Vous n'êtes pas identifié.
Si cette nuit tu change d’avis, que tu dis oui,
Mon corps sera en harmonie prêt à cette chorégraphie qui nous unis.
Si cette nuit nous avons jouis sans répit jusqu’a l’oubli,
Le plaisir si tu en as pris,
Pour longtemps nous serons épanouis.
L’amour je crois celui physique que l’on fait sur un air de musique
Fait en sorte, que l’endroit ne compte pas,
Seul toi et moi on ne pense qu’à ça.
Cette sexualité exacerbée nous permet d’extérioriser
La soif charnelle du male et la femelle.
L’amour me direz vous, bien sur il peut être au rendez vous,
Rien n’empêche sentiment et désir fou,
Faire ensemble le parcours celui ou on se dit c’est pour toujours.
Mais quand on parle sexe uniquement
Beaucoup trouve dérangeant d’avoir le comportement
Celui ou égoïstement tu calme seulement tes ardeurs,
Si d’amour il n’en est point que c’est sans lendemain
Profitez de ces instants qui font de vous les gagnants
Décomplexés de rajouter une histoire qui n’aurait rien donnée.
Je veux avant tout sans hypocrisie
Dire que l’on peut avoir à tout moment
Une attirance sans pour autant dramatiser
Le fait de coucher pour baiser sans aimer,
A priori qui nuit, faut’ il un alibi
Justifier en somme ce que nous sommes
Mammifères, nés pour aimer à satiété,
Si le cœur est absent ce n’est pas pour autant
Que l’on doit faire semblant d’ignorer
La flamme qui en un instant allumera nos sens.
Faire l’apologie du sexe en liberté,
Libéré des carcans d’un puritanisme exacerbé
Ce n’est pas prôné de baiser pour baiser
De le faire parce que c’est tendance
Que c’est sans importance,
Non c’est juste se dire que l’amour avant de le trouver
Le vrai celui qui te semblera durer pour l’éternité
Ne fait pas de nous des êtres asexués
Notre vie la notre celle qui nous est propre
Ne doit en aucun cas être salie par des injures,
Des parjures, dites vous bien que votre corps
Pour vous c’est de l’or
Ces carats ne sont pas prêts a être dévaluer
Que le brillant, jamais s’en est allé.
Demain si le hasard d’un regard
Vous invite à vous émouvoir
Qu’il procure ce frisson un rien polisson,
Envolez vous au dessus de tout soupçon
Sans vous posez de questions.
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Comme on s'envoie en l'air en ce moment sur le forum.
En tous cas, merci pour ton texte qui n'est pas aguicheur contrairement a ce que pouvait laisser présager le titre
Il est tout en delicatesse et finesse sans description de positions, sans pornograhie ou sans mots crus !!
Belle évocation des sens
Et oui le sexe fait partie de la vie au même titre que l'amour... Alors pourquoi jouer l'hypocrisie !
Dernière modification par petite_fille (10-06-2009 13:18:34)
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je ne sais trop comment répondre. le titre aguicheur m'a interpelé et le texte est bien loin de l'être.
alors plus que long discours voici deux textes
Nos âmes, nos coeurs, nos corps
Ma main tel le bateau ivre, glisse, brulante sur ta peau
À la recherche impossible d’un havre de paix
Y mettant la fougue d’une caresse de Sapho
Et la douceur d’une âme avide de paix.
Je me plonge dans les douces courbes de tes rondeurs
Comme si mon âme faisant fit des barrières
Cherchait à se noyer dans ton corps sans pudeur
Et se perdre sans pourvoir revenir en arrière.
La fièvre de ton corps, sous mes doigts agiles
Répond aux flammes de mon cœur
Qui explose de lames de joies fragiles
Emplie toujours et encore de tensions et sueur.
Perdu dans les atours de tes dômes
Je cherche encore ton âme en ton corps
Oubliant mon corps, mon âme et le monde
Comme si par la chair nos cœurs prenaient corps
Sur ta peau érectile, ou passe sans cesses
Le fluide de nos vies, je vais et je viens
Pour leur rôle tactile, de lasses caresses
Donnant sans avis, l’âme de mon dessin.
Le cœur perdu, dans la chaleur humide
Comme si mon corps faisait fit des barrières
Cherchait à rencontrer ton âme encore lucide
Pour se perdre et revenir en arrière.
Sous la paume de mes mains, à l’arc de tes reins
En pleine exploration ma bouche rencontre tes lèvres,
Alors ton ventre s’enflamme, et se dressent tes seins
Par les pores de ma peau, mon corps croit ton âme en fièvre
Ivre de sens, ivre de ton cœur, je repars à l’assaut
Glissé dans ton antre, érigé de ton corps
J’en oublis tous nos mœurs, jusqu’à l’ultime sursaut
Qui me laisse sur ton ventre, épuisé plus encore.
Je m’allonge dans les douces courbes de tes rondeurs
Comme si mon âme faisant fit des barrières
Cherchait à se noyer dans ton corps sans pudeur
Et ne songe plus à de possibles retours arrière
Nos amours
C'est encore pleinement ivre de sens
Que je plonge en toi pour
Y puiser mon essence
Jusqu'à en repaître mon âme
A aiguiser notre amour
Tel le tranchant d'une larme.
J'y délecte toujours nos corps
Sans retenue, sans détour
Pour trouver le parfait accord
Et me laisser enfin porter
Par tout cet amour
Que tu sais si bien m'apporter
Du plus profond de ton âme
Je remonte tous ses atours
A en hérisser ta peau calme
Et te porter vers ces sommets
Que de tout mon amour
Je mets simplement à ta portée
Ensemble nous formons un tout
Qui nous emporte pour
Un voyage au-delà de tout
Nous laisse tendrement épuisés
Dans le cercle de l'amour
Avec ce parfum d'éternité
J'en oublie alors nos corps
Jusqu'à nos âmes pour
De tous nos sens exploser encore
Et me retrouver enfin en toi
A porter tous les amours
Et te sentir enfin en moi.
a+JYT
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Messieurs, vous êtes de doux poètes ... merci
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Merci petite fille
bises
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