Forum Grand Corps Malade et slam

Il était une fois un monde merveilleux et unique, encore  à ce jour
ou il y avait des phénomènes magiques, tel que la vie et l' amour
Ou il y avaient des fleurs qui coloraient le bord des chemins
Un monde aux mille senteurs , des champs de lavande et l'odeur du jasmin
Il suffisait de regarder autour de soi pour voir la beauté dans tout milieu
La nature avait tout les droits sur cette très belle planète bleue
L'homme vivait en harmonie avec elle, ne prenant qu'le nécessaire de ses ressources Naturelles
Les messages entre les hommes ,volaient à dos de pigeons voyageurs
L'eau était claire et bonne, il y avait même des nageurs
Mais un jour l'homme voulut de ce monde merveilleux ,tirer profit
Et comme il était astucieux, il développa sa technologie
La lumière devint électrique , elle équipa tout les logis
On pouvait voire dans toutes les villes, sa puissance défier la nuit
La terre était mise en péril et ces nuisances causèrent des ennuis
L'homme se battait pour des barils que certains avaient sous leurs pieds
Pendant qu'des peuples criaient famine, certains croulaient sous les billets
C'n'etait plus la loi du plus fort mais celle  du plus riche Qui prévalait
Ou le pétrole et l'or régnaient en maître sur ses valets

Il était une fois un monde merveilleux et unique, il y a quelques jours
ou tout était dev'nu chimique, et pire de
Jours en jours

Il n'etait plus qu' un monde ou les hommes eurent tout les torts
Ils firent du bleu un gris sombre, et tous les arbres étaient morts
Sur les bords des chemins, il n'y avait plus que des trottoirs
Les fleurs avaient fanées , plus d'abeilles pour porter leurs nectars
L'homme avait voulu dompter la nature, pour séparer les peuples, il avait construit des murs
Les rapports humains étaient devenus artificiels
Chacun restait chez soi et vivait dans un monde virtuel
La culture de la terre était devenu industrielle
L'homme, envers sa terre nourricière était cruel
En un siècle de temps, il l'a détraqué et a tout pollué
Et les grands nuages blancs ont ternis sous le gris de la fumée
L'eau et la terre furent envahies par tout un tas de pesticide
et chaque jours la nature cédait un peu plus, face à ces homicides
Il était un monde merveilleux, sur une planète bleue
Dont j'n'aimerai pas parler comme ça à mes enfants quand je s'rais vieux

Ce monde c'est le mien, le tien, le notre, le votre, le leurs,
Alors donnons nous tous la main, pour redonner au monde, ses couleurs
N'attendons pas demain, qui risque d'être la dernière heure