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Il y a des heures qui s’étirent en longueur
Rasant la terreur et qui frisent la fureur,
D’autres plus dures, à travers le temps qui perdurent
Que l’on ne retient plus et qui changent d’allure.
On se demande comment garder son âme d’enfant,
Se ralliant aux gens, esprits bien veillant,
Ou même comment avancer sans s’auto aliter,
On continue d’espérer que tout ça va changer.
Il ya des jours, que l’on voit alentours
Et chacun leur tour nous exploite par l’amour,
D’autres plus méfiants, d’un mal vérolant
Qui reculent en avant, nous entraînent au Néant.
Prince Aurore nous endort, quelle belle métaphore,
Il nous couvre de son corps, nous chante en ténor.
C’est un chant si léger, et sa belle peau de lait
Nous dit que tout va passer, alors on se laisse aller.
Il y a des nuits, qui à la fin de nos vies
Ce font simple oubli, et puis on en rit.
Et il y a ces jours, profusion de l’amour
Où les heures de toujours résonnent en bruit sourd.
Conseil de détresse ou bien aide, SOS,
Il ne s’agit de faiblesse, que lorsqu’on se laisse.
On doit se forcer à aimer, ce que la vie veut nous donner,
Ne pas se laisser aller, continuer le combat, et gagner.
Shira **
(au fait la photo est de moi, alors pas touch' )
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halala jte reconnaitrais a des kilometres toujours aussi fine toujours aussi merveilleuse dans l'écriture !!!!
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..et gagner!
Quel titre!!! et quel couleur pour ce poeme! ça fait plaisir à lire
(et quelle magnifique photo! est ce chez toi??)
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Shira a écrit:
Prise par ma fenêtre .... magnifique couché de Soleil n'ets ce pas?!
Magnifique
L'instant où le soleil bascule est toujours émouvant...
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Je suis d'accord avec toi. Chaque soir j'attends le couché de Soleil pour fermer mes volets, selon les soirs, ce spectacles mérite une photo.
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