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Tonnerre de Brest, merci Thanalie ! Quand j'étais en train d'écrire, je me disais que Haddock me serait bien utile, et je n'ai meme pas pensé à ce juron là pour le T !!
Bien, ton petit texte !
Merci pour les petites bêtes
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v'là un effort de la Loudéacienne,
biz ma grande
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au chant du coq, l'absent à toujours tort
du moins en apparence, sinon il pourrait ruminer, au lieu de chanter
du bel canto, par exemple, dans un théâtre antique
mais souvent, l'absent, perd sa place
on dit alors, que même la plus jolie poupée, n'y peut rien
voila comment la rumeur se répand
aussi en attendant
ne ruminer jamais, chanter , car la vie est courte
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J'adore !
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Chapeau Nouga....
En quelques mots, tu n'as pas ton pareil pour créer et nous faire découvrir
des univers sensibles....
J'adore...ta morale
Là encore, La Fontaine n'est pas loin....
De très très z-affectueux poutoux z- à toi et aux tiens de nous Neuf, Solitaires Brestoises ....
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Je me joints aux autres, tes mots font encore mouche.
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Hier, acrostiche avec "vacances"
puis texte avec les mots imposés: forêt, pleurer, amoureusement, créer, emberlificoter, comte, cuisine, perce-neige, et au choix guerre ou joli, selon l'humeur de chacun
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Vacuité des journées
Agréablement installé dans un hamac
Cocoonant sa flemme
A l'ombre marbrée d'un platane
Nageant dans le bonheur de ne rien faire
Créant pour soi même un moment serein
Effleurant l'idée de rester toujours ici,
Sous le soleil !
La forêt sans fin était noire et triste, la neige avait fondu et tout était boueux.
S'en revenant de guerre, le pauvre comte marchait lentement à côté de son fidèle destrier.
Il avait froid et faim, et il était tout près de pleurer de désespoir en pensant à l'immense et chaleureuse cuisine de son château dont la cheminée était si vaste qu'on pouvait y faire cuire un boeuf entier ! Il salivait en pensant presque amoureusement à ces jours de festins, à la peau craquante et juteuse des volailles gonflées de truffes, à leur parfum enivrant, aux plats somptueux, aux rôtis gourmands, aux gâteaux merveilleux que son cuisinier créait spécialement pour les fêtes qu'il donnait jadis... Et les vins de toutes teintes dans les verres de cristal ! l'argenterie étincelante ! les tables chargées de mets ! les flambeaux au mur, les robes et les costumes de brocart, tout le décor et la magnificence de sa splendeur passée !
Se mouchant et s'essuyant les yeux, il ne fit plus attention où il se trouvait, et, s'emberlificotant les pieds dans les rênes de son cheval, tomba de tout son long dans la boue glacée.
Ce brutal retour à la triste réalité le prit par surprise et l'acheva tant qu'il voulu rester là, sans bouger jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Mais il ouvrit tout de même les yeux pour jeter un dernier regard au monde qu'il quittait, et se trouva nez à nez avec un gracile perce-neige...
Que cette petite fleur arrive à fleurir au coeur de l'hiver lui donna un peu de courage.
Péniblement, il se releva.
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ah bravo Nicole des vacances farniente
et une histoire d'avant
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Merci Nouga, j'étais sûre que les vacances te parleraient
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Vercingétorix
Aurait aimé
Certainement
Avait-il le temps d’en prendre
Nonobstant les combats
C’est pas sûr du tout
et puis vient Alésia
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et après, plus de vacances pour lui, en effet ..
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Coucou Nicole et Nouga!
Tu as vraiment essayé le hamac Nicole?
Haut en couleurs ton comte! On dirait que tu y étais.
Et fallait Nouga pour penser dans ce contexte de vacances à ce personnage historique.
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Vacances reposantes !
Et quelle histoire ce comte !
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Merci Sylvie, et pour tes pensées aussi. Pour l'instant, je dois être chez ma mère pour m'occuper d'elle, alors pas d'atelier pour moi avant quelque temps.
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Je suis de retour pour voir ma mère qu'il faut mettre cet après midi en unité protégée car hier elle a été trouvée dehors assise par terre devant le portail (tombée ?) sans que personne ne l'ait vue passer, mais j'ai eu le temps d'aller à l'atelier de mardi soir chez moi.
