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Oui! Le premier, le 3eme et aussi le "HUM..."!!!
Ils me plaisent beaucoup!!!
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TOUCHE
MA BOUCHE
ET MORDS MON CORPS
DÉSIR
PLAISIRS
ATTENDS Là C’EST L’ESCALIER
SI TU CONTINUES JE VAIS TOMBER
PASSION
POISON
MOI, JE CONNAIS LA CHANSON
ILS SONT TOUS PAREILS LES GARçONS
DONNE
FRISSONNE
J’VAIS PAS ME LAISSER ALLER
A T’AIMER COMME çA EN PREMIER
PARDON
BIDONS
TANT DE DÉLICES ESSAYES
ET çA Y’EST, TU VEUX TE CASSER
PASSANT
SUIVANT
MOI AUSSI JE VAIS ÊTRE CRUELLE
AIME MOI, AIME MOI VRAIMENT
MAIS, METS DES GANTS
TOUCHES MA BOUCHE ET PRENDS MON CORPS,
MAIS OUBLIES MA VIE
Dernière modification par elle (23-05-2008 19:17:44)
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Caroline
Je t'ai rencontré un soir d'été, j'ai hésité à te gouter...
Le ciel sur moi s'assombrissait en imaginant les couleurs..
Psychodrame d'un temps écoulé, la liesse s'engraisse. ça y'est, c'est l'heure.
Ma conscience de finitude est devenue une habitude.
Ouvre Kant. Cherche son ventre. Aimes Descartes. Juste un prélude.
Quand je me suis penchée sur toi, tu étais blanche, inanimée.
J'ai ressenti cet émoi, là . Te prendre et ne plus te quitter.
Cette dose a été modèle, mortelle, absolument déterminée
à me faire comprendre l'essentiel : c'est comme la neige en été.
Pas de principe, pas de soupçons. Ouais, j'anticipe sur ma raison
Je veux sentir, renifler, être transportée et apprendre tes leçons.
Allez, j'y retourne. Un gramme de petites étoiles.
Je m'habitue à ton contact. Je deviens vive, je sens les voiles
Un monde inconnu se tend. Pas d'horizon, pas d'embouchure
Ce que je fais est capital. Pour ma vie... Pour notre futur.
Entre nous y'aura pas rupture. J't'aurai dans la tête c'est sur.
Elle, Elle, arrêtes ton délire ! Tu vois pas que tu pars en vrille ?
Caroline, t'es ma cousine, mon ami, ma mère, un peu ma fille
tu es tout et un peu rien. Pour toi, je me lève le matin
Alambic d'un désir, crépuscule d'une fin
Je t'ai toujours à portée de main. faut juste en avoir les moyens...
Tu me guides, tu me rassures. Tu me mets la dose. je suis mure...
Un jour, je sais que j'te dirai : vas y ! j'te quitte, tu m'as soulée.
sans démériter j't'aurais kiffé, mais parfois faut se rebiffer.
J'te laisserai là ... éparpillée... définitivement abandonnée
Je trouverai d'autres plaisirs, bien plus à ma mesure, j't'assure.
Arrêtes de faire ta crâneuse. Tu me nargues sans armure
Tu te déballes et tu t'étales. Tu te colles au miroir, sans fard.
Ma lame fait fondre tes cailloux. Mes dents claquent dans le noir
Je te prends sans réfléchir. Fléchir, tendre et se rassasier
Me résigner à la bavure, laisser couler le film imparfait
T'as obsédé plus d'un luron. Freud s'est consumé de passion
Ton monde m'interpelle, m'appelle et je ne sais pas dire non...
Cure de toi, poudre de rêves. Toujours dispo, jamais en grêve.
Mon cœur me dit de tout stopper, de toi, je ne prends que la sève.
Chasse au dragon ou pas, J'te lis parfois entre les lignes...
avant que ma vie se passe de moi, j'te quitte ma petite Caroline !
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Vu de ma fenêtre je vois la route,
y'a pas que du bien être aussi du doute
J'avance comme une dingue... Personne n'écoute
personne ne lis ces lignes ça je m'en doute
je file à cent à l'heure sur la p'tite route
J'accroche mes mains à mon volant
si tu gueules tu m'connais, tu descends
plus que quelques mètres avant le tournant
enfonces toi dans ton siège et serres les dents
regardes par la fenêtre, vomis pas d'dans
120 kilomètres heure j'ai plus le temps
de changer le rapport maintenant
serres les fesses et acquiesces... c'est indécent
j'ai du mal au gonnesses, mon coeur est plus lent.
J'appuie sur le champi moteur hurlant.
Vu de ma fenêtre je vois la route
Plus de temps pour bien être, j'ai que des doutes
il n'y a que le moteur que j'écoute
pas le moindre frisson, tu t'en doute
Et c'est de ma faute si on est sorti d'la route ............................ LA BOUCLE EST BOUCLEE
j'AI éCRIT çA EN PENSANT A UN RAP DE kAMELANCIEN
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On s’agite, on se demande, quand viendra le bout de ce monde…
Allons y rêvons un peu, qu’un jour nous serons tous heureux.
Imaginons une grande trêve…Plus de vigile plus de ronde
Plus de surveillance à la pelle. Une autoroute faite pour tout le monde.
