Forum Grand Corps Malade et slam

slam jam de hurlante nova


voilà le mp3

http://blip.tv/file/get/107ans-resampled372.mp3

et le texte !

Champignons de Gascogne,
Mésange hivernale,
rose du Vestibule,
Chien de Cayenne.

Il est une femme qui immerge des sources liquide, branle bat de combat, si elle m'ignore je la mange saignante, rugueux comme une plume, son corps n'abrite que des corps étranglé, jouis avant de mourir.
Coma sincère d'os, elle ne t'aime pas la grâce, riche d'avoir martyrisé les esclavagistes, riche d'avoir déchiré le vagin maternel de ma tête curieuse, prêtez moi l'argent du proxénète qui vous sert d'oncle, je vous prêterai Hamlet glisse sur sur sein, et si les vérité sont niaises, que l'échangisme m'apaise, Sade de bain, devenons des Élans qu'une foret rafraîchit et c'est pur climat.
Si vous ne m'aimez pas je vous coupe une jambe, au dessert du vagin !
Regardez la tour de Piz, endormez vous de cerise, regain d'élèctrolise.

Pourquois taire l'hideux, que renaissent mes biches, sans mensonge de sirop, sans groseille, sans ultime sanglot, bel ange, rose et bien plus encore, il ne vous aime pas, il vous ment, vous connaissez le jeu, enseignez moi l'aveu.
S'entrelace les plumes aux barbelé de velours.

Même le bleu explose les yeux,
les cheminé me rende triste,
le carré sombre des fenêtre ne semble pas dissimulé l'humain,
une programmation maçonnique verticale,
le sol multiniveau des promeneur de synthèse alimente la bambinade,
du verre,
mon portait enfermé par moi même,
le dream catcheur du Chaman de ma soeur,
je me gratte la tête,
même chauve, j'ai des pélicules,
l'insignifiante table,
le clavier,
le cube lumineux pour mouche dansante aux réverbère nocturne,
Mon compte,
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kedesmo,
hurlantenova,
norac,
49 invités en ligne,
aucun doute,
je suis définitivement seul,
inutile,
suicide de danse,
qu'elle danse seul,
la montagne pleur,
les rivières s'impatientent,
les poissons cherchent l'hameçon des culpabilités,
Mozart, Jobim, Delerue, la litière des chats changée,
castré,
le ventre à faim,
la tête se vide,
la machine voit fuir l'âme,
et l'âme enrage.

Mensonge en grande pompe.

Elle est agaçante de bêtise,
légère comme une mode de sucette tendance,
brûlante comme la femme méduse du volcan d'orgie,
fraîche comme mon oeil quand il fait trop chaud,
une belle vieillarde,
jusqu'en sécheresse,
elle restera belle.

Elle décapsule les vieux Du con,
Les pères Machins,
et les voyou se taise,
c'est là la particularité d'un coeur humain,
il se rétracte jusqu'à l'explosion.

Elle taquine le meurtri,
histoire de dire : trop bas, trop petit, trop niais, trop con.

Et la rage sanglante des carnivore subit l'algue des ruses d'autrefois, qu'une cigogne pêche sur mont d'écorce traquant une belle pseudotique.

Rien à offrir, payer la combinaison de ski,
rien à vendre non plus.

Elle gambade mimant les Koalas dodue,
Et devant le triangle de son fleuve jolie,
une poussette pour enfant abrite mille fleur exotique,
les couloir sanglant du métro font profil bas,
le diable est discret, seul quelque ivrogne rient.

La nation n'a pas à revivre,
resplendissant jusqu'à l'abîme.

Tout le monde la traque,
c'est ce qu'elle croit,
silence monstre,
je ne pourrait pas vous tuer,
ma vengeance sera de vous laisser là,
Mort parmi les vivants.

A en pleuré.
J'irais rire avec ceux qui marierons Marie Rose !

Il est midi ce soir,
et les poules sont couché,
il contemple avec ravissement,
ayant jeté ses yeux au bois de boullabesse,
vierge,
ou encore d'aimer ceux qui nous méprise.

L'ami d'enfance vend du vin,
supposons que l'autre père est en prison,
traquant le populaire dans les bars,
maillot de corps moulant cherchant TV star,
mais l'oiseau qui n'a qu'une aile,
ne connaîtra pas,
Yanis aux doigt parfait.

Victoire au 347 étage des ascensions,
ils s'acharnent en lol nouveau,
encore et encore : c'est déjà de l'ancien Latin.
Les oligos Luminescent.
Lune Outrage Laminé.
Les Orobos latent.
L'onde livre.

Irene Vie Triste.
Mon poste radiophonique "Hardie sons" multiplie l'over dose Télévisuel,
car son fils sera riche,
du bois précieux,
d'huile coloré,
du monde s'écroulant vers l'absinthe régénérante,
cadeau.

Elle pleur les ruptures et les ruptures demandent,
que le prochain amant soit glissant,
je veux dire en cela,
fuyard, sans aimant.

Elle cogne son sang contre l'atome solide,
la chair s'arrache et le danseur long,
aux cheveux si solide,
s'effondre en prison.

Rendez lui son vide,
videz lui son rang.
Que la solitaire chinoise,
peuple l'aube et l'ardoise.

Ombre de ma vie, mon platane, excision cérébrale,
tu as crée l'imperfection, de tes sublime accords,
avec le diable, les anges et ma mort,
vivre ressemble à la glissade,
je serais dictateur !

Ta beauté recrache la bile,
c'est en Suède qu'un idiot,
Alimente la cheminé.

Le Cerf roi, le lion mignon, tout cela, est atroce.

Le monde brûle, je cajolerai la friche, réincarnant chacune de mes défaites.

L'or véritable ment,
Le zénith à les jambes cassé,
les grenouilles sont sèches.

Et puis pour le nouvel été,
j'ai toujours ce vieux pull plouc,
le nez gras rougissant,
le miroir des mensonges,
garde la neige et l'infernale chute lisse.

Je vie, d'une vie d'embuscade,
je vois ses soucis qu'elle dissimule,
L'aurore des joutes,
elle apparaît sans matrice active,
grésillement du vouloir.

J'ai tué mon chat pour que sa litière,
de toute façon c'est un pitre,
l'oiseau neuf s'envolant.

Quand aux marquises,
Exquise glaçonne,
mon homme est garçonne.

Un peuple de vide.
Une académie terrain vague.
Mais, jamais, jamais, avec méchanceté,
pour le cliquetis,
l'index démange.

La plume est morte,
reste la chine.

Dernière modification par hurlantenova (30-11-2008 05:29:50)