habits bien proprets
La discrimination processus engendrée
Exclure était la façon
Celle qu’ils avaient trouvée pour nous ghettoïsés
Alors pour se venger
A coups de haine on cassait tout
Leur dire a ces enculés
Que leurs bâtisses de merde
Ils n’avaient qu’a les habitées
Rien n’est nouveau sous le soleil
De cités galères en cités poubelles
Car avant tout faut reformer
Les mentalités, les conditions
Naitre dans ce merdier, isolé
Rendes les solutions pour exister
Plus dures que si t’es né dans les beaux quartiers
Alors quand je vois
Presque cinquante piges après
Que rien ne change, rien ne bouge
Qu’ils sont toujours obligés
De se faire remarquer, la violence à redoublée
D’autres peuples sont arrivés
La rage aussi en eux accumulé
Ne faut pas s’étonner que cette inégalité
Par tous les côtés doit être évacué
Et qu’on ne vienne pas me branché
Me les gonflaient sur la connaissance des clichés
Cités j’ai donné, j’ai rien oublié
Même si aujourd’hui j’en suis parti
J’ai toujours des potes pour la vie
Dernière modification par nouga (05-07-2009 14:37:32)
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sache que je viens d une cite ça ne m a jamais posée de problème vers chez nous il les ont détruit ces immeubles pour les remplacer par des pavillons mais es ce vraiment ça qui résoudra le problème de la violence j en doute
moi petite je l ai aimer ma cite
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moi aussi j'ai aimé la mienne
elle s'appelait LA SAUVAGERE A MARSEILLE
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Des vrais amis on peut en justement en avoir dans des endroits difficiles.
Moi je n'ai pas habité dans une cité, mais par contre j'avais une amie qui y habitait. Elle fait et fera (du moins j'espère) toujours partie de ma vie.
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