Tu dis que t’oses pas sortir de chez toi. Que des malfrats vont t’racketter..
Ma mère j’te jure que j’y crois pas. C mes potes qui sont dans l’quartier
Depuis 10 ans, même la police ose plus y foutre les pieds
Et nous malgré toutes les milices, on rit des pierres jetées.
J’voulais pas ça, tu le sais bien. J’voulais pas d’venir un frangin
Sur qu’avant j’y croyais pas. J’étais un pâle petit bambin..
A force de coup dans la gueule il a bien fallu que je m’arme
Pas être lâche, faire peur à ceux qui nous reniflent mal
Ça n’est pas une vraie destinée. C’est comme ça. Juste des faits
Si tu fais pas ce que fais le premier, tu t’fais passer pour un bb..
J’ai continué, avec la haine, avec un ventre de requin.
Prêt à broyer… Prêt à bouffer et ça, même quand j’avais pas faim.
On rit, entre potes on se marre. Regarde ce petit blanc bec
Il nargue avec ses nouvelles baskets ? Ce soir on va lui faire la fête.
De ces pompes je m’en cogne. C’qu’on veut, c’est un peu de respect
Quand ce gros porc de LE PEN grogne, c’est sa gueule que j’aimerais bien cloisonner.
Qui je suis moi ? De quoi j’hérite ? La haine de gens que j’connais pas ?
Quand j’étais gosse j’comprenais pas, pourquoi on me regardait malsain
J’ai fini par comprendre en entendant des mots : sale bicot, eh ! bronzé !
Des mots, y’en avait jamais assez. Même l’état s’en est mélé..
« Les racailles », faut les buter ! Zy va le nain ! tu s’ras le premier !
Ouais, ma haine elle est montée. Je n’ai pas su canaliser.
Ma bande devenait ma famille, entre nous y’avait du respect.
Comme une balle dans un jeu de quille, on était prêt à tout péter.
On ne pense pas à la famille. C’est vrai on se laisse entraîner.
On part en vrille, l’impression d’avoir loupé le coche
A défaut d’en avoir plein les poches.. Se rabattre sur un peu de tosh
Nous voilà dans un tourbillon, on rythme avant d’avoir la chanson
On parle de guns comme de légo. Rien ne nous touche. Pas même l’égo
Pas d’amertume. La mer, tu me la feras en photo
Organisation sociale tribale, nos couleurs sont notre drapeau
Suivre cet étendard, bien fiers, se rallier à une cause perdue
Que nos sangs se mélangent clairs. Les nuits blanches noircissent la rue
Ma mère, je l’ai pas vu venir. Mes potes m’avaient averti.
J’l’avais toujours dans ma tire. Avec ça je faisais le beau, oui
Il brillait dans boîte à gant, avec ça je me sentais grand
Je jouais à me sentir fort et parfois j’étais bien dedans.
Fallait pas me crier misère. Fallait pas me prendre pour un con
Parfois quand je suis vénère je me conduis comme un bouffon
Je crie, je hurle, je vocifère. J’ai le sheitan dans ma raison
Ce « sale race » était de trop. Les potes regardaient, inconscients,
De ce que je m’apprêtait à faire. Un truc de ouf, un truc dément
J’ai sorti l’arme même pas chargée, pour faire flipper cet enc……é
Pas pensé une seconde, que mieux que moi, il était armé.
Il a tiré, un seul coup sec. J’me suis effondré comme un poupon.
J’sentais plus rien dans mes gambettes. J’étais comme un sac de chiffon
J’avais 16 ans et pas de raison. J’étais enfant et plein de connerie
Pour le respect ou pour une tire, j’étais prêt à perdre ma vie.
Y’a pas de morale à l’histoire. Y’a pas les méchants et les bons
Y’a que des haines attisées par des différences de nations
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Je me fais blonde,
je nique toute les rondes
me voilà pavanant,
je m'introduis dans le dément.
Je suis rentrée,
ils n'en savent rien,
que je suis passionnée
d'un de ceux qu'ils enferment en vain...
Est ce de l'ordre du phantasme
un peu de folie et d'émoi ?
Est ce un pléonasme
de dire que sans toi j'suis pas moi ?
J'ai mon bureau au rez de chaussée
tu viens m'y déposer des baisers.
Le frisson y est, l'adrénaline
on s'fait chopper et c'est la guigne
mon grand homme, mon bandit fou
mon idéal de vie, j'avoue
n'était pas ce que je vis aujourd'hui.
Avec toi j'oublie et je jouis
Je suis maligne, je suis féline
parfois je sais me faire coquine
je jette aux bons dieux les bleus
qu'à l'âme te font ces vicieux.
et je dois pourtant leur sourire
jusqu'a ce que bientôt tu te tires.
Vais je choisir l'hélicoptère
Ou attendre d'être en enfer ?
Je t'aime, je t'aime...
Phrase tellement banale
qui résonne en moi, j'aime
quant tu la dis, mon animal !
Je t'aime je t'aime
Plus aucun doute
et peu m'importe la route
je te suis, coûte que coûte !
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Je t'aime je t'aime
Plus aucun doute
et peu m'importe la route
je te suis, coûte que coûte !
j'adore!
et ravie de te revoir, tu te faisais rare!
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