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accablant d'un coup de pâleur, d'un coup incommunicable,
la royauté des épreuves, la senteur de l'impalpable
communiquaient des sèves, provoquaient des rêves.
dans ma silhouette plombée, mon front se relève,
et ne regarde que l'incision, l'affliction des images
qui perçaient mon esprit avec le pieu expié des âges.
jeune pourtant, mes entrailles suffoquent
à se nourrir d'une date où le printemps reste équivoque;
mes entrailles sont une dureté qui empoigne,
le grave qui me relave la douleur et la soigne,
dans une montagne dont le sommet est frère de tourments,
dans une forêt où la verdure et le gris sont amants.
accablant d'un coup de deuil, d'un coup somnambule,
la royauté des épreuves me couronne avec une bulle
originaire des eaux où les vagues interrogent
les profondeurs qui m'ont légué les forges,
où se brûle ma volonté voulant rechercher
la chaleur dans des personnes qui chevauchaient
avec un cheval menant jusqu'aux confins
de mes maux, de ma souffrance où je n'es plus de teint,
mais une couleur qui frôlait l'art des ténèbres,
et le son où mon oreille se transforme en automne des herbes.
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souffrir c'est endurer
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absolument nouga.
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