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A la maternité de La Pataugeoire, Marie-Hélène, allongée sur le lit d’auscultation, le ventre bien arrondi, les prunelles écarquillées, écoute les battements cardiaques de son petit à venir. Sous le stéthoscope, le haut-parleur diffuse et rythme la chamade de la matrice à terme.
Marie-Hélène sent l'angoisse l'envahir, angoisse joyeuse d'ouïr la vie de sa future progéniture amphibienne.
La fenêtre de la pièce est entrouverte, et dehors, les murmures, le brouhaha de la foule pressée aux soldes, résonnent aux tympans du Petit d'Homme.
Déjà , elle ressent les contractions de plus en plus prononcées. Elle gémit de douleur, comme les cris d'un saxophone éraillé, pousser par la force du souffle de son musicien. L'ouverture de la Mer Rouge l'appelle à être et fait mère.
Le temps de cette vision épanouie, Marie-Hélène vient de mettre au monde, sans s'apercevoir que Petit d'Homme est déjà au contact de sa peau...
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... c'est... Quoi la Vie? lance les yeux de Petit d'Homme...
Bravo, je me suis permis.
"la vie est une étrange absurdité", dit au Petit homme un chanteur* qui passait par lÃ
Goldman*
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si la vie est une onomatopée le nouveau né dit areu
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lamalice a écrit:
Déjà , elle ressent les contractions de plus en plus prononcées. Elle gémit de douleur, comme les cris d'un saxophone éraillé, pousser par la force du souffle de son musicien. L'ouverture de la Mer Rouge l'appelle à être et fait mère.
Evidemment,ça me parle...c'est très joliment dit...
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c'est quoi la Vie, ... en tout cas pas une absurdité,... pour la vivre, il ne faut pas être sourd ... ni muet, ... ni aveugle pour entendre brailler le nouveau-né de son premier Areuuhhh !!!
Quest ce qui te parle I.SLAM dans les vers que tu as cité ?
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