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Devant leurs pas
Vingt-sept ans d'vie commune aux idoles d’antan
A partager nos rêves et nos rires d'enfants
Tous ces gens qui on dansés leurs vies belliqueuses
Si importantes dans ma poitrine douloureuse
Ces personnes qui d'un souffle grandissent l'existence
Plus qu'amis ils étaient parfois ces frères d'errance,
Touché par le mensonge de leur absence je m'évade
Nostalgique des vies sur ces sentiers moins fades
Parcourant l'évasion d'un monde dévasté
Je voudrais les embrasser de ma naïveté
Rattraper leurs dos tournés vers l'avant sans moi
Pour leurs dire un dernier à la prochaine fois
Il n'y pas d'adieu que des mots heureux
La grâce magnifique d'une trace d'eux
Se plongeant dans mon cœur lorsque mes yeux se ferment
Sur l'image lointaine des regards que j'aime.
F.Giret – 11/12/12
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c'est très poignant ce texte sur ces amis éloignés...
"que sont mes amis devenus, que j'avais de si près tenus et tant aimés?"
tu écris tjrs magnifiquement
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Vraiment très beau. Oui une douce mélodie ...
Bravo
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je m'associe aux commentaires postés
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L'image de ceux que nous avons aimé en nous reste toujours imprimée !
Dernière modification par Daniel de Blanc-Mesnil (12-12-2012 11:03:22)
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Merci pour vos commentaires ! J'ai l'impression que ça me touche plus qu'avant, mais peut-être que je suis plus ouvert à être touché par cela.
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Continue alors ouvres la porte bordel qu'on soit plus nombreux à te féliciter sincèrement, et se marrer à l'occas'
Tu mérite tt ça n'en doute jamais ou je viens te boxer les mots
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j'aime beaucoup la sonnorité des mots
merveilleuux texte
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Quand la tracee de certains que l'on aime ne se tatoue plus dans le sable, il faut poursuivre nos pas afin que se perpétuent les souvenirs, pour que la génération à venir puisse s'amuser au jeu de piste, et ainsi, récolter le fruit des traditions et des valeurs à recevoir lors de la cueillette ... Mais pour mériter les fruits de cette labeur, ils devront aussi à leurs tours, perpétuer cette mémoire ... Ainsi va la vie ...
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J'aime beaucoup tes mots!
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