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Nous sommes dans la rue,
Avec l'espoir d'une évolution
Tout en étant en ébullition
Le peuple veut l'abolition
L'abandon par le pouvoir des conditions
Ras-le-bol d'avoir King-Kong qui, depuis le fond
Guette chaque appel à la révolution
Prêt à tout détruire à la vitesse du son
Quel que soit le camp, stop à la violence
Avec elle, à part détruire nos chances
On n'arrivera pas à faire grand chose
La communication par la prose
Ouvre à la communication
Sans passer pour des cons
Balancer la vérité
Plutôt que des méchancetés
Permettra de faire bouger la réalité
Faire du bon son
Qui dégueule d'émotions
Au lieu de laisser place à la destruction
C'est le meilleur moyen de communication
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Il y a trop de choses à faire bouger. Une utopie ne reste qu'un rêve.
Je crois qu'une solution aiderait pas mal: aimer les gens. Beaucoup de problèmes ne serrait plus.
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Bien sûr aimer les gens, les écouter, les aider autant que faire se peut, agir où l'on peut, comme on peut, pour faire évoluer les choses.
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Oui Benny, beaucoup de choses à faire bouger mais on peut déjà en faire un peu à notre échelle (voir mon commentaire précédent) , et l'utopie fait vivre.
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Bravo BENNY joli texte, mais discuter de quoi et surtout parler avec qui ?
Parler avec qui quand un gouvernement se prend pour une cour divine ou le roi tout puissant couvre les plus riches de mesures pour qu"ils soient encore plus riches et les pauvres de dîme, cens, taille et gabelle, impôt seigneurial que cette monarchie inconstitutionnelle impose au peuple, les augmentant jusqu'au point de rupture.
Discuter de quoi quand on parie sa politique sur la théorie du ruissellement, qui n'a jamais ruisselé sur les petites gens.
Discuter de quoi quand les grands groupes sont comme les mers qui montent envahissant sous leurs eaux les terres où les manants vivent.
Discuter de quoi quand pour le peuple la vie se résume à la rivière qui est devenue ruisseau d'abord, où aujourd'hui seul un filet d'eau ne coule pour eux, quand l'oligarchie du pouvoir se voit abreuvé des fleuves dont les débits augmentent jour après jour.
Beaucoup de retraités sont dans la rue avec des gilets jaunes aujourd'hui, après une vie de travail sans avoir jamais manifestés avant, et plus rien n'est fait pour eux, car on les clament "riches", pour l'image, la propagande, mais combien ont vécu en location toute leur vie et n'ont eu jusqu'assez de leur salaire pour pouvoir élever leurs enfants correctement.
Beaucoup de travailleurs ont à peine de quoi vivre après avoir payé leur logement, et pourtant ils travaillent à temps pleins. Alors je n'aborderai même pas les travailleurs partiels courant d'intérim en intérim, ou les demandeurs d'emploi que la société aime à qualifier de "fainéants".
Pourtant en faisant leurs courses, c'est encore eux qui donnent le plus aux pauvres, avec des dons alimentaires qu'on ne déduit pas des impôts, car de vivre petitement, crois-moi, ça les connait...
Un jour en France, il y a eu une révolution.
Il faudrait juste qu'un jour nos politiciens actuels s'en souviennent, ça leur remettrait sûrement la tête sur leurs épaules !
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Si les politiques français se souvenaient qu'il y a eu une révolution, ils n'auraient pas la tête sur les épaules, ils n'en auraient plus, de tête ...
Superbe texte, la clef reste l'amour en effet...
Peace.
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Super 👍 texte surtout pour une première lecture il ya de quoi a dire dans ton sac👏👏👏👏
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