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merci voilà un autre texte écrit dans la journée.
Je n’ai pas le temps, je livre heure après heure mes guerres
Jour après jour, je vois le monde sombré dans la folie furieuse.
Aujourd’hui tout est possible, mais on ne fait rien pour la misère.
Pourquoi ? Je ne sais pas « Je n’ai pas le temps » ou est-ce la peur.
Trop de chose sont données à la fatalité, à nos facilités de dire c’est ainsi.
Mon billet que si j’inventais une solution miracle, on me prendrait pour fou.
Pendu pour la cause, car l’argent est un pouvoir réservé au pouvoir
Vouloir nous arracher de cette façon de voir nous donne des ailes
Et mec, la chasse est ouverte. Nous ne serons jamais en Paix, jamais
C’est une manière pour eux de garder le contrôle.
Je regarde autour de moi, ces gens ne veulent même plus se battre
C’est comme inscrit dans les gènes, des gènes de marbre.
Ci-gît s’écrit si vite en si petit. La raison du plus fort est toujours la meilleure.
Nos vies sous plastiques nous étouffe mais impossible de prendre la tangente
Je ne sais pas « je n’ai pas le temps » je dois faire de la caillasse.
Voilà la roue du destin qui file et nous comme des hamsters.
Ils nous ont tout pris et nous donne la liberté de croire au compte goutte.
Ma tête éclate j’ai faim, mais je dois me donner une direction intègre.
Flingue sur la tempe je serais un héros au paradis, mais ils auraient raisons.
Et je serais mort et sans force pour taire leur mauvaise vision de nous.
Alors je me laisse aller sur le clavier, je dis ce que je pense c’est ma raison de vivre.
Laisser une trace, que je trace au fil du temps, faisant le constat de la splendeur
Du Spleen et de la merde dans la quelle nous vivons. Putain de texte.
Le monde, ce crève, est si grave que les cœurs givrent, j’avais des rêves.
Où sont les sages qui nous élèvent ? Où sont les rages qui arrachent les chaines.
A cette sensation succède mon silence peiné devant l’augure d’un futur blessé.
Laissée à l’abandon la détresse est classée à l’index, montrée du doigt comme faiblesse.
Montre en main, je regarde ces gosses courir le cent mètres avec l’espoir fou
D’être les premiers devant, comme si tout avait du sens seulement en or.
Dehors c’est la mort qui veille sur les égarés, tellement aveuglé par la came et la thune
Que le piège se referme et qu’ils appellent à l’aide des portes closes, des hommes sourds.
L’amour d’un homme juste ne peut contenir la souffrance d’un monde en perdition.
Et même si le ciel est vaste, croire est à mes yeux, néfaste, les prière ne soulève pas la masse.
Elles attendrissent les étoiles dans l’espace ou font danser la liesse mais par un jeu de passe-passe.
Les hommes d’église, agissent à leur guise et fournissent à la fournaise sa part d’âme.
"Montre en main, je regarde ces gosses courir le cent mètres avec l’espoir fou
D’être les premiers devant, comme si tout avait du sens seulement en or."
et ils sont si nombreux a ce tromper là dessus, l'or que le premier attrape n'est que de l'eau qui file
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Bienvenu au club de ceux qui n'ont rien d'autre à faire qu'écrire...
Enfin, j'me comprends.
"Alors je me laisse aller sur le clavier, je dis ce que je pense c’est ma raison de vivre.
Laisser une trace, que je trace au fil du temps, faisant le constat de la splendeur
Du Spleen et de la merde dans la quelle nous vivons. Putain de texte."
....Pareil.
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un constat , pour ce monde en deliquescence
en plus le facteur temps qui vient epuiser les individus
bien vu ami
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+1
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Certains passages sont à mes yeux vmt forts et beaux.
J'adore la dernière strophe.
Bravo!
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sympa les gars et nicole aussi