On n'était que 2, mais on a bien écrit.
On a pris la 1ere strophe de Victor Hugo pour y entrelarder des vers de notre cru, puis un texte avec des mots imposés, puis le jeu du dictionnaire (qui est à l'abandon sur le forum, hélas)
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne
A l'heure où le monde s'éveille et chasse la nuit
Quand le matin tout neuf garde l'espoir intact
Et la force encore pleine du jour en devenir
Je partirai, vois-tu, je sais que tu m'attends
Je ne tarderai pas, je prendrai mon élan
Pour m'en aller vers toi faire ce voyage intense
Vers l'avenir commun que tu m'avais promis
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne
Par les chemins perdus et les sentes fleuries
Par les grands bois profonds et les plaines fécondes
Les paysages doux du pays qu'on adore
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps
Je viendrai doucement vers ton sourire heureux
Me projetant déjà vers tes bras larges ouverts
Je m'y plongerais bien jusqu'à la fin des temps
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Cloche, forêt, vague, monde, choisir, créer, sud, course
En plein milieu du monde des Prols, entre les montagnes et les grandes plaines, il y avait une forêt obscure et profonde.
Les habitants de la contrée n'aimaient pas trop s'y aventurer, ils choisissaient plutôt le chemin du Sud, qui contournaient la forêt en passant par quelque collines fleuries agrémentées de prés où paissaient de jolies vaches tranquilles faisant doucement tinter leur cloche.
Ce chemin paresseux s'étirait vers la ville, et convenait quand on n'était pas pressé.
Mais quand c'était la course et que le temps était compté, il fallait bien s'y résoudre, et rassembler son courage pour s'avancer dans la petite sente entre les immenses arbres.
Même les plus courageux se sentaient pris d'une vague crainte..
Qui sait ce qui pouvait surgir soudain de l'ombre épaisse ? Quelle bête sauvage ?
Quel démon ? Quel fantôme ?
Oui, même les plus courageux, même ceux qui en riaient en public, même ceux qui étaient conscients de se créer des cauchemars de toutes pièces, même les goguenards, tous, avaient peur tout au fond d'eux.
Et c'est ainsi que tout le monde prenait le bien plus long mais paisible chemin du sud.
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Dormir = rêve lointain en ce moment, rêve inaccessible
Cerf-volant = faux symbole de la liberté, car soumis au vent et à la main qui le retient
Mode = Curieux concept qui fait que celui qui est à sa pointe un jour risque de se trouver has been le lendemain
Golf = Sport snob consistant à se vriller le dos afin de mettre de petites balles blanches au fond d'un petit trou
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en grande forme Nicole , victor Hugo doit bien aimer cette façon de dire a sa fille que l'on pense toujours à elle
puis le conte , dont tu deviens l'égérie du forum
et enfin, et la je sens bien que le golf n'est pas pour toi sauf si tu t'y promènes le long mais sans dormir bien sûr, car la mode serait plutôt a s'y prélasser, mais sans cerfs-volants
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Merci Nouga
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+1avec nouga, j'aime beaucoup le poème
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Nicole, ton poème et ton conte sont magnifiques.
Ton poème, je l'ai vécu tout le long de sa lecture et je me suis sentie bien dans ces bras larges ouverts...
Merci pour ce moment
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C'est très gentil, merci
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De la douceur, une ambiance inquiétante, un regard sur le monde et en toi à travers les mots du dico, tout te va.
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Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne
j’hésiterai entre la portion congrue
ou l’envie d’en découdre
va savoir
Je partirai, vois-tu, je sais que tu m'attends
je garde en mémoire l’insulte du temps
quand ma vie me disait d’essayer encore
la meilleure façon de marcher
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne
le regard a l’affût du moindre souffle de vent
le cœur léger, certes, mais déterminé
comme au premier jour
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps
voila bien le dilemme, comme si
un rendez vous manqué serait
la mort en option,
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un grand bravo, j'aime beaucoup !!
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Oui c'est une bonne idée cet entrelacement de vers, vous avez fort bien réussi tous les deux !
Mais moi je n'ai rien vu qui se rapporte à la fille de Nicole...
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