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Sous les trombes incessantes d'eau,
Elle ne courbe pas son égo.
D'un pas déchaînant, elle virevolte,
Tournoie en spirale, comme une révolte.
La pluie effleure de ses larmes noyantes,
Sa pulpeuse robe de flanelle chatoyante.
Le chant de l'horreur s'abat à la valse
Ereintante du son des balles fusantes.
Le champ de bataille s'ébat à la force
Erigée des tirs des canons envolés.
Pour s'arrêter, l'étoile étiole sa toile lactescente.
Pour oublier la chimère des tombes incandescentes,
A brûle pour point, l'aquanaute versatile, s'épanouit.
Elle voit à tombeau ouvert, le sien parti,
A jamais rejoindre la danse des anges.
La voix liée, ses yeux se cachent derrière sa frange.
Le chant de l'horreur s'abat à la valse
Ereintante du son des balles fusantes.
Le champ de bataille s'ébat à la force
Erigée des tirs des canons envolés.
Dernière modification par lamalice (28-07-2012 17:18:27)
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du chant d'horreur au champ "d'honneur"... le difference de nom est dans celui qui le vit, et celui qui le commande...
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Dac ! Nicole !
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danse macabre, mais la vie n'est pas que niaiseries mediatique
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Dac! nicole aussi !
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Bien des compatriotes sont mort au champ d'honneur pour nous permettre d'être un pays libre et en paix ! ... et pourtant, tous les jours, ils entendaient le chant d'horreur des grosses Berta, des avions de chasse et des tapis de bombes les envahissant ...
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Nicole a très bien répondu alors +1 avec elle
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